La solution définitive pour mettre fin à la guerre et au terrorisme est le renversement du régime intégriste des mollahs
La Résistance iranienne salue les décisions adoptées par le sommet extraordinaire des ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe, notamment la condamnation du régime des mollahs pour « son implication continue dans les affaires des pays arabes et l’incitation aux conflits sectaires et religieux ».
La Ligue arabe a également condamné le régime islamiste pour « son soutien aux groupes terroristes dotés d'armes perfectionnées et de missiles balistiques dans les États arabes, » et a appelé au renvoi du régime devant le Conseil de sécurité des Nations Unies pour « les violations de la Résolution n ° 2231 sur le développement du programme de missiles balistiques » et « les violations de la Résolution (2216) » en ce qui concerne le Yémen. Le CNRI considère cela comme une étape nécessaire pour contrer la politique d'exportation de l’extrémisme et du terrorisme du régime des mollahs, qui doit être complétée par une série de mesures pratiques.
Le régime théocratique a un besoin existentiel à promouvoir l'extrémisme, le terrorisme et la guerre. Depuis trois décennies, la Résistance iranienne a mis l’accent sur la nécessité d'affronter ce régime en tant que le plus grand ennemi de la paix et de la tranquillité dans la région et dans le monde. Le fait d’ignorer cette menace, et l’adoption d’une politique de complaisance, ont permis au régime d'étendre une vague sans précédent de terrorisme, de guerre et de massacres dans les pays de la région, depuis la Syrie, l'Irak, le Liban et la Palestine, jusqu’au Yémen, le Bahreïn et l’Afghanistan...
Certaines de mesures proposées pour compléter les positions des ministres arabes des Affaires étrangères, ainsi que les décisions de la Conférence de Riyad (avril 2017) et du Sommet de l'Organisation de la coopération islamique à Istanbul (avril 2016) sont les suivantes :
1. L'expulsion du régime des mollahs de la Conférence de coopération islamique et de toutes les institutions et organes régionaux, et l'attribution des sièges de l’Iran au Conseil National de la Résistance iranienne en tant que seule alternative démocratique à la dictature religieuse et terroriste au pouvoir en Iran ;
2. La rupture complète des relations économiques et diplomatiques des pays arabes et islamiques avec le régime iranien ;
3. L’adoption des mesures régionales et internationales nécessaires pour évincer les Gardiens de la révolution (pasdaran) et leurs milices mercenaires des pays de la région, en particulier de l'Irak, de la Syrie et du Yémen, et empêcher le régime des mollahs d'envoyer des troupes et des armes dans les pays susmentionnés conformément aux résolutions 2216 et 2231 du Conseil de sécurité ;
4. Apporter un soutien politique, financier, militaire et d’armement complet à l'opposition démocratique syrienne, et interdire toute ingérence du régime des mollahs dans les négociations sur la crise syrienne ;
5. Mettre les pasdaran sur les listes terroristes et interdire toutes transactions avec leurs sociétés affiliées ;
6. Sanctionner les crimes du régime des mollahs contre la population iranienne, en particulier l'exécution de 120 000 prisonniers politiques, y compris le massacre de 30 000 prisonniers en 1988, et soutenir la volonté du peuple iranien pour renverser ce régime cruel ;
Le terrorisme et l'extrémisme sous leur forme actuelle ont émergé dans cette région depuis l’avènement du régime des mollahs en 1979. Ses politiques destructrices et meurtrières ne prendront fin qu'avec le renversement de ce régime funeste. C'est un objectif à portée de main, en raison de l’aversion du peuple iranien contre ce régime, ainsi que la présence d'une alternative puissante et organisée face à un régime en fin de vie.
Secrétariat du Conseil National de la Résistance iranienne
Le 20 novembre 2017
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