Madame Mahdis Mir-Ghavami, une ingénieur de 26 ans et originaire de la ville de Kermânchâh (kurde) s’est donnée la mort au lendemain de sa sortie de prison. Selon les nouvelles venues d’Iran, le 24 janvier 2017, elle avait été convoquée par le ministère des Renseignements du régime des mollahs et elle a passé deux jours dans une prison contrôlée par les agents de ce ministère.
Le 27 janvier 2017, au lendemain de sa sortie de prison, elle s’est donné la mort en avalant une grande quantité de médicaments. Les agents du régime iranien ont exercé de fortes pressions sur les membres de la famille de Mme Mir-Ghavami pour qu’ils ne diffusent aucune information sur les circonstances de ce suicide.
Selon des rapports, Mir-Ghavami aurait été victime des sévices sexuels durant les interrogatoires qu’elle a subis en prison.
Le 4 janvier 2017, une autre jeune-fille (Shiler Farhadi, 23 ans, titulaire d’une licence de sciences politiques) avait été emprisonnée pendant quatre mois dans cette même prison du ministère des renseignements dans la ville de Kermânchâh. Elle aussi s’est donné la mort peu après sa sortie de prison.
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