Aucune autre religion que le chiisme n'est tolérée en Iran. Toute religion différente de la religion étatique est synonyme de déviance et elle entre alors dans la catégorie des minorités religieuses (ou ethniques). Les lourdes, parfois mortelles conséquences sont la répression, la violence, la torture, le harcèlement des autorités de l’État islamique et la mort. Une enseignante a été congédiée pour sa croyance (Ahl-e Hagh), une autre, Fahimeh Ismaili, battue presque à mort en prison, une autre encore incarcérée en raison de sa conversion au christianisme.Aucune tolérance, aucune exception, aucune possibilité d'être différent.
Les mollahs en Iran ne tolèrent aucune « transgression » !
Source : CNRI - Commission des femmes
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