Près de 45 détenus dans la prison de Fashafuyeh dans le sud de Téhéran ont été isolés de l’ensemble de la population carcérale et enfermés de manière punitive dans une petite salle. La création d'unités fermées vise à harceler les détenus et les autorités pénitentiaires l'utilisent illégalement comme un outil de punition.
Ces détenus sont enfermés dans le hall 12, surnommé le « hall fermé » depuis le 28 décembre, sont privés d’appels téléphoniques ou de visites familiales. Ils ne peuvent bénéficier d’aucun service médical et d'accès au magasin de la prison.
Ces détenus sont enfermés dans le hall 12, surnommé le « hall fermé » depuis le 28 décembre, sont privés d’appels téléphoniques ou de visites familiales. Ils ne peuvent bénéficier d’aucun service médical et d'accès au magasin de la prison.
Les prisonniers ont également été exclus des critères d'hygiène, confrontés une myriade de problèmes de santé dans cette zone fermée.
Les 45 prisonniers sont principalement punis pour avoir refusé de suivre les ordres des autorités pénitentiaires.
Dans un cas récent, des prisonniers auraient été détenus dans de telles unités dans des conditions d'isolement physique et social sévère dans la prison de Gohardasht, à l'ouest de Téhéran.
Source : Les militants des droits de l’homme en Iran
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