Le conseil de sécurité de l’ONU, le Secrétaire général, le Conseil des droits de l’homme, la Haut-Commissaire des droits de l’homme de l’ONU doivent condamner le régime des mollahs pour ses dissimulations criminelles et persistantes sur l’épidémie du coronavirus et pour avoir mis en danger la vie du peuple iranien et des peuples d’autres pays
Chers compatriotes,
Médecins et personnels infirmiers dévoués,
En ces jours amers, en raison des dissimulations et des retards criminels des mollahs, l’épidémie de coronavirus a mis la vie de la population en danger. Je vous appelle tous à la solidarité nationale pour empêcher la propagation de la maladie et pour protéger la vie de nos compatriotes. Je vous appelle aussi à protester contre le régime inhumain des mollahs.
J’adresse mes condoléances aux familles endeuillées et je forme des vœux de convalescence rapide pour tous nos compatriotes touchés par cette maladie.
Médecins et personnels infirmiers dévoués,
En ces jours amers, en raison des dissimulations et des retards criminels des mollahs, l’épidémie de coronavirus a mis la vie de la population en danger. Je vous appelle tous à la solidarité nationale pour empêcher la propagation de la maladie et pour protéger la vie de nos compatriotes. Je vous appelle aussi à protester contre le régime inhumain des mollahs.
J’adresse mes condoléances aux familles endeuillées et je forme des vœux de convalescence rapide pour tous nos compatriotes touchés par cette maladie.
Je salue la mémoire des médecins et infirmières dévoués qui ont perdu la vie en soignant les malades. Ces infirmières et infirmiers se mettent en danger de mort alors que cela fait des années que leurs droits les plus élémentaires sont violés et qu’ils sont dépouillés par les mollahs. Nous sommes toutes et tous redevables à ces femmes et ces hommes dévoués.
Je rends également hommage aux sympathisants des Moudjahidine du peuple (OMPI) et aux membres des unités de résistance qui en secourant des malades ont contracté cette maladie et ont perdu la vie.
Je rends également hommage aux sympathisants des Moudjahidine du peuple (OMPI) et aux membres des unités de résistance qui en secourant des malades ont contracté cette maladie et ont perdu la vie.
Sur ordre de Khamenei, le guide suprême des mollahs, la société iranienne n’a pas été informée de l’épidémie du coronavirus, et les autorités n’ont pris aucune mesure pour la maitriser à temps, afin d’assurer un taux de participation pour l’anniversaire de la révolution et la mascarade électorale.
Ce tyran qui gouverne depuis le début en s’appuyant sur la torture et les exécutions, la belligérance et le vol, joue aujourd’hui avec la vie de 83 millions d’Iraniens. Il n’a pas hésité à dire avec cruauté que cette maladie avait servi de prétexte pour saper les élections, ni à avancer que ce virus n’était pas un danger si important et que le régime depuis le début avait fait preuve de transparence dans la diffusion d’informations à ce sujet.
Aujourd’hui, après la mort d’au moins 1800 de nos compatriotes, les mollahs ne disent toujours pas d’où et comment cette maladie est arrivée jusqu’à Qom, ne disent toujours pas pourquoi les vols à destination de la Chine de la compagnie des pasdaran, Mahan Air, ne sont pas interrompus et continuent à ce jour. Khamenei a chargé les pasdarans, le ministère du Renseignement et d’autres organes répressifs d’empêcher par tous les moyens la révélation des véritables chiffres des personnes contaminées par le coronavirus et des morts. Cette maladie frappe surtout les pauvres et les ouvriers. Tous ceux qui dans les villages souffrent de la misère et de la faim. Toute cette population qui vit en marge des villes et qui représentent au moins 20 millions de personnes et qui contractent des maladies dans un milieu contaminé.
L’ampleur de la cruauté et des crimes de la dictature religieuse transparait aussi dans le fait de laisser sans défense des centaines de milliers de prisonniers face à ce virus.
Aujourd’hui, après la mort d’au moins 1800 de nos compatriotes, les mollahs ne disent toujours pas d’où et comment cette maladie est arrivée jusqu’à Qom, ne disent toujours pas pourquoi les vols à destination de la Chine de la compagnie des pasdaran, Mahan Air, ne sont pas interrompus et continuent à ce jour. Khamenei a chargé les pasdarans, le ministère du Renseignement et d’autres organes répressifs d’empêcher par tous les moyens la révélation des véritables chiffres des personnes contaminées par le coronavirus et des morts. Cette maladie frappe surtout les pauvres et les ouvriers. Tous ceux qui dans les villages souffrent de la misère et de la faim. Toute cette population qui vit en marge des villes et qui représentent au moins 20 millions de personnes et qui contractent des maladies dans un milieu contaminé.
L’ampleur de la cruauté et des crimes de la dictature religieuse transparait aussi dans le fait de laisser sans défense des centaines de milliers de prisonniers face à ce virus.
