Le dimanche 1er juin, au moment de l’exécution de Gholamreza Khosravi, prisonnier politique sympathisant de l’Organisation des Moudjahiddines du peuple d’Iran (OMPI), huit autres prisonniers - dont les noms et les motifs de condamnation à mort n’ont pas été précisés - ont été exécutés dans l’enceinte de la prison de Radjaï-Chahr située à Karadj (ouest de Téhéran).
Selon les informations diffusées par le site Internet des militants des droits de l’Homme en Iran, à l’aube du dimanche 1er juin, au total neuf prisonniers ont été exécutés par pendaison dans la prison de Radjaï-Chahr.
Un employé de cette prison qui a requis l’anonymat a précisé : « Dans les premières heures de la matinée de dimanche, en même temps Gholamreza Khosravi, huit autres prisonniers ont été exécutés. Ces huit prisonniers avait été auparavant détenus dans une autre prison et ont été transférés à Radjaï-Chahr pour y être exécutés. Ces exécutions se sont déroulées dans un climat sécuritaire sans précédent. »
Un employé de cette prison qui a requis l’anonymat a précisé : « Dans les premières heures de la matinée de dimanche, en même temps Gholamreza Khosravi, huit autres prisonniers ont été exécutés. Ces huit prisonniers avait été auparavant détenus dans une autre prison et ont été transférés à Radjaï-Chahr pour y être exécutés. Ces exécutions se sont déroulées dans un climat sécuritaire sans précédent. »
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