CNRI - Un prisonnier politique iranien qui est dans un état physique critique et à qui les autorités carcérales du régime des mollahs refusent l’accès aux soins médicaux a commencé une grève de la faim le vendredi 12 octobre.
M. Mashallah Haeri, un prisonnier politiqueâgé de 63 ans, est actuellement détenu dans la prison de Gowhardacht située près de la ville de Karaj (à l’ouest de Téhéran). Il a été victime de plusieurs hémorragies à la suite desquelles il a perdu conscience.
Le régime des mollahs reproche à M. Haeri la sympathie qu’il a manifestée à l’égard mouvement d’opposition iranien, l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI). Ce prisonnier d’opinion a été soumis à des tortures psychologiques et physiques et les autorités carcérales lui refusent l’accès aux soins médicaux.
M. Haeri est un ancien détenu politique. Dans les années 1980, il avait été emprisonné durant plusieurs années. Il a été arrêté une deuxième fois en en 2009 et il a été condamné à 15 ans de prison. Le régime des mollahs lui reproche cette fois-ci une visite qu’il a effectuée au camp d’Achraf en Irak pour y voir des membres de sa famille.
En raison des tortures brutales et des conditions de détention déplorables qu’il a subit dans la prison, M. Haeri a eu plusieurs attaques cardiaques et il souffre de graves problèmes respiratoires.
La dernière fois qu’il a été transféré à l’hôpital, il n’a pas été autorisé à y rester pour recevoir les soins dont il a besoin et il a été ramené en prison. Cette mesure cruelle a causé la détérioration de son état de santé.
Par ailleurs, la fille de M. Haeri, prénommé Négar, a été arrêtée en juillet dernier et elle est actuellement détenue dans la prison Qarchak dans la ville de Varamin sans avoir été inculpée et sans savoir exactement ce que le régime lui reproche.
Priver les prisonniers des soins médicaux est une méthode couramment utilisée par le régime des mollahs pour briser le moral des prisonniers politiques inébranlables.
Cette pratique inhumaine du régime iranien a été critiquée et condamnée à plusieurs reprises par les organisations internationales de défense des droits de l’Homme.
Le régime des mollahs reproche à M. Haeri la sympathie qu’il a manifestée à l’égard mouvement d’opposition iranien, l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI). Ce prisonnier d’opinion a été soumis à des tortures psychologiques et physiques et les autorités carcérales lui refusent l’accès aux soins médicaux.
M. Haeri est un ancien détenu politique. Dans les années 1980, il avait été emprisonné durant plusieurs années. Il a été arrêté une deuxième fois en en 2009 et il a été condamné à 15 ans de prison. Le régime des mollahs lui reproche cette fois-ci une visite qu’il a effectuée au camp d’Achraf en Irak pour y voir des membres de sa famille.
En raison des tortures brutales et des conditions de détention déplorables qu’il a subit dans la prison, M. Haeri a eu plusieurs attaques cardiaques et il souffre de graves problèmes respiratoires.
La dernière fois qu’il a été transféré à l’hôpital, il n’a pas été autorisé à y rester pour recevoir les soins dont il a besoin et il a été ramené en prison. Cette mesure cruelle a causé la détérioration de son état de santé.
Par ailleurs, la fille de M. Haeri, prénommé Négar, a été arrêtée en juillet dernier et elle est actuellement détenue dans la prison Qarchak dans la ville de Varamin sans avoir été inculpée et sans savoir exactement ce que le régime lui reproche.
Priver les prisonniers des soins médicaux est une méthode couramment utilisée par le régime des mollahs pour briser le moral des prisonniers politiques inébranlables.
Cette pratique inhumaine du régime iranien a été critiquée et condamnée à plusieurs reprises par les organisations internationales de défense des droits de l’Homme.
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