samedi 30 novembre 2013

91éme jour de grève de la faim des opposants iraniens pour la libération des sept otages d’Achraf

                     Day 91
Aujourd’hui, la grève de la faim des habitants du camp Liberty et des Iraniens à Genève, Berlin, Londres, Ottawa, Melbourne, Rome, Sotckholm, et Washington entre dans son 91éme jour.
La libération des sept Achrafiens pris en otage par les forces irakiennes est leur principale revendication.

Iran : Chaine humaine de milliers de personnes à Ahwaz contre le détournement des eaux du Karoun

                            
  Des milliers d’habitants de la ville d’Ahwaz, dans le sud-ouest de l’Iran ont formé pour la énième fois une chaine humaine tout le long du fleuve Karoun pour protester contre le plan du régime visant à détourner ses eaux et à l’assécher. Ils estiment que ce plan va entrainer la sécheresse et la désertification de la province du Khouzistan. Redoutant que ce mouvement prenne de l’ampleur, les forces répressives ont chargé avec violence les manifestants, procédant à des arrestations.

  Selon le plan du régime des mollahs, 1200 millions de m3 d’eaux du Karoun seront détournés vers les provinces du centre du pays. Ce détournement va cruellement réduire le débit des fleuves dans les plaines du Khouzistan et du Golfe persique. Sous prétexte d’irriguer les autres régions du pays, le régime transforme la province la plus fertile d’Iran en désert, pour servir les intérêts des gardiens de la révolution.
  A l’heure actuelle, avec le détournement d’une partie des eaux du Karoun, le niveau du fleuve a baissé à moins d’un mètre dans le secteur d’Ahwaz et son taux de sel a vivement augmenté. Beaucoup de terres de la province sont aussi désormais inutilisables, entrainant un grand exode rural.

  Les dégâts de ce plan destructeur sont tels que les députés du régime craignant la révolte populaire ont mis en garde contre « le transfert des eaux du Karoun dans les autres provinces va causer  des ravages dans la province Khouzistan. »

vendredi 29 novembre 2013

66% des femmes iraniennes sont victimes de violences

                                          
Selon une étude effectuée en Iran, 66,3% des Iraniennes sont confrontées à la violence dès le début de leur vie.

Cette étude a été effectuée le 25 novembre, pour la Journée internationale contre les violences faites aux femmes.

D’après l’étude, 10,5% des femmes ont été particulièrement exposées à la violence et 53% d’entre elles ont expérimenté la violence durant la première année qui a suivie leur mariage. 28,2% des femmes iraniennes ont été victimes de violences physiques dont 19,2% ont eu lieu durant la première année de mariage.
Selon cette étude, les femmes sont victimes de divers types de violences : coups, gifles, brulures, menaces à l’arme blanche ou à feu, harcèlement dans la rue...

La ville d’Ahwaz (sud-ouest de l’Iran), ainsi que la province de Kurdistan (ouest du pays) sont les régions où les femmes sont plus victimes de violence qu’ailleurs. Téhéran fait partie des villes où il existe de nombreux cas de violence misogynes dans le cercle familial.

Le Dr Maryam Rassoulian, psychiatre et membre du comité scientifique de la faculté des sciences médicales, a dénoncé l’augmentation des violences faites aux femmes et a ajouté : « la situation actuelle signifie que les comportements violents sont en train de devenir des comportements banals. Il faut absolument que l’on change cette situation par tous les moyens. »

D’après les experts, les lois du régime iranien et la politique de répression des mollahs qui sont particulièrement focalisées contre les femmes font partie des facteurs importants qui ont banalisé les violences.

90e jour de grève de la faim des opposants iraniens pour la libération des sept otages d’Achraf

                            
Aujourd’hui, la grève de la faim des habitants du camp Liberty et des Iraniens à Genève, Berlin, Londres, Ottawa, Melbourne, Rome, Sotckholm, et Washington entre dans son 90e jour.
La libération des sept Achrafiens pris en otage par les forces irakiennes est leur principale revendication.

Maryam Radjavi : la grève de la faim de 3000 prisonniers et les protestations de leurs familles contre les exécutions barbares en Iran

                            
démontrent la volonté du peuple de renverser un régime qui se maintient par les massacres 

Mme Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, a salué la grève de la faim de 3000 prisonniers de la centrale de Ghezel Hessar (près de Téhéran) qui protestent contre l'exécution de leurs codétenus. Elle a qualifié la persévérance de ces prisonniers d’exemple louable de l'esprit de résistance et de dissidence qui se développe contre le régime inhumain de mollahs.

Elle a déclaré que la grève de la faim de ces nombreux prisonniers, le rassemblement de protestation de leurs familles devant la prison de Ghezel Hessar et le parlement du régime, ainsi que le mouvement de protestation contre les tueries et les exécutions dans diverses régions du pays, au Kurdistan, en Azerbaïdjan, à Karaj et Téhéran, démontrent la volonté du peuple pour renverser le régime du Guide suprême qui se maintient par les exécutions et les massacres. Si ce régime cesse de torturer et d’exécuter, a-t-elle dit, il ne se tiendra pas une seule journée.  
Mme Radjavi a salué les familles endeuillées des prisonniers exécutés, en particulier les mères, les épouses et les enfants des victimes, et a appelé l'ensemble du peuple iranien, en particulier les jeunes, à se soulever pour les protéger.

Elle a souligné que ce régime se trompe lourdement s’il croit pouvoir cacher son état critique et ses conflits internes, aggravés depuis l'accord nucléaire, par une vague d'exécutions et de répression en Iran et par un massacre à Achraf et au camp Liberty.

