18 membres du Sénat d’Espagne ont condamné l’exécution de Gholamreza Khosravi par la dictature au pouvoir en Iran. Gholamreza Khosravi, opposant iranien et sympathisant de l’OMPI, a été exécuté par pendaison le dimanche 1er juin dans l’enceinte de la prison de Gowhardacht (située près de la ville de Karadj, à l’ouest de Téhéran).
Ces sénateurs on publié un communiqué dans lequel ils ont affirmé :
« Après une longue détention de 12 ans dans les prisons du régime iranien, Gholamreza Khosravi a été exécuté par le gouvernement soi-disant modéré d’Hassan Rohani. Depuis l’arrivée au pouvoir de Rohani, plus de 700 prisonniers ont été exécutés en Iran. »
« Nous condamnons fermement cette exécution odieuse et criminelle. Nous croyons profondément que le dossier des droits de l’Homme du régime iranien doit être envoyé au Tribunal pénal internationale. »
« Toute relation politique ou économique avec l’Iran doit être subordonnée à la situation des droits de l’Homme dans ce pays. Les auteurs des violations des droits de l’Homme en Iran doivent être traduits devant la Justice. »
Ce communiqué est notamment signé par :
Borja Benitez de Lugo, vice-président de la Commission des Affaires étrangères du Sénat d’Espagne
José María Chiquillo, porte-parole pour les Affaires étrangères du groupe du Parti Populaire au Sénat d’Espagne
Pedro Agramunt, président du groupe du Parti Populaire Européen au Conseil de l’Europe
« Après une longue détention de 12 ans dans les prisons du régime iranien, Gholamreza Khosravi a été exécuté par le gouvernement soi-disant modéré d’Hassan Rohani. Depuis l’arrivée au pouvoir de Rohani, plus de 700 prisonniers ont été exécutés en Iran. »
« Nous condamnons fermement cette exécution odieuse et criminelle. Nous croyons profondément que le dossier des droits de l’Homme du régime iranien doit être envoyé au Tribunal pénal internationale. »
« Toute relation politique ou économique avec l’Iran doit être subordonnée à la situation des droits de l’Homme dans ce pays. Les auteurs des violations des droits de l’Homme en Iran doivent être traduits devant la Justice. »
Ce communiqué est notamment signé par :
Borja Benitez de Lugo, vice-président de la Commission des Affaires étrangères du Sénat d’Espagne
José María Chiquillo, porte-parole pour les Affaires étrangères du groupe du Parti Populaire au Sénat d’Espagne
Pedro Agramunt, président du groupe du Parti Populaire Européen au Conseil de l’Europe
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