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Le 19 juin, lors de la coupe du monde de volleyball au stade Azadi de Téhéran en Iran, les agents du régime des mollahs ont agressé et battu avec violence les Iraniennes et même les journalistes femmes locales et étrangères qui voulaient entrer dans ce stade de 12.000 places.
Le 19 juin, lors de la coupe du monde de volleyball au stade Azadi de Téhéran en Iran, les agents du régime des mollahs ont agressé et battu avec violence les Iraniennes et même les journalistes femmes locales et étrangères qui voulaient entrer dans ce stade de 12.000 places.
Or peu avant, le gouvernement de Rohani avait annoncé avec démagogie qu’il allait autoriser la présence des femmes dans cette rencontre internationale. Mais les forces de sécurité et les agents répressifs se sont arrangés pour ne pas tenir compte du gouvernement Rohani et ont annoncé officiellement que les femmes n’avaient pas le droit d’assister au match ni d’entrer à Azadi. Cependant, un groupe de femmes et de journalistes femmes se sont rendues au stade et ont été la cible de l’agression des agents du régime des mollahs.
La polémique autour de la présence des femmes dans les stades occupe depuis un moment le régime en Iran. La Fédération internationale de volleyball a annoncé le mois dernier qu’interdire les stades aux femmes pour assister à des rencontres sportives était contraire à la charte olympique et qu’elle allait priver l’équipe du régime iranien de participer aux jeux mondiaux. C’est la raison pour laquelle la machine à mensonges du régime avait par la voix du gouvernement Rohani annoncé vouloir régler rapidement ce problème. Mais cette fausse promesse n’a pas duré plus de quelques jours et avec l’attaque et les coups lancés ce vendredi contre les femmes, le régime misogyne des mollahs demeure sur sa politique réactionnaire et barbare.
Entretemps, la Fédération internationale de volleyball et le Comité international olympique, dans la ligne de la politique de complaisance et de négociation des pays occidentaux avec le gouvernement Rohani, ignorent les droits des Iraniennes et des Iraniens. Pour contenter les mollahs, ils ferment les yeux sur les terribles violations des droits des femmes, contraires à la Charte olympique.
La Commission du sport du Conseil national de la Résistance iranienne et les champions nationaux iraniens condamnent la politique réactionnaire d’interdire la présence des Iraniennes dans les stades. La commission souligne que ne pas expulser la fédération de volleyball du régime iranien de la fédération internationale va à l’encontre de la chartre de l’ONU et de la chartre des jeux olympiques et des droits élémentaires des femmes.
Il ne fait aucun doute que la politique de complaisance sous couvert de diplomatie de ping-pong, de lutte et aujourd’hui du volleyball n’a aucun avenir. Sous peu, le peuple iranien renversera cette dictature religieuse misogyne et l’enverra dans la poubelle de l’histoire, et cette tâche de déshonneur restera sur les gouvernements pilleurs et complaisants qui ont pris des mesures aussi inhumaines contre les femmes et le peuple iranien.
La commission des Sports du CNRI appelle l’ensemble des femmes, des hommes et des sportifs en Iran à se dresser contre le régime des mollahs dans toutes les villes et les stages en Iran. Elle demande l’expulsion des mollahs de la Fédération internationale et du Comité international olympique.
La polémique autour de la présence des femmes dans les stades occupe depuis un moment le régime en Iran. La Fédération internationale de volleyball a annoncé le mois dernier qu’interdire les stades aux femmes pour assister à des rencontres sportives était contraire à la charte olympique et qu’elle allait priver l’équipe du régime iranien de participer aux jeux mondiaux. C’est la raison pour laquelle la machine à mensonges du régime avait par la voix du gouvernement Rohani annoncé vouloir régler rapidement ce problème. Mais cette fausse promesse n’a pas duré plus de quelques jours et avec l’attaque et les coups lancés ce vendredi contre les femmes, le régime misogyne des mollahs demeure sur sa politique réactionnaire et barbare.
Entretemps, la Fédération internationale de volleyball et le Comité international olympique, dans la ligne de la politique de complaisance et de négociation des pays occidentaux avec le gouvernement Rohani, ignorent les droits des Iraniennes et des Iraniens. Pour contenter les mollahs, ils ferment les yeux sur les terribles violations des droits des femmes, contraires à la Charte olympique.
La Commission du sport du Conseil national de la Résistance iranienne et les champions nationaux iraniens condamnent la politique réactionnaire d’interdire la présence des Iraniennes dans les stades. La commission souligne que ne pas expulser la fédération de volleyball du régime iranien de la fédération internationale va à l’encontre de la chartre de l’ONU et de la chartre des jeux olympiques et des droits élémentaires des femmes.
Il ne fait aucun doute que la politique de complaisance sous couvert de diplomatie de ping-pong, de lutte et aujourd’hui du volleyball n’a aucun avenir. Sous peu, le peuple iranien renversera cette dictature religieuse misogyne et l’enverra dans la poubelle de l’histoire, et cette tâche de déshonneur restera sur les gouvernements pilleurs et complaisants qui ont pris des mesures aussi inhumaines contre les femmes et le peuple iranien.
La commission des Sports du CNRI appelle l’ensemble des femmes, des hommes et des sportifs en Iran à se dresser contre le régime des mollahs dans toutes les villes et les stages en Iran. Elle demande l’expulsion des mollahs de la Fédération internationale et du Comité international olympique.
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