Mme Radjavi a ajouté : le silence et l'inaction des États-Unis et de l’Union européenne sur la vague d'exécutions en Iran qui depuis la mise en scène de la présidentielle approche maintenant les 400 exécutions, soulève la colère et l'horreur de l’ensemble du peuple iranien. Elle a averti qu’ignorer les droits humains et la démocratie sous prétexte de négociations nucléaires, revient non seulement à violer ouvertement les valeurs universelles, mais encourage aussi ce régime à poursuivre son projet pour se doter de la bombe atomique.

jeudi 28 novembre 2013

Appel renouvelé de la Résistance iranienne à une enquête indépendante des Nations Unies sur le massacre du 1er septembre à Achraf

          
Massacre à Achraf - n ° 102

Mensonges scandaleux du représentant de Maliki pour échapper aux conséquences du crime contre l'humanité à Achraf et préparer le terrain à une plus grande atrocité

Le 26 novembre, Haidar al-Akaili, membre de la soi-disant commission d'enquête de Maliki sur le massacre du 1er septembre, a proféré une série de mensonges éhontés pour tenter de parer à l’indignation internationale et la montée des condamnations. Il cherche aussi à couvrir les appels internationaux à la libération des sept otages et au jugement des auteurs et des commanditaires de ces atrocités, dans le but d’ouvrir la voie à de futurs crimes. Citant Akaili qui appartient au soi-disant ministère des droits humains de Maliki, Reuters écrit : ...........................

http://www.ncr-iran.org/fr/actualites/achraf/13267-appel-renouvele-de-la-resistance-iranienne-a-une-enquete-independante-des-nations-unies-sur-le-massacre-du-1er-septembre-a-achraf.html


89e jour de grève de la faim des opposants iraniens pour la libération des sept otages d’Achraf

                             
Aujourd’hui, la grève de la faim des habitants du camp Liberty et des Iraniens à Genève, Berlin, Londres, Ottawa, Melbourne, Rome, Sotckholm, et Washington entre dans son 89e jour.
La libération des sept Achrafiens pris en otage par les forces irakiennes est leur principale revendication.

Iran: Grève de la faim de près de 2000 prisonniers près de Téhéran contre la pendaison de 11 détenus

                         
Une femme figure au nombre des exécutés

La Résistance iranienne salue près de 2000 prisonniers de la centrale de Ghezel Hessar, en banlieue de Téhéran, qui ont entamé une grève de la faim le 25 novembre pour protester contre l’exécution de 11 détenus. Elle appelle le Conseil de sécurité, le Secrétaire général, la Haut commissaire aux droits humains et les autres autorités concernées de l’ONU, l’UE, les gouvernements des Etats-Unis et des autres pays du monde à agir de toute urgence pour mettre fin à la montée des exécutions arbitraires et collectives. Amnesty International le 26 novembre fait état d’environ 600 exécutions en 2013, dont 367 sous le mandat de Rohani.

La grève de la faim des prisonniers de Ghezel-Hessar a commencé lorsque le 25 novembre, onze prisonniers ont été mis en isolement avant leur exécution. Des centaines de détenus protestataires sont eux-mêmes condamnés à mort et attendent de passer sur l’échafaud.
Dans la soirée du 25 novembre, pris de court par ce mouvement, les gardiens ont lancé des raids contre les prisonniers détruisant toutes leurs affaires personnelles. Puis, pour créer un climat de terreur et accentuer la répression, les autorités ont installé des tireurs d’élites et des gardes armées de mitrailleuses lourdes dans les miradors qui entourent la prison.

Par ailleurs, des familles de prisonniers qui voulaient arrêter les exécutions, se sont rassemblées le 25 novembre devant Ghezel-Hessar. Pour les disperser, les autorités leur ont menti en leur disant que l’exécution de leurs proches avait été suspendue. Le lendemain également des familles de prisonniers se sont rassemblées devant le parlement des mollahs.

Dans la matinée du 26 novembre, les bourreaux ont exécuté un groupe de 11 prisonniers répondant aux noms de Abdol-Salem Khatouni, Reza Yazdan, Mohsen Yazdan-Panah, Nasser Farah-Bakhch, Hossein Karimian, Farchid Gholi-Zadeh, Behrouz Kiani, Ehsan Mohammad-Pour, Mehrdad Khadayar-Zadeh, et Vahid-Mohammad Karimi, ainsi qu’une femme venue de la prison de Gharchak.

Ghezel-Hessar est le principal endroit où sont détenus les condamnés à mort. Les bâtiments peuvent contenir de 8 à 9000 prisonniers. Or 25 à 27.000 détenus y sont entassés. Beaucoup sont dans l’attente de leur exécution. Pour faciliter les pendaisons collectives, le régime y a installé des gibets pour 24 personnes et chaque semaine il y pend des prisonniers dans le plus grand secret.

La Résistance iranienne considère que la politique des 5+1 qui en raison de leurs négociations avec le fascisme religieux au pouvoir en Iran sur le dossier nucléaire, gardent le silence sur les terribles violations des droits humains et les exécutions collectives, encourage le régime à continuer et accroitre les exécutions. Elle appelle l’ensemble des défenseurs des droits humains dans le monde à lancer une campagne internationale pour faire cesser les pendaisons arbitraires et à protester conter le silence de la communauté internationale face aux crimes contre l’humanité du régime des mollahs.

Iran : 2 femmes et 4 hommes pendus à Yazd, 11 pendus à Karadj

                                              
Pour contrer l'impact social de l'accord nucléaire du 24 novembre, le régime des mollahs a procédé à une nouvelle vague d'exécutions dans le pays.

Le site du parquet de la province de Yazd (au centre de l'Iran) a rapporté l'exécution de deux femmes et quatre hommes le 21 novembre. Ces derniers "ont subi le châtiment de la pendaison", selon ce site qui n'a pas révélé l'identité des victimes mais a précisé qu'elles avaient été accusées de trafic de drogue.

Le 26 novembre à Karadj, près de Téhéran, 11 prisonniers ont été pendus, selon les médias iraniens.
Depuis le début du mandat d'Hassan Rohani, quelque 350 personnes ont subi la peine capitale en Iran, où les mollahs utilisent les pendaisons pour instaurer un climat de terreur dans la société.

Amnesty International a déploré cette semaine l'exécution de 600 personnes depuis le début de l'année 2013 en Iran.

mercredi 27 novembre 2013

Mass execution in Iran

                          Mass Executions in Iran Continue
                                     Mass Executions in Iran Continue                                      

The anti-human regime of Iran hanged 11 prisoners in a mass execution in Ghezel-Hesar prison, Karaj, west of Tehran. A day before this mass hanging, more than 1000 prisoners went on hunger strike protesting this inhumane sentence. After this mass execution, prison guards raided the cells looting and destroying prisoner's personal belongings. 
Families of the victims had protested outside the Ghezel-Hesar prison prior to the execution asking the annulment of the sentences, but according to the other prisoners, Amoozadeh, of the prison wardens told the condemned prisoners that 'you will all be hanged after the Geneva talks with the P5+1. 

Le médecin du camp Liberty tire la sonnette d'alarme pour les grévistes de la faim au 88e jour

                             
CNRI - Le médecin des grévistes de la faim, opposants iraniens, au camp Liberty en Irak a lancé un appel pour une intervention urgente des organisations de défense des droits de l'homme à travers le monde.

