Maryam Radjavi appelle la communauté internationale à prendre des mesures urgentes
pour mettre fin aux crimes de guerre et aux crimes contre l'humanité
commis par les gardiens de la révolution du régime iranien et leur milices à Alep
Mme Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, a salué la persévérance de la population de la ville assiégée d'Alep, décrivant le massacre des habitants innocents comme un crime de guerre et un crime contre l'humanité.
Elle a affirmé que les tueries de masse sont en cours à Alep commis par les gardiens de la révolution (Pasdaran) du régime iranien et leurs milices mercenaires. Elle a ajouté, que l'inaction contre le plus grand crime contre l'humanité au 21ème siècle est absolument inacceptable et honteuse. Elle a appelé la communauté internationale à prendre des mesures urgentes pour mettre fin à ce bain de sang et d’empêcher de nouveaux massacres et tueries.
Mme Radjavi a déclaré :« Alep est le symbole éternel de la résistance et une source d'inspiration pour les peuples de la région et pour tous ceux épris de liberté qui aspirent à se débarrasser de l'oppression du fascisme religieux qui sévit en Iran et de ses mercenaires ». Elle ajouta : « le régime de Téhéran est la source de la crise dans la région et des massacres en Syrie. Il a joué le plus grand rôle dans l'expansion, le développement et la longévité de Daech. La paix et la tranquillité dans la région ne peuvent être obtenues qu'en expulsant le régime des mollahs, de la région.
Mme Radjavi a conclu : “Alors que le monde entier exprime son indignation et son dégoût des crimes contre l'humanité et des atrocités commises contre les habitants sans défense d'Alep, dans un message adressé à Qassem Souleimani, le commandant criminel de la force terroriste Qods des Pasdaran, le représentant de Khamenei (Guide suprême du régime iranien-ndt) décrit les crimes horribles commis à Alep comme « un triomphe inégalé et de fierté » et « un des plus grands cadeaux », déclarant le 17 décembre comme le jour « d’action de grâce ». Ceci n’est qu’une preuve irréfutable de la pleine responsabilité de Khamenei et des dirigeants de son régime dans les crimes commis et souligne la nécessité de les traduire devant la justice.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
13 décembre 2016
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