CSDHI - Une exécution a été effectuée à la prison de Shirvan, en Iran. Elle s'ajoute à toutes les violations des droits humains, qu'effectue chaque jour, chaque semaine, le régime des mollahs.
Le samedi 29 février 2020, Ahmad Mahrokhi accusé de meurtre en 2016 et condamné à mort, a été exécuté à la prison de Shirvan. Son exécution n'a pas été annoncée dans les médias ou les sources officielles iraniennes. (Les militants des droits de l'homme en Iran – le 1er mars 2020)
Une exécution à la prison d'Oroumieh
À l'aube du dimanche 1er mars 2020, au moins un prisonnier a été exécuté à la prison d'Oroumieh. Amir Mohammad-Poor, originaire de Bukan, était détenu dans le quartier des jeunes de cette prison. Il a été condamné à mort pour meurtre. Comme le rapportait le site Internet, Hengaw, il avait moins de 17 ans au moment du crime. (Les militants des droits de l'homme en Iran, Hengaw – le 1er mars 2020)
Une exécution à la prison Ghezel Hesar de Karaj
Hamid, 32 ans, accusé de meurtre et de vol et sans-abri, au moment de son arrestation a été pendu la semaine dernière à la prison de Ghezel Hesar après que l'autorisation de son exécution ait été accordée. (Site Web public en ligne de Davat - 28 février 2020)
Un prisonnier exécuté à Shirvan
Dans la matinée du samedi 29 février 2020, Ahmad Mahrokhi, inculpé de « meurtre intentionnel » et condamné à Qisas (la loi du Talion) a été exécuté à la prison de Shirvan dans la province du Nord du Khorasan.
Cette exécution n'est encore annoncée par aucun des médias en Iran ni par aucune source officielle. (Iran Human Rights – le 1er mars 2020)
Des meurtres arbitraires
Trois morts et blessés ; des agents tirent sur des enfants
Le samedi 29 février 2020, les agents d'un poste à Chabahar ont tiré sur une moto sur laquelle se trouvaient trois enfants. Un enfant est décédé et deux autres ont été blessés.
Abdol Qafar Khorsand 15 ans, a reçu une balle dans la poitrine et il est décédé avant d'arriver à l'hôpital.
Le bureau du médecin légiste a sanctionné la cause de la mort comme étant « un objet à trajectoire solide (comme une balle tirée) » qui a touché la région du cœur et « a déchiré le vestibule droit du cœur. »
Yahya Balooch, 16 ans et Jafar Jadgal Zadeh, 20 ans, ont été blessés par balle aux bras et transférés à la section d'urgence. Ils ont dit qu’après que les agents se sont rendus chez eux, ils ont frappé ces enfants, avec la crosse de leur arme à feu, au visage et à la tête. (Campagne Baloch – le 1er mars 2020)
Le capitaine d'un transporteur de carburant décédé, abattu par des patrouilles maritimes
À la suite d'une fusillade directe des patrouilles maritimes, le capitaine d'un transporteur de carburant, Hossein Mallahi, a été touché et il est décédé le dimanche 1er mars 2020. Les patrouilles maritimes ont rejoint le transporteur avec leur hors-bord et pour l'arrêter, elles lui ont tiré dessus.
M. Mallahi a été touché au cou et il est décédé. Le navire transportait de l'essence.
Les sources ont également déclaré que « les tirs ont été directs et sans avertissement ». (Campagne Baloutche – le 2 mars 2020)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire