Le 7 mars, lors du Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève, s'est tenue un dialogue interactif avec Pablo De Greiff, le Rapporteur spécial sur la promotion de la vérité, de la justice, de la réparation et de la garantie e la non-récurrence, et avec Ahmed Shaheed, Rapporteur spécial sur la liberté de la religion ou de croyance.
Le compte-rendu officiel de la réunion notre que "au cours de la discussion qui a suivi, les délégations ont exprimé leur soutien à l'idée que les processus de justice de transition doivent mettre les droits et la participation des victimes au centre de leurs préoccupations, soutenant des mesures pour renforcer la sécurité et la réinsertion des victimes. Le rôle des femmes a été souligné par plusieurs délégations, qui ont noté que le rôle des femmes dans la justice de transition était crucial, en particulier en ce qui concerne les mesures de réadaptation, de réinsertion et de rapatriement."
Les Iraniens n'oublieront pas
Le compte rendu poursuit en citant les ONG qui se sont exprimées, notamment l'Association internationale des droits humains des femmes (WHRIA). "WHRIA a attiré l'attention sur le massacre de 30 000 prisonniers politiques en 1988 en Iran. Les Moudjahidine [du peuple d'Iran - OMPI] avaient été considérés comme des renégats et des hypocrites et avaient été mis à mort. Les familles qui ont eu leurs proches tués recherchent la vérité. Les Iraniens n'oublieront pas, et ne pardonneront pas."
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