CNRI – L’agence Reuters a rapporté le 9 octobre que selon des sources diplomatiques, un expert de l’Agence International de l’Energie Atomique (AIEA) – qui était de nationalité américaine – n’a pas pu obtenir de visa pour se rendre en Iran.
Le représentant du régime iranien auprès de l’AIEA dit que son pays ne s’est pas engagé à octroyer de visa à tous les inspecteurs de l’agence.
L’AIEA avait auparavant annoncé qu’au mois d’août, lors de la visite à Téhéran d’une délégation de l’agence, un des membres de la délégation n’a pas obtenu de visa.
Selon l’agence, c’est la troisième fois que le régime iranien refuse d’accorder de visa à cet expert de l’AIEA.
Des recherches présumées sur la fabrication d’armes atomiques fait partie des motifs de soupçons sur le programme nucléaire de l’Iran.
L’AIEA affirme que concernant le programme nucléaire de l’Iran, il y a encore plusieurs questions auxquelles l’Iran n’a pas encore répondu.
Après le retour de ses inspecteurs de Téhéran, l’agence a annoncé qu’une des questions restées sans réponse concernait les testes effectués dans la passé en Iran sur des détonateurs.
Le représentant du régime iranien auprès de l’AIEA, Réza Nadjafi, a dit que les négociations durant deux jours à Téhéran entre l’Iran et l’agence ont été « constructives, sérieuses, substantielles et franches ».
Or, l’agence Reuters a rapporté que selon des diplomates occidentaux basées à Vienne, les négociations qui ont eu lieu à Téhéran n’ont guère avancé.
Les autorités iraniennes ne souhaitent pas que les inspecteurs de l’AIEA effectuent des inspections précises et poussées sur le site militaire de Partchine (situé près de Téhéran).
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