Le texte souligne que le massacre de 1988 a été perpétré sur la base d’un décret religieux visant l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI), entraînant l’exécution de pas moins de 30 000 prisonniers politiques. Parmi les victimes figuraient des partisans du MEK / OMPI, des membres d’autres groupes politiques et des minorités religieuses telles que les baha’is.
En outre, la résolution demande au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies d’inscrire le massacre de 1988 à l’ordre du jour de la commission d’enquête chargée d’enquêter sur les violences en cours contre les manifestants. Enfin, il reconnaît les droits du peuple iranien et sa lutte pour établir une République démocratique, laïque et non nucléaire, en Iran.
La résolution indique également clairement que la Chambre des représentants des États-Unis est solidaire du peuple iranien, défendant ses droits à la liberté contre la répression, et condamne les meurtres brutaux de manifestants iraniens par le régime.
La resolution appelle de plus à la protection des réfugiés politiques iraniens résidant à Achraf 3 en Albanie et à leur droit à la vie, à la liberté, à la sécurité et à la liberté d’expression et de réunion.
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