Les exécutions incessantes en Iran sous le régime des mollahs continuent, même à la veille de la Journée mondiale contre la peine de mort. Le mercredi 7 octobre, le régime iranien a exécuté trois prisonniers dans la prison de Gohardacht. Deux jours avant leur exécution, ces prisonniers avaient été placés en isolement.
Par ailleurs, dans la prison de Sanandaj, un autre condamné à mort vient d’être placé en isolement avant sa prochaine exécution.
Le 4 et le 6 octobre, deux prisonniers ont été pendus dans les prisons de Chiraz et de Ghazvine.
La poursuite des exécutions dans différentes villes, même à la veille de la Journée mondiale contre la peine de mort, montre que ce régime honni a besoin de ces exécutions cruelles pour se maintenir au pouvoir.
Les dirigeants du régime des mollahs – qui sont incapables de satisfaire les besoins les plus élémentaires des citoyens – n’ont trouvé aucun autre moyen que de recourir à la répression et la peine de mort pour empêcher le développement des contestations populaires en Iran. Des figures de ce régime ont mis en garde à plusieurs reprises contre un soulèvement de « l’armée des affamés ».
Le 6 octobre, Servati, un membre du parlement des mollahs, a décrit l’état critique de la société en disant : « Les députés sont confrontés à des contestations populaires dans les villes et les villages où les gens ont des problèmes de logements et de subsistance. Il y a eu de nombreux rassemblements et manifestations où les participants ont protesté contre le manque des infrastructures. »
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