Le régime iranien a tracé une ligne rouge à quiconque ouvrirait le débat sur les événements de 1988, au cours desquels 30 000 prisonniers politiques ont été exécutés durant un été sanglant sur les ordres du Guide Suprême de l'époque, Rouhollah Khomeini.
Nous ne devons pas cesser d'en parler. Nous ne pouvons pas oublier le massacre qui a anéanti des dizaines de milliers de personnes uniquement en raison de leur soutien aux Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI).
Le régime a longtemps tenté de dissimuler sa culpabilité, refusant d'admettre que le massacre avait eu lieu, cachant les corps dans des fosses communes sans épitaphes, faisant des travaux de construction sur les sites où se trouvent les fosses communes pour empêcher la communauté internationale de découvrir les corps.
Cependant, les militants des droits de l’homme veulent s'assurer que le régime n'est pas autorisé à camoufler ce massacre ; certains publient des preuves audio sur les principaux mollahs qui ont fait partie de la Commission de la mort, d’autres conservent des preuves documentées sur la situation actuelle des droits de l'homme et des prisonniers politiques en Iran. Si le régime les arrête, ils risquent de connaître le même sort que ceux pour qui ils essaient d'obtenir justice.
Pour sa part, le Conseil National de la Résistance iranienne (CNRI), une coalition qui réunit les opposants iraniens œuvre pour mettre fin à la théocratie en Iran.
Selon lui, la seule façon d'améliorer la situation est de renverser le régime, mais cela nécessitera le soutien des défenseurs des droits de l'homme du monde entier.
Comment sanctionner le régime pour ses violations des droits de l'homme :
• Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme doit mener une enquête sur le massacre de 1988.
• Les responsables du massacre de 1988 doivent être jugés devant la Cour pénale internationale.
• La communauté internationale doit sévir contre les violations des droits de l'homme en Iran par des sanctions et renforcer la Section des affaires économiques et sociales de la Mission onusienne, qui supervise les questions relatives aux droits de l'homme.
• La communauté internationale doit soutenir les forces de la Résistance iranienne qui cherchent à instaurer une république laïque et démocratique, respectueuse des droits de l'homme en Iran.
• Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme doit mener une enquête sur le massacre de 1988.
• Les responsables du massacre de 1988 doivent être jugés devant la Cour pénale internationale.
• La communauté internationale doit sévir contre les violations des droits de l'homme en Iran par des sanctions et renforcer la Section des affaires économiques et sociales de la Mission onusienne, qui supervise les questions relatives aux droits de l'homme.
• La communauté internationale doit soutenir les forces de la Résistance iranienne qui cherchent à instaurer une république laïque et démocratique, respectueuse des droits de l'homme en Iran.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire