Le soulèvement iranien - No. 64
Comme indiqué dans le communiqué n° 63, dans la soirée du jeudi 1er février, plusieurs villes du pays ont été témoins de manifestations et d'affrontements entre la population et les forces répressives.A Ahvaz, les braves jeunes de la place Shohada et du marché aux poissons scandaient les slogans de mort à Khamenei, mort au dictateur, appelant au soutien et à l’appui de la population. Les pasdarans ont tiré pour disperser le peuple.
Comme indiqué dans le communiqué n° 63, dans la soirée du jeudi 1er février, plusieurs villes du pays ont été témoins de manifestations et d'affrontements entre la population et les forces répressives.A Ahvaz, les braves jeunes de la place Shohada et du marché aux poissons scandaient les slogans de mort à Khamenei, mort au dictateur, appelant au soutien et à l’appui de la population. Les pasdarans ont tiré pour disperser le peuple.
A Téhéran, dans le parc Daneshjou, les gens se défendaient en lançant des pierres contre l'attaque des mercenaires. Les agents des forces répressives ont arrêté plusieurs manifestants.
Sur l’autoroute Parkway de Téhéran, un groupe de personnes a scandé des slogans contre Rouhani, le président du régime clérical.
Sur la place Azadi de Kermanshah, les gens se sont ralliés aux slogans de mort à Khamenei, mort au dictateur. Les agents en civil ont arrêté un garçon et deux jeunes filles. Les forces répressives n’ont même pas permis aux gens d'utiliser leur téléphone portable.
A Boroujerd (Ouest), des jeunes ont brûlé le poster de Khomeiny sur la place qui porte son nom.
Les jeunes de Bojnourd (Est) ont brûlé l'image du bourreau du peuple iranien, Khamenei.
A Meshkinshahr (Nord-Est), le peuple et les braves jeunes de la rue Abuzar ont protesté avec le slogan "Mort au dictateur".
Mashhad, les gens se sont largement heurtés aux mercenaires du régime.
À Maragheh (Nord-Est), le rassemblement de la population a commencé à l'intersection de Toloue Fajr. Après la descente de police, les gens les ont confrontés.
Dans diverses villes, le peuple brûlant des images de Khomeiny, le fondateur du régime du Guide suprême, a exprimé sa colère contre cette dictature sauvage et corrompue au seuil de la quarantième année de l'occupation du régime en Iran.
Suite à l'expansion du slogan "Mort à Khamenei" sur les murs et les rues des villes, les Gardiens de la Révolution ont menacé les propriétaires des ateliers de peinture qu'ils ne seraient pas autorisés à vendre de la peinture en aérosol sans obtenir un numéro de carte national.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
1er février 2018
1er février 2018
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