Cité par le quotidien irakien Al-Zaman, le 24 novembre, le Dr Ebrahim Djadi, médecin du camp Liberty, a déclaré : "Une tragédie humanitaire se prépare. En tant que médecin, j'exhorte toutes les organisations de défense des droits humains, Médecins Sans Frontières et tous les médecins pouvant influer dans ce dossier brûlant, de faire entendre ma voix aux autorités concernées."

"88 jours se sont écoulés depuis le début de la grève de la faim à Liberty et les grévistes approchent d'un stade critique, la situation de certains est gravissime et au bord d'un seuil irréversible," a-t-il ajouté.
" À ceux qui ont accepté la responsabilité de la sécurité des habitants de Liberty, je mets en garde, de par ma responsabilité et pour que cela soit inscrit dans l'histoire, que nous approchons d'une catastrophe humanitaire. La vie de centaines de grévistes de la faim dans la prison de Liberty et dans plusieurs pays du monde est gravement en danger."

Des centaines d'Iraniens à Liberty, Genève, Londres, Berlin, Ottawa, Melbourne , Rome, Sotckholm et Washington sont en grève de la faim depuis le 1er septembre 2013, à Rome et Stockholm depuis la semaine dernière, et à Washington depuis hier pour demander la libération des sept otages d'Achraf enlevés par les forces irakiennes inféodées à l'Iran.

mardi 26 novembre 2013

Iran: Nouveaux documents et informations sur la présence des 7 otages d’Achraf en Irak

                              
Selon des informations, des rapports et des documents dignes de foi nouveaux de l’intérieur du régime iranien, les 7 otages d’Achraf sont toujours en Irak sous le contrôle des forces spéciales du premier ministre Nouri Maliki. Ils se trouvent dans la Zone verte de Bagdad, dans une cache dont l’extérieur ne ressemble en rien à une prison mais plutôt à la résidence d’une haute autorité du pouvoir.

Très peu de gens ont accès à cette demeure. Certains proches de Maliki comme le général Farouk Al-Aradji, son chef de cabinet militaire, Falah Fayaz, son conseiller à la sécurité nationale, et Ahmad Maliki son fils, sont au courant de son existence. C’est son fils qui est chargé de la sécurité et la surveillance de ce lieu.

Les rapports envoyés par le ministère du Renseignement (Vevak) au bureau de Khamenei, le guide suprême des mollahs, montrent que les tortionnaires du Vevak ont interrogé à plusieurs reprises les otages dans cette demeure et que les résultats ont été envoyés à Téhéran via l’ambassade.

Les caractéristiques de certains quartiers où les otages sont gardés ont été mises à la disposition des autorités concernées sur le plan internationales.
D’après ces rapports, avant son voyage aux USA, Maliki avait décidé de livrer ces otages au régime iranien, mais la campagne des Iraniens et des sympathisants de la Résistance, ainsi que la vive réaction de la Chambre des Représentants et du Sénat américains lors du déplacement de Maliki, lui ont fait craindre les conséquences d’une telle mesure. Il attend donc une autre occasion d’éliminer les otages ou de les livrer aux mollahs.

En soulignant à nouveau la responsabilité du gouvernement américain et de l’ONU dans la sécurité et la santé des otages, en tant que personnes protégées par la 4e convention de Genève et demandeurs d’asile bénéficiant de protection internationale, la Résistance iranienne appelle à une intervention urgente pour leur libération et à empêcher la poursuite de la torture, leur déportation ou leur élimination.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 25 novembre 2013 

Iran: Amnesty International demande à Rohani de tenir ses promesses concernant les droits humains

                                                
Dans un communiqué en date du 25 novembre, l'organisation de défense des droits de l'homme Amnesty International a placé le président des mollahs devant ses promesses de campagne non tenues. "En dépit des promesses d'Hassan Rohani lors de sa campagne électorale pour remédier à la situation des droits humains en Iran, cette question n'a pas été une priorité", affirme le communiqué.

Amnesty souligne que la question des droits humains a longtemps été éclipsée par celle du nucléaire. Or comme cette dernière a fait l’objet d’un accord, il est temps de s’occuper plus sérieusement des droits humains en Iran.

L'O.N.G. a demandé aux autorités iraniennes d'agir immédiatement et concrètement pour remédier au problème des exactions dans le pays.
Rappelant la résolution du 19 novembre de l'Assemblée générale des Nations unies sur la "gravité" de la situation en Iran, A.I. souligne également que si un certain nombre de prisonniers politiques ont été libérés depuis que Hassan Rohani a pris ses fonctions, les prisons iraniennes restent cependant "remplies" de prisonniers politiques.

Amnesty a également rappelé les récentes exécutions de trois détenus politiques kurdes, Habibollah Gholparipour, Reza Zsmaïli et Chirkou Mo'arefi.

Dans son communiqué l'organisation fait le bilan des exécutions en Iran : 592 pendaisons pour la seule année 2013 (331 exécutions déclarées et 262 exécutions non déclarées).

Iran - Irak: Des Iraniens lancent une grève de la faim devant la Maison-Blanche pour la libération des 7 otages d’Achraf

                              
Massacre à Achraf – n°101

Le 25 novembre, un groupe d’Iraniens, de parents de martyrs et de parents d’habitants de Liberty, ont entamé une grève de la faim devant la Maison-Blanche à Washington. Ils demandent une intervention urgente du Président américain et du Secrétaire d’Etat pour faire libérer les sept otages d’Achraf.

En même temps, la grève de la faim à Liberty, Genève, Londres, Berlin, Ottawa et Melbourne en est à sa treizième semaine et de nouveaux volontaires ont rejoint le mouvement. Des Iraniens à Rome et Stockholm ont aussi entamé une grève de la faim la semaine dernière.
Par ailleurs, Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, a demandé une fois de plus aux amis d’Achraf et aux Moudjahidine du peuple à la prison de Liberty, à Genève, Londres, Berlin, Ottawa et Melbourne, qui se trouvent dans un état gravissime et au seuil de la mort au 87e jour de leur grève de la faim, de s’alimenter, d’autant plus que de nouveaux volontaires prennent le relai. Malgré les demandes et les messages particuliers de Mme Radjavi, ils refusent de mettre un terme à leur grève et même de recevoir des soins, voulant obtenir la libération des otages et protester contre les exécutions collectives des habitants d’Achraf.

