Dans une période de six mois, il y a eu 14 599 cas de violence contre les conjoints.
Le régime iranien évite d'utiliser le mot « femmes » pour échapper à l'adoption d'une loi incriminant la violence contre les femmes.
Dans un entretien accordé à l'agence de presse officielle ILNA, Reza Jaafari, responsable des urgences sociales, a déclaré : « 14 599 cas de violence contre des conjoints et 16.000 cas de violence contre des enfants ont été signalés en six mois ».
L'agence de presse n'a pas précisé la période exacte.
L'agence de presse n'a pas précisé la période exacte.
Jaafari a ajouté : « Selon les rapports existants, 38 % des enfants maltraités se trouvaient à l'école primaire ou avaient un âge préscolaire. 12 % étaient en âge de fréquenter l'école secondaire. De plus, 29 % des cas étaient des abus physiques et 3 % des abus sexuels. Les familles évitent de faire un rapport sur ces cas pour protéger leur dignité sociale ».
Jaafari a ajouté : « Des études montrent que 12 % des cas de maltraitance d'enfants sont signalés plusieurs jours après que cela se soit produit. 4,5 % sont signalés une semaine plus tard ». (L'agence de presse ILNA gérée par l'Etat - 25 février 2018)
Le fonctionnaire n'a pas précisé combien d'enfants de cette étude étaient des filles.
Source : Comité des femmes du CNRI
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