Alors que le soulèvement populaire se prolongeait mois après mois et brisait les préjugés des spectateurs occidentaux, quelques partis étaient enclins à avoir une part de l’avenir de l’Iran. Pendant ce temps, certains militants des médias et opportunistes devenus militants politiques, et ceux en Occident qui recherchaient activement des « modérés » au sein du régime ont commencé à travailler sur un nouveau projet : créer une nouvelle alternative au régime iranien.
Ces acteurs ont utilisé de vastes tactiques de propagande par le biais des médias et des plateformes sociales de langue persane pour construire une soi-disant opposition iranienne qui manquait de toute structure organisationnelle et d’intégrité politique. Leur objectif était de marginaliser ou, à tout le moins, de contrôler et de soumettre le mouvement organisé et résilient de la Résistance iranienne sous leur propre influence.
Le régime clérical désespéré, s’efforçant de garder le contrôle sur une société de plus en plus révoltée, craignait les répercussions d’une répression brutale. Pour atténuer ce risque, ils ont utilisé la fausse industrie alternative au sein de la diaspora pour attaquer le seul parti travaillant véritablement pour un changement de régime.
Néanmoins, alors que le soulèvement commençait à exiger des coûts plus élevés, la façade de la fausse coalition d’opposition s’est effondrée. Le régime clérical a eu recours au discours diplomatique pour feindre la stabilité. Des décideurs occidentaux mal informés croyaient pouvoir exploiter un régime affaibli pour régler de vieux différends concernant le programme nucléaire et les ressortissants étrangers retenus en otage.
Le régime terroriste a contraint Bruxelles à un accord perfide, obtenant la libération de son agent de renseignement le plus haut gradé, qui avait été capturé lors d’un attentat déjoué en 2018. Le gouvernement De Croo a capitulé et l’opposition belge n’a pu offrir de résistance que pendant quelques semaines. . Mais lorsque la Résistance iranienne s’est impliquée, l’accord a été bloqué pendant plus d’un an et n’a été conclu qu’après que le monde entier a appris que l’apaisement sacrifie les valeurs démocratiques sur l’autel de l’État le plus actif qui parraine le terrorisme mondial.
Ensuite, c’est au tour de la France d’essayer de s’attirer les bonnes grâces du régime des mollahs. Comme prévu, un assaut à part entière contre le Sommet mondial de l’Iran libre 2023 s’est déroulé sur fond de pourparlers secrets avec Téhéran, y compris un appel téléphonique de 90 minutes entre le président français Emmanuel Macron et Ebrahim Raisi.
La Résistance s’est préparée avec diligence à divers plans et scénarios du pire, naviguant dans des complexités logistiques, politiques, sociales et financières. Bien que certains partis occidentaux aient été déterminés à prouver l’inefficacité de la volonté d’un tel mouvement indépendant.
Des résolutions de soutien de plus d’une centaine de dirigeants mondiaux, de plus de 70 lauréats du prix Nobel et de plus de 3 600 législateurs de 41 pays ont été rendues publiques, reflétant une tendance significative à l’acceptation mondiale de la résistance iranienne. Ces résolutions ont également agi comme un filet de sécurité, protégeant la Résistance des conspirations imminentes orchestrées par le régime.
Le mouvement résilient, qui avait démystifié les étiquettes de terroristes devant de nombreux tribunaux, n’a pas cédé à la pression. Avec une détermination sans faille, la Résistance iranienne a élevé le système judiciaire indépendant en France, conduisant au renversement du complot.
En moins de 48 heures, malgré une confusion écrasante, des défis liés aux considérations de sécurité d’invités de renom et la situation précaire dans les rues de Paris, le Free Iran Rally and World Summit s’est déroulé avec succès dans deux lieux distincts pendant quatre jours consécutifs.
Il a fallu à la Résistance une énorme quantité de tolérance, de travail, de temps et de ressources pour travailler contre toute attente, mais elle l’a fait. Cela a montré à la société iranienne agitée et au monde que lorsqu’une nation reste indépendante et inébranlable dans sa quête de liberté et de démocratie, aucune puissance ne peut résister à la noble quête de justice.
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