D’autre part, avec leur dissimulation, les mollahs n’ont pas seulement mis en danger la vie des Iraniens dans 31 provinces mais ils se sont aussi transformés en foyer de transmission du virus dans de grandes parties du monde. C’est l’autre face de la belligérance et de l’exportation du terrorisme des mollahs pour sauvegarder leur pouvoir funeste.
Chers compatriotes,
Ce qui a rendu notre pays si vulnérable face aux maladies et aux fléaux naturels, c’est une dictature sauvage et pillarde qui pour sauvegarder son pouvoir ignoble, ne recule devant aucun crime. Un régime qui a anéanti les infrastructures économiques, sociales, médicales et environnementales. Comment un pays où une douzaine de millions de personnes souffrent de la faim, où près de 60 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté absolue, peut-il faire face à une telle épidémie ? Et cela alors qu’une grande partie de la richesse du pays sert à financer le corps des pasdarans de Khamenei ou la guerre et les bains de sang en Syrie, en Irak et au Yémen ?
Les crimes des mollahs dans l’épidémie du coronavirus sont l’autre facette du grand massacre lors du soulèvement de novembre 2019. Quand leur pouvoir est en danger, ils n’ont de pitié pour personnes. Les images des enfants tués par les pasdarans en novembre révoltent la conscience de l’humanité.
Dans son dernier rapport sur le soulèvement de novembre, Amnesty international a écrit qu’au moins 23 enfants avaient été tués par les balles des forces de sécurité lors des manifestations de novembre et leurs corps enveloppés dans des linceuls ont été remis aux parents juste quelques minutes avant leur inhumation. Certes, sous la condition que les familles gardent le silence.
Le fascisme religieux au pouvoir en Iran tente de toutes ses forces d’empêcher la divulgation du véritable nombre de tués du soulèvement de novembre. L’organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran a publié les noms de 755 tués, y compris des enfants, dans les semaines et les mois qui ont suivi le soulèvement pour neutraliser le complot de dissimulation et de tromperie des mollahs. J’appelle ici même tous nos compatriotes, toutes les mères endeuillées, proches et amis des tués du soulèvement de novembre à faire connaitre par tous les moyens les noms des victimes et à les faire parvenir aux instances internationales de défense des droits humains.
Ce qui a rendu notre pays si vulnérable face aux maladies et aux fléaux naturels, c’est une dictature sauvage et pillarde qui pour sauvegarder son pouvoir ignoble, ne recule devant aucun crime. Un régime qui a anéanti les infrastructures économiques, sociales, médicales et environnementales. Comment un pays où une douzaine de millions de personnes souffrent de la faim, où près de 60 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté absolue, peut-il faire face à une telle épidémie ? Et cela alors qu’une grande partie de la richesse du pays sert à financer le corps des pasdarans de Khamenei ou la guerre et les bains de sang en Syrie, en Irak et au Yémen ?
Les crimes des mollahs dans l’épidémie du coronavirus sont l’autre facette du grand massacre lors du soulèvement de novembre 2019. Quand leur pouvoir est en danger, ils n’ont de pitié pour personnes. Les images des enfants tués par les pasdarans en novembre révoltent la conscience de l’humanité.
Dans son dernier rapport sur le soulèvement de novembre, Amnesty international a écrit qu’au moins 23 enfants avaient été tués par les balles des forces de sécurité lors des manifestations de novembre et leurs corps enveloppés dans des linceuls ont été remis aux parents juste quelques minutes avant leur inhumation. Certes, sous la condition que les familles gardent le silence.
Le fascisme religieux au pouvoir en Iran tente de toutes ses forces d’empêcher la divulgation du véritable nombre de tués du soulèvement de novembre. L’organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran a publié les noms de 755 tués, y compris des enfants, dans les semaines et les mois qui ont suivi le soulèvement pour neutraliser le complot de dissimulation et de tromperie des mollahs. J’appelle ici même tous nos compatriotes, toutes les mères endeuillées, proches et amis des tués du soulèvement de novembre à faire connaitre par tous les moyens les noms des victimes et à les faire parvenir aux instances internationales de défense des droits humains.
Chers compatriotes, jeunesse courageuse, étudiants résistants,
Comme l’a dit Massoud Radjavi, le dirigeant de la Résistance iranienne : la guerre que livre le peuple iranien au coronavirus s’inscrit dans la guerre capitale contre Khamenei et son régime démagogue et inhumain du guide suprême.
Les mollahs au pouvoir n’ont pas un atome d’humanité, d’iranité ni d’islam. Ils ne veulent ni ne peuvent défendre les intérêts de la nation iranienne.