Secrétariat du Conseil national de la Resistance iranienne
Le 26 novembre 2013

lundi 25 novembre 2013

Camp d’Ashraf et camp Liberté : appel à ouvrir une enquête sur les homicides du 1er septembre et à libérer sept Iraniens, vraisemblablement placés en garde à vue par les autorités irakiennes

                           
Le 1er septembre 2013, des hommes armés ont fait irruption dans le camp d’Ashraf en Irak, qui accueille depuis des années des dissidents politiques iraniens en exil. Au moins 52 résidents ont été abattus. Selon des éléments de preuve crédibles, dont des enregistrements vidéo et des photos, la plupart des 52 victimes ont reçu une balle dans la nuque ; certaines étaient menottées.
Le Gouvernement irakien a nié toute responsabilité dans l’attaque mais s’est engagé à ouvrir une enquête sur ces violences meurtrières. A ce jour, les conclusions officielles de ces investigations n’ont pas été rendues publiques.
Nous sommes indignés de constater que près de 12 semaines après ce raid meurtrier, les auteurs de ces atrocités n’ont toujours pas été traduits en justice. Une enquête internationale indépendante doit être conduite dans les meilleurs délais.
Toujours au cours de ce raid sur le camp d’Ashraf, sept dissidents iraniens, six femmes et un homme, tous membres de l'Organisation des moudjahidines du peuple iranien (groupe d’opposition iranien) ont été enlevés.
 Des informations tendent à indiquer que ces sept personnes seraient détenues par les forces de sécurité irakiennes dans un centre de détention secret à Bagdad. Elles risquent d’y subir des actes de torture ou d’autres formes de mauvais traitements et pourraient être renvoyées de force en Iran.
Nous exhortons les autorités irakiennes à libérer ces sept Iraniens, à moins qu’ils ne soient dûment inculpés d’une infraction pénale reconnue au niveau international, à s’assurer qu’ils soient protégés contre la torture et d’autres formes de mauvais traitements et à ne pas les renvoyer de force en Iran, où leur vie serait en danger.
Nous invitons le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à fournir une protection aux résidents du camp Liberty conformément à son mandat

Iran : les mollahs persistent sur le filtrage de Facebook

                                      
Une commission spéciale du contrôle des échanges sur Internet insiste sur le maintien du filtrage de Facebook.

Fatemeh Rahbar, membre de la commission de discernement des délits sur Internet, a fait savoir le 25 novembre au quotidien officiel Arman que les rumeurs selon lesquelles le filtrage d’Internet allait cesser n’étaient pas fondées.

Cette commission, présidée par le procureur général du régime, compte plusieurs membres, notamment six ministres, le patron de l’Organisation de la propagande, le directeur des médias audiovisuels et le chef des forces de sécurité.
La semaine dernière, Mohammad Reza Sadegh, conseiller de Rohani, avait annoncé une réunion pour discuter du cas Facebook. Les membres de cette commission s’y sont vivement opposés.

Mohammad Ali Esfenani, porte-parole de la commission des lois du parlement des mollahs a estimé pour sa part que « le nombre de visiteurs de Facebook n’a guère d’importance. Sur ce réseau, il y a des cas qui menacent la sécurité nationale et morale de notre pays. Par conséquent, ce site est soumis à des filtrages ».

Iran: Les mollahs testent un nouveau modèle de missile Cruz

                                 
CNRI - Le commandant des forces navales iraniennes a annoncé le 25 novembre qu'un nouveau modèle de missile Cruz sera bientôt testé lors d'un exercice naval dans l'océan Indien.

Cité par l'agence Tasnime, affiliée à Force Qods des Pasdaran, l'amiral Habibollah Sayari a déclaré : "Un grand exercice naval sera organisé, dans lequel des missiles Cruz seront testés."

"L'exercice naval sera mené dans les zones maritimes libres et dans le nord de l'océan indien jusqu'au 10e parallèle", a-t-il précisé.
L'arsenal balistique dispendieux des mollahs est leur principal moyen de menace contre leurs voisins au sud de l'Iran.

Les maints exercices militaires navals et terrestres des mollahs font partie de leur politique belliciste dans la région. L'amiral Sayari a souligné, "nous allons certainement faire usage dans cet exercice de nouveaux armements pouvant être utilisés dans un réel champ de bataille".

dimanche 24 novembre 2013

Nucléaire: la Résistance iranienne saluent le "recul" de Téhéran

                                          
PARIS, 24 novembre 2013 (AFP) - Le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI, opposition en exil) a salué dimanche "le recul imposé" à l'Iran "en matière de fabrication de la bombe atomique" par l'accord de Genève.
"Le recul imposé à la dictature religieuse en Iran en matière de fabrication de la bombe atomique aux négociations de Genève, est le résultat immédiat des sanctions internationales et de la vaste opposition du peuple iranien à la politique antipatriotique du régime du guide suprême", a déclaré la présidente du CNRI, Maryam Radjavi, dans un communiqué.
"Toute faiblesse, tout retard et toute concession de la communauté internationale fera que (le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali) Khamenei retournera par la ruse à la production de l'arme nucléaire", a-t-elle prévenu.
Mme Radjavi a insisté sur "la nécessité pour l'AIEA (l'Agence internationale de l'énergie atomique) de mener des inspections immédiates" sur les sites suspects.
"Jamais le régime des mollahs n'a fait volontairement de rapport à l'AIEA sur ses activités nucléaires et c'est la Résistance iranienne qui la première a révélé ses installations clandestines et secrètes", a-t-elle dit.

Maryam Radjavi : Le régime des mollahs a été contraint de reculer d’un pas dans la fabrication de la bombe atomique suite aux sanctions

                                     

Si la communauté internationale ne va pas dans le sens de l’application des résolutions du conseil de sécurité
Khamenei (le guide suprême) aura recours à la duperie pour aller à nouveau vers la fabrication de la bombe 

Pour Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, le recul « imposé » à la dictature religieuse en Iran en matière de la fabrication de la bombe atomique aux négociations de Genève, est le résultat immédiat des sanctions internationales et de la vaste opposition du peuple iranien à la politique antipatriotique du régime du guide suprême. Un régime qui considère l’accès à la bombe atomique comme le garant stratégique de sa survie et dont les projets connus et cachés n’ont causé qu’une misère accrue au peuple iranien et la ruine de l’économie du pays.
Maryam Radjavi s’est réjouie du fait que la dictature religieuse ait été forcée de faire un pas en arrière, sous le coup de l’isolation intérieure, l’exclusion et les sanctions internationales, les révélations et la politique menées par la Résistance iranienne dans le domaine nucléaire ces trente dernières années. Alors que les crises incurables dans le pays ont énormément affaibli le pouvoir, si au-delà les considérations économiques et politiques, les puissances internationales avaient agi avec fermeté, elles auraient pu dans ce même round de négociations mettre un point final à l’ensemble du projet de fabrication de la bombe du régime. Par conséquent, dorénavant comme par le passé, le degré de recul de ce régime, de son abandon de l’arme nucléaire et de son respect des obligations internationales, dépend précisément du degré de fermeté et de résistance de la communauté internationale face à ses intentions funestes et aux tromperies propres à sa nature.

