Activités dans plusieurs villes iraniennes
- Alors que la crise interne du régime s’accroit et annonce la fin inéluctable d’un régime en fin de course, les unités de résistance, réseau affilié à l’Organisation des Moudjahidine du Peuple d’Iran (OMPI) ont étendu leurs activités en Iran au mois d’août.Notamment avec une campagne pour la commémoration des victimes du massacre de l'été 1988 en Iran. 30 000 prisonniers politiques, principalement les sympathisants de l’OMPI, avaient été envoyés à la potence par le régime des mollahs en quelques mois dans les diverses prisons à travers l’Iran.
Les activités de la résistance :
Les membres des unités de résistance 1009 et 899 à Ispahan, dans le centre de l'Iran, ont placé des affiches de la dirigeante de l'opposition iranienne, Maryam Radjavi, dans différentes parties de la ville, appelant à traduire en justice les responsables du régime pour crime contre l'humanité.
Les membres des unités de résistance 1009 et 899 à Ispahan, dans le centre de l'Iran, ont placé des affiches de la dirigeante de l'opposition iranienne, Maryam Radjavi, dans différentes parties de la ville, appelant à traduire en justice les responsables du régime pour crime contre l'humanité.
Les courageux membres d'une autre unité de résistance dans la ville de Ramsar, dans le nord de l'Iran, ont également placé des affiches de Maryam Radjavi au moment de sa participation en juillet aux événements d’Achraf 3, siège de l'OMPI en Albanie, et la commémoration des martyrs de 1988.
Les membres d'une unité de résistance dans la ville de Babol, dans le nord de l'Iran, ont célébré la mémoire des victimes du massacre sur leurs tombes et ont installé une pancarte, s'engageant à poursuivre leur combat jusqu'à ce que tous les responsables du régime impliqués dans ce crime odieux soient traduits en justice.
Les membres d’une unité de résistance à Téhéran ont collé les photos de huit victimes du massacre de 1988, avec une citation de Maryam Radjavi: "Les victimes du massacre de 1988 sont la conscience rebelle de l’Iran d’aujourd’hui".
Les membres d’une autre unité de résistance à Téhéran ont marqué la mémoire des victimes du massacre de 1988, avec une affiche illustrant huit victimes, dont Monireh Radjavi, la soeur cadette du chef de la résistance iranienne, Massoud Radjavi.
De retour à Ispahan, les membres d'une unité de résistance ont placé des affiches avec cette citation de Maryam Radjavi: "La solution définitive consiste à renverser le régime des mollahs dans son intégralité par le peuple iranien et sa résistance organisée".
Les membres d'une unité de résistance ont placé des affiches de la dirigeante de l'opposition iranienne dans différentes parties de Bandar Abbas, une grande ville portuaire du sud de l'Iran. Les affiches citaient Radjavi évoquant la déclaration d'indépendance américaine: «Quel est le problème actuel pour nous, notre peuple et notre résistance? L'abandon ou la lutte pour la liberté? ” L'Amérique étaient confrontés aux mêmes circonstances et sa réponse était également la résistance jusqu'à la victoire.
Dans la province de Khorasan Razavi, dans le nord-est de l'Iran, les membres de l'unité de résistance 741 ont placé des affiches de Maryam Radjavi proclamant que le peuple iranien et sa résistance organisée reprendraient l'Iran des mains des mollahs.
Des membres courageux d’une unité de la résistance à Kashan, dans le centre de l’Iran, ont dressé une grande affiche de Maryam Radjavi s'engageant à renverser le régime des mollahs.
Les membres de l’unité de résistance 502 de Tabriz, dans le nord-ouest de l’Iran, ont installé une pancarte indiquant : «Salut à Radjavi, à bas Khamenei», et «Vive à l’Armée de libération nationale iranienne ».
Les membres d'une autre unité de résistance dans la ville de Saveh, au sud-ouest de Téhéran, ont collé divers affiches soulignant la nécessité de traduire en justice les auteurs du massacre de 1988 en Iran.
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