Le chef de la prière du vendredi à Téhéran, en Iran, Ahmad Khatami, a souligné dans son sermon du vendredi que les séditieux, qu'il s'agisse d'étudiants, d'ecclésiastiques, etc., devaient être traduits devant la justice.
« J'ai également annoncé, lors des séditions de 2009, et je le répète, que dans notre jurisprudence, quiconque se dresse et descend dans la rue contre une règle islamique juste, et tue des gens, est un baghi (rebelle) et la sentence pour un baghi dans notre jurisprudence est l'exécution », a-t-il ajouté.
Source : Agence de presse officielle, Fars - 2 février 2018
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