Mme Radjavi a de nouveau lancé une mise en garde : L’application complète des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, en particulier l’arrêt complet de l’enrichissement d’uranium, l’acception du protocole additionnel et l’accès libre des inspecteurs de l’AIEA aux installations et centres suspects de ce régime, est une nécessité pour lui faire abandonner la bombe atomique. Par conséquent, on peut considérer ce premier pas comme le début du processus de « l’absorption du poison » de ce régime en matière nucléaire. Toute faiblesse, tout retard et toute concession de la communauté internationale fera que Khamenei retournera par la ruse à la production de l’arme nucléaire. Jamais le régime des mollahs n’a fait volontairement de rapport à l’AIEA sur ses activités nucléaires et c’est la Résistance iranienne qui la première a révélé ses installations clandestines et secrètes conformément au TNP. A ce propos, Mme Radjavi a insisté sur la nécessité pour l’AIEA de mener des inspections immédiates des installations que la Résistance iranienne vient de révéler pour que le régime ne puisse comme par le passé, y apporter des modifications.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 24 novembre 2013 

Accord sur le nucléaire entre les 5+1 et l'Iran

                           
CNRI- Au terme de quatre jours de négociations intenses entre les 5+1 et l'Iran, les deux parties ont convenu d'un accord préliminaire de six mois. Selon l'accord signé à Genève tard dans la nuit de samedi à dimanche, les mollahs se sont engagés à suspendre les activités de l'usine d'eau lourde d'Arak et l'enrichissement de l'uranium au-delà de 5%.
Les puissances occidentales ont en revanche acceptée de ne pas adopter de nouvelles sanctions contre le régime pour les six prochains mois et ont accepté de suspendre les sanctions sur les échanges des réserves d'or et le déblocage d'une partie des avoirs iraniennes.
Le régime a également accepté le contrôle de ses principaux sites nucléaires par les inspecteurs de l'AIEA.
Selon les observateurs, les contreparties données à l'Iran dans les négociations de Genève sont limitées.
 Dans une lettre adressée au Guide suprême iranien Ali Khamenei, Hassan Rohani, le président des mollahs a écrit: " L'acquis incontestable consiste en la reconnaissance pour l'Iran du droit au nucléaire et le début de l'effondrement de l'édifice des sanctions".
Or, le secrétaire d'État américain John Kerry a lui pris le contre-pied de la position iranienne: l'accord "ne dit pas que l'Iran a le droit à l'enrichissement, quoiqu'en disent certains commentaires en l'interprétant".
Le droit à l'enrichissement d'uranium n'est pas mentionné dans le Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) dont l'Iran est signataire.
Le président français François Hollande y a vu, comme Barack Obama, "une étape vers l'arrêt du programme militaire nucléaire iranien".
Cet accord constitue une avancée, pour les experts, car il établit une gamme plus importante de contraintes et de vérifications sur le programme nucléaire iranien, même s'il laisse une part d'ambiguïté qui permet des interprétations divergentes.
A Washington, le président Barack Obama a assuré que cet accord "barre le chemin le plus évident" de la république islamique vers une bombe atomique.
Les sanctions "les plus sévères continueront d'être appliquées", a-t-il dit, exhortant le Congrès à s'abstenir d'adopter de nouvelles mesures punitives contre Téhéran.
Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a salué l'accord de Genève sur le nucléaire iranien, qualifié d'"avancée importante pour la sécurité et pour la paix". Cet accord "confirme le droit de l'Iran à l'énergie nucléaire civile, mais exclut de sa part tout accès à l'arme nucléaire", a déclaré le ministre, estimant que Genève constituait une "première étape majeure".
Avec l'AFP

11 millions d'analphabètes en Iran

                          
CNRI - L'Iran compte 11 millions d'analphabètes sur une population de 75 millions, selon un responsable du régime.
Ali Bagherzadeh, directeur de l'Organisation de lutte contre l'analphabétisme a déclaré le 20 novembre à l'agence de presse Fars : "Le principal problème réside dans l'absence de budget suffisant dans ce domaine. Il faut en moyenne 500 000 tomans pour l'éducation de chaque personne, mais aujourd'hui nous manquons de budget nécessaire pour l'éducation des personnes analphabètes."
En Iran la plus grande part des revenus du régime est consacrée à l'armée des Pasdaran, la force Qods, l'ingérence en Syrie et en Irak, ainsi qu’au programme d'armement nucléaire. On évalue à 130 milliards de dollars le coût du programme nucléaire des mollahs pour l'économie iranienne.

Iran - Irak: Etat grave de beaucoup de grévistes de la faim de Liberty qui entrent dans leur 13e semaine

                            
Massacre à Achraf – N°99

En ce 23 novembre, la grève de la faim des Moudjahidine du peuple à Liberty va entrer dans sa 13e semaine. Ils demandent avant tout, avec les grévistes des autres pays, la libération des 7 Achrafiens pris en otages le 1 septembre par les forces de Maliki.

Le 22 novembre, de nombreux grévistes se trouvaient dans un état gravissime :
-  Ali Reza Ghafouri-Zadeh, a été prise de convulsions et emmené aux urgences de la clinique irakienne du camp ; son état ne s’est toujours pas stabilisé.
- Quelques heures auparavant, Malika Rezaï, 23 ans, aux prises avec une insuffisance respiratoire aigüe a elle été transportée aux urgences d’un hôpital de Bagdad.
- Fahimeh Khademi, a fait un quatrième malaise cette semaine. Elle avait été hospitalisée à la clinique du camp plusieurs jours la semaine dernière.
- Mahnaz Abouzarian souffrait de vive douleur à la poitrine, ayant peine à respirer ; elle a été emmenée à la clinique.
- Eskandar Arjmandi qui a perdu énormément de poids, a été emmené à la clinique du camp dans un état grave.
- Mohammad Ali Agha’i, a fait une chute à cause des troubles de la vision et de vertiges. Il s’est cassé une dent et a été emmené à la clinique du camp.
- Yadollah Mahdian et Ehsan Ghassemi faisaient partie de ceux qui hier étaient au plus mal.

