« Mardom Salari » a déclaré dans son éditorial du 16 février que les dirigeants du régime iranien ont mené à bien plusieurs plans pour dévier des rivières, a construit des barrages en excès et a exploité rapidement les puits de pétrole à des coûts très bas. C’est pour cette raison que les étangs sont détruits dans la province du Khuzistan dans le sud-ouest de l’Iran. Il en résulte une catastrophe environnementale latente qui met en danger la santé et les conditions de vie des habitants.
Le quotidien se réfère aux tempêtes de sable rendant la vie difficile pour les habitants de la province. Le quotidien écrit :
De nombreuses personnes pensent qu’en plus des sources étrangères et de différents centres d’où partent les tempêtes de sable, l’assèchement du bord des étangs, notamment l’étang de Hour al-Azeem ou Karkhe Nour, sont les principales raisons de la crise des tempêtes de sable dans la province du Khûzistân.
L’assèchement d’un étang sous-entend la perturbation du cycle naturel d’un grand nombre d’êtres vivants qui sont adaptés à la zone géographique depuis des siècles. De telles mesures ne sont pas seulement considérées comme non naturelles selon les standards globaux, mais c’est aussi un acte inhumain. En effet, les Hommes sont liés et en équilibre avec le cycle naturel de l’écosystème.
Cela fait maintenant presque deux décennies que, à cause de la construction de plusieurs barrages et… pour plusieurs raisons dont on ne peut pas dire que plus de 20 % des objectifs sont atteints … l’écosystème du Khûzistân entier subit de fortes tensions et des tempêtes de sable.
Malheureusement, le manque d’un système de management environnemental global en tant que premier pas dans ce champ et également chaque appareil qui poursuit ses propres plans dans la région a accéléré fortement cette tendance.
D’un autre côté, la baisse de ressources en eau est une autre conséquence du manque de perspective et d’organisation. C’est considéré comme une insulte et une blessure pour les habitants du Khûzistân.
Tous ces problèmes ont conduit à la crise récente, menant à différentes maladies respiratoires, des cancers du sang et des poumons, des naissances prématurées, ajoutant les coûts et les coûts de santé et de prévoyance, les coupures d’eau et d’électricité et… tout bloque la vie des habitants. Les systèmes électroniques et digitaux souffriront de dommages majeurs, créant de grandes dépenses pour le gouvernement.
Une telle crise ne pourra pas être résolue avec des manageurs qui manquent d’organisation et de planification. Aujourd’hui, nous avons atteint la ligne rouge et les alarmes sont entendues constamment. Dans la province du Khuzistan, autrefois considéré comme une région prospère, pourrait devenir un désert abandonné d’ici quelques années.
Ce phénomène accélère de façon alarmante.
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