Alors que la saison chaude bat son plein en Iran, les agents du régime ont coupé l'eau de la prison Karchak à Téhéran, où sont détenues des femmes. Cette mesure punitive dans un pénitencier connue pour ses conditions épouvantables s’apparentant à un camp de concentration, a rendu la situation encore plus insoutenable aux détenues.
Elle est surnommée «Kahrizak 2 », au nom d’une sinistre prison qui avait fait parler d’elle lors du soulèvement de 2009 où des manifestants avaient été sauvagement torturés, conduisant à la mort d’au moins quatre jeunes.
Depuis le 19 juin, les haut-parleurs à Karchak menacent les détenues de coups de fouet si durant le mois de Ramadan elles continuent de boire ou de manger pendant les heures de jeûne.
Pour accentuer la pression, le régime des mollahs les a transférées les prisonnières politiques à la prison de Karchak pour les y incarcérer avec des détenues de droit commun.
Afin d’empêcher l'explosion d’une société fortement excédée, le régime n'est même pas en mesure de desserrer l’étau de la répression ne serait-ce que pour moi de Ramadan et avance le prétexte du « combat contre les contrevenants au jeûne » pour intensifier le climat de peur dans la population.
Depuis le 19 juin, les haut-parleurs à Karchak menacent les détenues de coups de fouet si durant le mois de Ramadan elles continuent de boire ou de manger pendant les heures de jeûne.
Pour accentuer la pression, le régime des mollahs les a transférées les prisonnières politiques à la prison de Karchak pour les y incarcérer avec des détenues de droit commun.
Afin d’empêcher l'explosion d’une société fortement excédée, le régime n'est même pas en mesure de desserrer l’étau de la répression ne serait-ce que pour moi de Ramadan et avance le prétexte du « combat contre les contrevenants au jeûne » pour intensifier le climat de peur dans la population.
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