Les victimes, dont certaines étaient adolescentes, ont été conduites dans la ville, entourées de dizaines d’agents de police. Cette mise en scène visait à intimider la population dans une tentative désespérée d’empêcher le déclenchement de soulèvements populaires. Le mardi 6 octobre 2020, dans un autre acte criminel, le régime clérical avait torturé et humilié cinq jeunes en public en les qualifiant de « voyous » et en les exhibant sur un véhicule dans le quartier Moshiria de Téhéran, suscitant l’indignation générale.
En torturant et en humiliant les jeunes en public, en torturant les prisonniers politiques, en procédant à des exécutions et en infligeant de longues peines de prison, la dictature religieuse veut empêcher l’éruption du mécontentement général. Mais ces efforts ne font qu’exacerber la haine et le dégoût de la population envers le régime.
La Résistance iranienne demande instamment au Secrétaire général des Nations Unies, au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, à sa Haut-Commissaire ainsi qu’aux rapporteurs concernés de l’ONU de condamner ces crimes inhumains et ces châtiments médiévaux. Elle les appelle à saisir le Conseil de sécurité du bilan de violations systématiques et flagrantes des droits humains en Iran et à traduire en justice les dirigeants de ce régime pour leurs crimes continus contre l’humanité.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 23 avril 2021
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