CNRI – A Téhéran, les mollahs ont ordonné aux médecins d’enlever un œil et de couper une oreille d’un prisonnier. Mais aucun médecin n’a accepté de participer à l’application de ce châtiment barbare.
Selon une dépêche de l’agence de presse officielle Tasnim, datée du mardi 20 janvier, ce prisonnier a été condamné à l’ablation d’un œil et l’amputation d’une oreille, parce qu’il avait agressé une femme il y a neuf ans, en aspergeant d’acide le visage de la victime.
Selon une dépêche de l’agence de presse officielle Tasnim, datée du mardi 20 janvier, ce prisonnier a été condamné à l’ablation d’un œil et l’amputation d’une oreille, parce qu’il avait agressé une femme il y a neuf ans, en aspergeant d’acide le visage de la victime.
Lors de cette agression à l’acide, un œil et une oreille de la victime ont été détruits. En appliquant la loi de « Qisas » (loi du talion), le tribunal des mollahs a ordonné l’ablation d’un œil et l’amputation d’une oreille de l’auteur de cette agression. Aucun chirurgien en Iran n’a accepté de participer à un tel acte barbare et par conséquent l’application de ce verdict a provisoirement été suspendue.
La loi de « Qisas » fait partie du code pénal soi-disant islamique mis en place par le régime des mollahs. La majorité des Iraniens rejettent la loi de Qisas et la considère comme un châtiment barbare et anachronique qui, d’ailleurs, n’a jamais existé auparavant en Iran au cours de la longue histoire plurimillénaire de ce pays.
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