Le prisonnier politique baloutche Ali Pajgol a été arrêté et condamné à 15 ans de prison en raison de ses convictions politiques et de la promotion de sa religion. Une source proche de M. Pajgol a dit que lorsque ce prisonnier politique avait seulement 18 ans, il a été gravement torturé. Les tortures étaient si violentes que selon lui, il était « prêt à avouer à tout crime pour les faire cesser ».
Certaines des tortures habituelles étaient : la flagellation avec des câbles sur les jambes au point que ses jambes contusionnées étaient devenues noires, et que des caillots de sang se formaient et s’amalgamaient jusqu'à ses ongles. Ensuite, un interrogateur solidement bâti frappait ses jambes pour augmenter la douleur. Les signes de ces tortures sont évidents sur son corps même six ans après.
Les pressions psychologiques constituaient une autre méthode de torture dont il a fait les frais, notamment, les insultes et les menaces quant à la possible arrestation des membres de sa famille. Il était aussi complètement déshabillé par les interrogateurs afin, selon lui, de lui retirer son « honneur ». Durant les neuf mois passés dans ce centre de détention, il ne pouvait pas dormir à cause des cris des autres personnes qui étaient torturées.
Certaines des tortures habituelles étaient : la flagellation avec des câbles sur les jambes au point que ses jambes contusionnées étaient devenues noires, et que des caillots de sang se formaient et s’amalgamaient jusqu'à ses ongles. Ensuite, un interrogateur solidement bâti frappait ses jambes pour augmenter la douleur. Les signes de ces tortures sont évidents sur son corps même six ans après.
Les pressions psychologiques constituaient une autre méthode de torture dont il a fait les frais, notamment, les insultes et les menaces quant à la possible arrestation des membres de sa famille. Il était aussi complètement déshabillé par les interrogateurs afin, selon lui, de lui retirer son « honneur ». Durant les neuf mois passés dans ce centre de détention, il ne pouvait pas dormir à cause des cris des autres personnes qui étaient torturées.
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