Selon les rapports médicaux à Liberty, la semaine dernière, la santé de nombreux grévistes s’est dégradée et ils sont environ 200 a être sous surveillance médicale, dont 70 dans un état grave. En plus de ceux qui sont sous la surveillance des médecins issus du camp, d’autres ont été auscultés à la clinique irakienne du camp qui les a envoyés aux urgences d’hôpitaux de Bagdad où les médecins ont jugé leur état dangereux.

On peut citer parmi ces habitants Mmes Farideh Nemati, Rana Mirdarikvand, Maliheh Tadini, Zahra Kazemi, Forough Seyedi, Mahrokh Ghafari, Hourieyh Afzali et Soussane Bani-Hachemi et MM. Hamid Arizi, Amine Abdali, Iradj Akhlaghi, Gholam-Reza Ghaderi, Heydar Youssef-Ali, Yaghoub Dadgar, Mehdi Seyedi, Alireza Gholami, Saleh Abdali, Ehsan Ghassemi, Yadollah Mahdian, Iman Nematollahi, Ali Mamaghani, Alireza Arjmandi, Shamsodine Latifian, Mohammad-Reza Khaleghi, Gholam-Reza Ghassemi, Hassan Hirani, Mehdi Ghassemian, Ali-Reza Pour-Jafar, Abolfazl Saadollah, Asghar Mohammadi et Majid Norouzi. Ils ont perdu près beaucoup de poids, et souffrent de vives douleurs musculaires, de douleurs de la cage thoracique, d’anémie, d’évanouissements, de grave hypotension, de problèmes digestifs comme des ulcères. Ils ont été emmenés soit à la clinique irakienne du camp, soit ont été hospitalisés à Bagdad.

Les grévistes souffrent en général d’insomnie, de maux de tête, de vertiges, d’engourdissement et de crampes, de douleurs de poitrine, de perte de connaissance, de perte de la vue et de l’ouïe, de douleurs musculaires, osseuses et articulaires, de tachycardie, de fièvre et d’hypotension, de manque de concentration. Le pronostique vital de beaucoup est engagé et selon les médecins, ils s’approchent d’un point de non retour. C’est en particulier le cas des femmes.

samedi 23 novembre 2013

84e jour de grève de la faim des opposants iraniens pour la libération des sept otages d’Achraf

                              
Aujourd’hui, la grève de la faim des habitants du camp Liberty et des Iraniens à Genève, Berlin, Londres, Ottawa, Melbourne, Rome et Sotckholm entre dans son 84e jour.
La libération des sept Achrafiens pris en otage par les forces irakiennes est leur principale revendication.
                                   

Droits de l'homme : l'ONU tance l'Iran malgré les promesses de son président

                                              
AFP, 20 novembre - L'assemblée générale de l'ONU a adopté mardi une résolution dénonçant des "violations graves et récurrentes des droits de l'homme" en Iran.
Le texte a été adopté par 83 voix pour, 36 contre (dont la Russie et la Chine) et 62 abstentions par un comité de l'assemblée chargé des droits de l'homme. Il dénonce la "fréquence alarmante avec laquelle la peine de mort est appliquée en l'absence de garanties internationalement reconnues" ainsi que les exécutions de mineurs.

Le texte déplore que les défenseurs des droits de l'homme en Iran, dont des avocats et des journalistes, soient "pris pour cibles et harcelés de manière systématique" et dénonce la poursuite de discriminations envers les femmes et des minorités ethniques ou religieuses.
Il demande au gouvernement iranien de "mettre fin, en droit et en fait, aux exécutions publiques et aux autres exécutions menées en l'absence de garanties internationalement reconnues, y compris par lapidation ou strangulation". Téhéran devrait aussi mener des enquêtes approfondies en cas d'exactions, y compris si elles impliquent des membres du système judiciaire ou des forces de l'ordre, estime l'assemblée.

La résolution "encourage" le gouvernement iranien à coopérer avec l'ONU et en particulier à accepter la visite du rapporteur spécial de l'ONU sur la situation des droits de l'homme en Iran, Ahmed Shaheed, qui n'a jamais pu se rendre sur place.

Dans son dernier rapport présenté en octobre, M. Shaheed avait indiqué n'avoir constaté "aucun signe d'amélioration" des droits de l'homme en Iran. Il avait recensé 724 exécutions en Iran entre janvier 2012 et juin 2013.

Téhéran avait qualifié ce rapport de "totalement injuste".

Lors du débat mardi, l'ambassadeur iranien à l'ONU Mohammed Khazaï a une nouvelle fois rejeté "des allégations infondées (...) et une approche partiale, déséquilibrée et politique" de la situation dans son pays.

Iran - Irak : dans les manifestations de vendredi, la foule a appelé Maliki à libérer les 7 otages d’Achraf

                        
Massacre à Achraf – N°98

Vendredi 22 novembre, au cours des manifestations populaires à travers l’Irak contre le pouvoir de Maliki et l’ingérence criminelle du régime iranien dans ce pays, les protestataires ont appelé à la libération des sept otages d’Achraf.

Dans ces manifestations retransmises par un grand nombre de télévisions arabes et irakiennes, comme Al-Taghir ou Al-Jazira, des jeunes brandissaient des pancartes où était écrit : « Le gouvernement Makili doit libérer les 7 Achrafiens enlevés ».
Sur d’autres pancartes, on pouvait lire : « Le sang innocent des martyrs d’Achraf, le sang versé de chaque Moudjahidine du peuple, est une pierre brillante qui vient s’ajouter à l’histoire de la liberté et de l’égalité. La liberté est en marche, d’autant plus que des cœurs battent pour elle. »

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 23 novembre 2013 

vendredi 22 novembre 2013

83e jour de grève de la faim des opposants iraniens pour la libération des sept otages d’Achraf

                            
Aujourd’hui, la grève de la faim des habitants du camp Liberty et des Iraniens à Genève, Berlin, Londres, Ottawa, Melbourne, Rome et Sotckholm entre dans son 83e jour.
La libération des sept Achrafiens pris en otage par les forces irakiennes est leur principale revendication.
                                      

Amnesty International : nouvelles informations sur le rapt des exilés iraniens par les autorités irakiennes

