CNRI – Les mardi 21 et mercredi 22 janvier plusieurs milliers d’enseignants ont entamé une grève et se sont rassemblés dans 14 provinces en Iran.
Ils protestent contre l’indifférence du gouvernement de Rohani vis-à-vis de la précarité de la situation des enseignants et des nombreuses difficultés matérielles qu’ils ont dans leur vie quotidienne.
L’Agence de presse gouvernemental ILNA a confirmé ces protestations qui se sont déroulées dans les provinces de Téhéran, Alborz, Semnan, Kurdistan, Fars, Azarbaïjan occidental, Isphahan, Guilan, Hamedan, Lorestan, Sistan et Baloutchestan, Khouzestan, Yazd et Kerman, où les enseignants se sont abstenus d’aller en classe. Dans certaines villes les enseignants ont organisé aussi des rassemblements.
Les protestations des enseignants portent sur les divers discriminations et injustices qui les touchent, ainsi que sur des problèmes d’assurances maladies et sur le niveau bas de leurs salaires prévu dans le budget de l’année prochaine.
Le 13 janvier, six milles enseignants se sont adressés au Majlis des mollahs dans une pétition qui déclarait que l’ensemble de ce corps de métier se situe en-dessous du seuil de pauvreté.
Dans une autre lettre adressée au président du régime Hassan Rohani, un groupe d’enseignants avaient annoncé que leur pouvoir d’achat a été diminué à un-tiers.
Dans une autre lettre adressée au président du régime Hassan Rohani, un groupe d’enseignants avaient annoncé que leur pouvoir d’achat a été diminué à un-tiers.
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