Washington FreeBeacon - 28 août - par Brent Scher - Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif s'est rendu sur Instagram pour inviter les Iraniens à regarder une conférence TED sur YouTube, oubliant apparemment que les deux sites web des médias sociaux sont interdits en Iran.
La conférence TED de Zarif, donnée en farsi, portait sur les erreurs de communication et a été postée sur YouTube la semaine dernière. Il a attendu jusqu'à hier pour demander à ses partisans d'Instagram de regarder l'entretien.
Malheureusement pour Zarif, les Iraniens ne pourront pas voir l'entretien car Instagram et YouTube font partie des nombreux sites que le régime iranien oppressif a choisi d'interdire.
Le ministre iranien des Affaires étrangères Javad Zarif s'est clairement réjoui de l'occasion qui lui a été donnée de prononcer une intervention sur le TEDx lors d'un événement tourné dans son pays au mois d'août dernier.
Malheureusement pour Zarif, les Iraniens ne pourront pas voir l'entretien car Instagram et YouTube font partie des nombreux sites que le régime iranien oppressif a choisi d'interdire.
Le ministre iranien des Affaires étrangères Javad Zarif s'est clairement réjoui de l'occasion qui lui a été donnée de prononcer une intervention sur le TEDx lors d'un événement tourné dans son pays au mois d'août dernier.
Évidemment, le ministre - le visage public de la politique internationale iranienne - voulait que le plus de gens possible regardent ses messages. Et Zarif s'est rendu sur le site d'Instagram pour montrer à ses partisans une vidéo de l'entretien disponible sur YouTube.
Le seul problème : Instagram et YouTube sont interdits dans son pays. […]
L'Iran adopte un point de vue chinois en ce qui concerne les libertés en ligne, bloquant l'accès à d'innombrables sites Internet, y compris aux principales plateformes de médias sociaux. Comme en Chine, cela a poussé la population vers les VPNs où les sites de substitution offrent une voie de passage.
L'Iran est en train de construire un intranet fermé pour le pays. Le réseau national d'information ININ-Iranian National Information Network (ININ) - est achevé à 80 %, selon les médias d'État en mai. Comme on pouvait s'y attendre, l'intention du réseau fermé est d'isoler davantage le pays du "cyberespace international".
Des dizaines de milliers de sites Internet sont actuellement bloqués par le régime iranien, dont Twitter et Facebook et près de la moitié des sites les plus populaires sur Internet.
Néanmoins, de nombreux hauts responsables iraniens, dont le président Hassan Rohani, publient régulièrement sur des sites de médias sociaux interdits dans le pays.
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