                                         
Amnesty International vient de publier une action urgente sur les 7 otages d’Achraf, affirmant qu’ils sont toujours à Bagdad. Dans son appel Amnesty précise que « les exilés iraniens enlevés sont détenus par les autorités irakiennes ».
L’ONG poursuit en rappelant que « les sept exilés iraniens enlevés le 1er septembre sont maintenant détenus par les forces de sécurité irakiennes dans un centre de détention non officiel dans le centre de Bagdad. Ils courent le risque d’être torturés et de subir de mauvais traitements, et ils pourraient être renvoyés de force en Iran ».
Amnesty ajoute que « selon des sources fiables, à la fin du mois de septembre, ces sept personnes ont été transférées sous haute sécurité dans un centre de détention non officiel, dans l’enceinte de l'ancien aéroport al-Muthanna situé dans le centre de Bagdad. Ces sept personnes subissent des interrogatoires. Il y a six femmes, Fatemeh Tahoori, Vajihe Karbalaey (Vajihe Karbalaey Fatah), Mahnaz Azizi (Mahbobeh Lashkari ), Lila Nabahat, Zahra Ramezani (Sedegh Ebrahimpour ), Fatema Sakhie ; et un homme, Mohammad Ratebi (Mohsen Nicknamei). Ils sont tous membres du groupe d'opposition iranien, l'Organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI) ».
Amnesty rappelle que « ces sept exilés iraniens ont été enlevés le 1er septembre 2013 au camp d'Achraf, situé à environ 60 km au nord-est de Bagdad dans le gouvernorat de Diyala, lorsque des hommes armés ont attaqué le camp et ont tué 52 résidents. Des séquences vidéo et des photographies ont montré que la plupart de ces 52 personnes tuées avaient reçu une balle dans la tête, alors que certains étaient menottés. Des témoins oculaires au camp ont dit avoir vu les sept personnes, menottes aux poignets, être battues, jetées à terre, puis emmenées dans un minibus blanc ».
« Le gouvernement irakien a nié toute responsabilité dans l’attaque, bien que les forces irakiennes ont été responsables des attaques antérieures contre le camp causant la mort de plusieurs dizaines de résidents. Le 1er septembre, le Premier ministre de l’Irak a ordonné la mis en place d'un comité pour enquêter sur ce massacre. Cependant, il n'a pas donné de détails sur les références du comité et sa composition. Les résultats de l'enquête n'ont pas été publiés. »

jeudi 21 novembre 2013

La Résistance iranienne publie la photo d’un des six agents de la Force Qods présents à Achraf

                                                 
 La Résistance iranienne publie la photo d’un des six agents de la force terroriste Qods des mollahs qui s’est rendu la semaine dernière à Achraf en relation avec l’attaque menée contre le camp et le sort des otages. Cette photo parvenue à la Résistance depuis l’intérieur du régime a été prise lors de la présence de cet agent à Achraf.
 Dans son communiqué n°91 daté du 15 novembre 2013, la Résistance iranienne cite des informations de l’intérieur du régime des mollahs et annonce que six agents de la Force Qods et du ministère du Renseignement (Vevak) sont entrés en Irak le 13 novembre. Leur mission est de neutraliser, par des mises en scène, les vives protestations et critiques adressées à Maliki lors de son déplacement aux USA pour son crime contre l’humanité à Achraf et le sort des otages.
De nouveaux détails seront diffusés par la suite. Les rencontres et les négociations des agents de la Force Qods avec les autorités du gouvernement irakien sur le sort des otages suscitent de vives inquiétudes sur les intrigues que préparent le régime iranien et le gouvernement de Maliki pour déporter ou tuer les otages.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 20 novembre 2013

Après deux jours de pluie Liberty est sous les eaux

                               
Obstruction du gouvernement irakien dans la réfection des routes, la réparation des baraquements et l’entrée des besoins de première nécessité à Liberty
CNRI - A la suite des pluies tombées ces dernières 48h en Irak et sous le coup des infrastructures hors d’usage à Liberty doublé de l’absence de moyens, une grande partie du camp est inondée et les habitants sont aux prises avec de grandes difficultés et dans l’impossibilité de se déplacer dans de nombreux secteurs.
 Les chemins et les routes qui sont en terre et non conformes aux normes, sont recouverts de vases, de boue et d’eau et devenus impraticables. Les blessés et les malades ne peuvent pas sortir de leurs baraquements et les véhicules ou les moyens de locomotion ne sont pas suffisants dans le camp ; le gouvernement irakien ayant empêché leur transfert d’Achraf.
Dans beaucoup d’endroits du camp, l’eau s’est infiltrée dans les baraquements, les lieux de repos et les entrepôts d’alimentation, de produits hygiéniques et de ravitaillement, les rendant inhabitables ou endommageant les produits.
Vu que les chemins menant aux citernes des eaux usées du camp sont impraticables, il est impossible de les vider. Certaines débordent et cela a provoqué une crise sanitaire qui fait courir des risques aux habitants.
Depuis un an, les habitants de Liberty ne cessent de demander qu’une entreprise irakienne vienne asphalter les routes et faire les réfections nécessaires dans les canaux d’écoulement des eaux. Mais les agents des services du premier ministre l’interdisent et imposent cette situation à la population. Le gouvernement irakien empêche l’entrée d’articles de première nécessité dans ces conditions comme des tuyaux en tous genres, des pompes, de la colle anti-fuites pour les baraquements et même des vêtements imperméables, comme des ponchos.
Cela fait quelque temps que les habitants ont acheté à leurs frais de la colle de silicone pour calfeutrer les trous des baraquements, en particuliers ceux causés par les éclats de roquettes. Mais les forces irakiennes n’ont pas permis l’entrée de ces achats et les ont confisqués. Les représentants de la MANUI et du gouvernement américain ont été mis immédiatement au courant de toutes ces limitations mais ils n’ont pris aucune mesure concrète.

mercredi 20 novembre 2013

Reporter Sans frontière déçu des 100 de présidence de Hassan Rohani


RSF: AUCUNE AVANCÉE SIGNIFICATIVE POUR LA LIBERTÉ DE L’INFORMATION - Le 15 juin 2013, Hassan Rohani, le candidat conservateur modéré soutenu par les réformateurs, a été élu dès le premier tour de la présidentielle avec plus de 51% des voix. À l’occasion des 100 premiers jours du gouvernement Rohani, Reporters sans frontières dresse un bilan décevant des actions du gouvernement dans le domaine de liberté de l’information et demande à nouveau au président Rohani de respecter ses promesses, de mettre fin au règne de l’arbitraire, de l’impunité et de la censure. 
Le 14 juin, les Iraniens ont profité de la brèche électorale pour s’exprimer et voter massivement contre la politique officielle du Guide suprême, Ali Khamenei, considéré comme responsable de la répression et de l’arrestation arbitraire de plus de 300 journalistes et net-citoyens, torturés par les services de renseignements.
 Pendant sa campagne, Hassan Rohani a répété qu’il fallait “libérer tous les prisonniers politiques”. Il a également mentionné à plusieurs reprises vouloir un changement “en faveur de la liberté d’expression et de la presse”. Ces engagements forts ont poussé les progressistes iraniens, notamment les jeunes et les femmes, à massivement voter pour lui, faisant d’Hassan Rohani le septième président de la République islamique. Cent jours après son arrivée au pouvoir, et malgré la libération de certains prisonniers d’opinion, l’Iran demeure l’une des plus grandes prisons du monde pour les professionnels des médias avec cinquante journalistes et net-citoyens emprisonnés. Depuis son arrivée au pouvoir, au moins dix journalistes et blogueurs, ont été arrêtés ; dix autres ont été condamnés à des peines s’élevant, au total, à 72 ans de prison ferme ; et trois médias ont été suspendus ou obligés d’interrompre leur publication sous la pression des autorités.
Entraves envers de la liberté de l’information :