Aujourd’hui non seulement la liberté, mais aussi la santé et la vie des Iraniens, le sauvetage de l’économie et la protection de l’Iran dépendent du renversement de ce régime. Tout comme la condition nécessaire à la paix et la sécurité de la région et du monde, et la capacité à faire face aux fléaux naturels, dépendent d’un changement de régime. C’est pourquoi en ces moments critiques de l’histoire de notre pays je rappellerai quelques points :
1- Visez le régime avec votre colère. Les initiatives et la créativité des jeunes, en particulier des étudiants ouvrent la voie et brisent les impasses. C’est nous qui devons nous lever pour protéger le pays et la société, sa santé et sa sécurité, ainsi que son avenir. Il faut exprimer son rejet du régime, protester et faire grève partout où c’est possible.
2- Il faut retirer les moyens médicaux des mains des pasdarans et des organes liés au bureau de Khamenei et les mettre à la disposition de la population, des médecins et des personnels infirmier dévoués et défenseurs des libertés.
3- Les sympathisants de l’OMPI et de la Résistance, les unités de résistance et les conseils de résistance ainsi que les conseils populaires doivent en pleine connaissance des règles de santé et munis des équipements de protection nécessaire aider et secourir les malades. Cette compassion et cette solidarité nationale font partie de la lutte contre la dictature religieuse.
4- Je demande à tous nos compatriotes de rendre public par tous les moyens possibles les informations sur la catastrophe du coronavirus, en particulier le nombre et les noms des personnes décédées pour briser le complot du silence du régime.
5- Le conseil de sécurité de l’ONU, le Secrétaire général, le Conseil des droits de l’homme, la Haut-Commissaire des droits de l’homme de l’ONU et les autres organes internationaux concernés doivent condamner le régime des mollahs pour ses dissimulations criminelles et persistantes sur l’épidémie du coronavirus et pour avoir mis en danger la vie du peuple iranien et des peuples d’autres pays. Je demande aussi que pour sauver la vie et la santé des prisonniers, en particulier les prisonniers politiques qui souffrent de tortures, de privations et de pressions redoublées, qu’ils prennent des mesures immédiates pour empêcher une grande catastrophe humanitaire.
Je demande à Dieu de protéger le peuple iranien des maladies et du virus du guide suprême et de lui assurer la santé et la sécurité.
Comme l’a dit Massoud Radjavi, le dirigeant de la Résistance iranienne : la guerre que livre le peuple iranien au coronavirus s’inscrit dans la guerre capitale contre Khamenei et son régime démagogue et inhumain du guide suprême.
Les mollahs au pouvoir n’ont pas un atome d’humanité, d’iranité ni d’islam. Ils ne veulent ni ne peuvent défendre les intérêts de la nation iranienne.
Aujourd’hui non seulement la liberté, mais aussi la santé et la vie des Iraniens, le sauvetage de l’économie et la protection de l’Iran dépendent du renversement de ce régime. Tout comme la condition nécessaire à la paix et la sécurité de la région et du monde, et la capacité à faire face aux fléaux naturels, dépendent d’un changement de régime. C’est pourquoi en ces moments critiques de l’histoire de notre pays je rappellerai quelques points :
1- Visez le régime avec votre colère. Les initiatives et la créativité des jeunes, en particulier des étudiants ouvrent la voie et brisent les impasses. C’est nous qui devons nous lever pour protéger le pays et la société, sa santé et sa sécurité, ainsi que son avenir. Il faut exprimer son rejet du régime, protester et faire grève partout où c’est possible.
2- Il faut retirer les moyens médicaux des mains des pasdarans et des organes liés au bureau de Khamenei et les mettre à la disposition de la population, des médecins et des personnels infirmier dévoués et défenseurs des libertés.
3- Les sympathisants de l’OMPI et de la Résistance, les unités de résistance et les conseils de résistance ainsi que les conseils populaires doivent en pleine connaissance des règles de santé et munis des équipements de protection nécessaire aider et secourir les malades. Cette compassion et cette solidarité nationale font partie de la lutte contre la dictature religieuse.
4- Je demande à tous nos compatriotes de rendre public par tous les moyens possibles les informations sur la catastrophe du coronavirus, en particulier le nombre et les noms des personnes décédées pour briser le complot du silence du régime.
5- Le conseil de sécurité de l’ONU, le Secrétaire général, le Conseil des droits de l’homme, la Haut-Commissaire des droits de l’homme de l’ONU et les autres organes internationaux concernés doivent condamner le régime des mollahs pour ses dissimulations criminelles et persistantes sur l’épidémie du coronavirus et pour avoir mis en danger la vie du peuple iranien et des peuples d’autres pays. Je demande aussi que pour sauver la vie et la santé des prisonniers, en particulier les prisonniers politiques qui souffrent de tortures, de privations et de pressions redoublées, qu’ils prennent des mesures immédiates pour empêcher une grande catastrophe humanitaire.
Je demande à Dieu de protéger le peuple iranien des maladies et du virus du guide suprême et de lui assurer la santé et la sécurité.
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