Au début de la réunion, Mme Radjavi a décrit la nouvelle année perse 1400 de décisive : «L’année 1400, qui vient de commencer, est une année déterminante. Pour autant que l’on puisse le prévoir, cette année, des événements importants se préparent dont chacun peut avoir des conséquences politiques et sociales de grande portée : de la farce électorale présidentielle du régime au sort de l’accord nucléaire en passant par l’éruption de soulèvements de dessous les cendres du coronavirus.
Dans l’année qui vient de s’écouler, la pandémie avec ses décès de grande ampleur et la montée de la pauvreté et du chômage ont infligé de dures souffrances à notre peuple ; certes, ces calamités ont été principalement causées par Khamenei et Rohani. Aujourd’hui, le nombre de décès dus au coronavirus a dépassé les 240.000.
Sans les politiques inhumaines des mollahs, ce nombre aurait pu être bien moindre. Tout comme il aurait été possible d’éviter à des millions de personnes de perdre leur emploi et à des millions d’autres d’être la proie de la pauvreté.
Pendant qu’il ouvrait la voie à la propagation de l’épidémie dans le pays, le régime a évité de prendre des mesures de base pour lutter contre la maladie. Il a refusé de dépenser une partie de la fortune de mille milliards de dollars des institutions contrôlées par Khamenei pour combattre le coronavirus. Khamenei a même empêché l’importation de vaccins. Malgré tout, la société reste prête à se soulever et cela constitue la réalité la plus importante de l’Iran.
La société iranienne est un baril de poudre prêt à exploser contre l’oppression des mollahs. Les conditions objectives sont en place pour renverser le pouvoir, un conflit féroce fait rage entre la société iranienne et la tyrannie et le régime est fragile, en décomposition et démuni de toute solution.
Aujourd’hui, la situation politique et sociale est visiblement mûre pour ce renversement. »
La réunion a réitéré la conclusion du CNRI selon laquelle cette série d’événements a conduit les autorités du régime à un certain consensus concernant la perte de leur base sociale dans la société iranienne, la quasi-certitude d’encore plus de troubles à l’avenir, et le rôle prépondérant que le CNRI et l’OMPI ont joué et continueront de jouer dans ces troubles.
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