Iran /Irak: Le HCR demande aux gouvernements d'offrir un asile aux habitants d'Achraf


AFP - GENÈVE - Le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a demandé mardi à la communauté internationale d'offrir un asile à plusieurs milliers d'opposants iraniens dont les camps en Irak sont régulièrement attaqués.

"Depuis l'attaque le 1er septembre 2013 du camp New Iraq qui a fait 52 morts, il y a eu peu de progrès dans les efforts pour envoyer les résidents du camp vers un pays tiers", a déclaré dans un communiqué le bureau du Haut commissaire des Nations unies pour les droits de l'homme.
"Le HCR encourage tous les États membres à partager les efforts internationaux en ce sens, à accueillir les résidents de ce camp et à leur offrir des solutions sur le long terme", ajoute le communiqué.
A ce jour, seulement 300 de ces réfugiés ont été accueillis, essentiellement en Albanie. Les Nations unies cherchent toujours à caser 2.900 personnes.
Le camp New Iraq, mieux connu sous le nom de Camp Ashraf, se trouve au nord-est de Bagdad. Il est depuis longtemps la base de l'Organisation des moudjahidine du peuple iranien (OMPI).
Fondés en 1960 pour s'opposer au chah d'Iran, les Moudjahidine du Peuple sont devenus par la suite des adversaires du régime clérical iranien. Leur camp a été établi en 1980 par le président irakien Saddam Hussein pendant la guerre entre l'Irak et l'Iran.
Le camp a été désarmé à la suite de l'invasion de l'Irak et du renversement du régime de Saddam Hussein. La majorité chiite irakienne et le gouvernement irakien actuel, qui entretient des relations cordiales avec le gouvernement iranien, sont pressés de voir disparaître le camp des Moudjahidine du Peuple.
Le HCR demande régulièrement à l'Irak de "prendre toutes les mesures de nature à assurer la sécurité des résidents du camp" en attendant qu'ils trouvent un nouvel asile.
Le HCR s'est également inquiété de la disparition depuis le 1er septembre dernier de sept personnes.
Selon les Moudjahidine du Peuple, ce sont les forces de sécurité irakiennes qui seraient responsables de ces disparitions, commanditées selon elles par le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki. Pour les autorités irakiennes, il s'agirait de règlements de compte internes.
Plusieurs résidents de New Iraq ont été relogés dans une ancienne base militaire américaine, Camp Liberty, mais les Moudjahidine du Peuple estiment que le nouveau camp n'est pas plus sûr que l'ancien.
Des dizaines de Moudjahidine du Peuple ont été tués au cours de près d'une douzaine d'attaques de leur camp depuis le départ des troupes américaines d'Irak fin 2011.

GENÈVE, 19 novembre 2013 (AFP)

Maryam Radjavi : après 60 condamnations par l'ONU, envoyez le régime iranien devant le Conseil de sécurité

                           
Adoption de la résolution condamnant les violations des droits humains en Iran par le 3e comité de l’Assemblée générale de l’ONU
Maryam Radjavi : après 60 condamnations, assez de paroles. Il faut envoyer le dossier des crimes du régime devant le conseil de sécurité de l’Onu et une cour de justice internationale
CNRI - Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, s’est félicitée de l’adoption de la 60erésolution condamnant les violations systématiques et sauvages des droits humains en Iran, notamment la montée des exécutions, des tortures et des châtiments inhumains, spécialement l’exécutions des mineurs et les pendaisons collectives clandestines.
 Après l’adoption de 60 résolutions à l’ONU et le fait que le régime n’en a respecté aucune, les condamnations verbales ne sont plus désormais suffisantes. Ce dossier de crimes doit être envoyé devant le Conseil de sécurité de l’ONU et la cour pénale internationale, et ses dirigeants doivent être traduits en justice. Rien de moins ne pourra satisfaire le peuple iranien dont les enfants sont victimes d’exécutions collectives à travers le pays, du Kurdistan au Sistan-Balouchistan, du Khouzistan à Téhéran, et à Achraf et Liberty.

Vu l’abominable dossier des violations des droits humains en Iran dont une partie est reflétée dans la résolution du 3e comité, et vu que le dossier des atrocités du régime a pris de nouvelles dimensions après la farce électorale avec 320 exécutions depuis, tout accueil ou apaisement vis-à-vis du mollah Rohani et reconnaissance des élections factices du régime illégitime du guide suprême, ne fait qu’alimenter la machine de la répression et des massacres des mollahs et suscite la haine et le dégout du peuple iranien.

Mme Radjavi a mis en garde tous ceux qui poursuivent la politique de complaisance, de ne pas totalement oublier lors des négociations sur le projet d’armement nucléaire du régime, les violations des droits de l’homme en Iran, l’exécution de 120.000 prisonniers politiques, l’exportation du terrorisme et de l’intégrisme, le bellicisme dans la région, en particulier en Syrie, en Irak et l’obstruction de toute action de fermeté à cet égard ; car cela, qu’ils le veuillent ou non, les fait soutenir les massacres et la répression du peuple iranien et met en danger la paix et la tranquillité mondiales et régionales. Ce régime doit être exclu de la communauté des nations.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 19 novembre 2013

mardi 19 novembre 2013

Le Parisien: «un nouveau site secret» nucléaire affirme l'opposition en exil

                   
Le Parisien: Photos satellites, précisions géographiques et témoignages oculaires à l'appui, l'opposition iranienne en exil (le CNRl - Conseil National de la Résistance Iranienne, dont le siège est basé à Auvers-sur-Oise (Val d'Oise) en région parisienne) a affirmé ce lundi, lors d'une conférence de presse à Paris, avoir décelé un nouveau site clandestin du programme nucléaire iranien.

80e jour de grève de la faim des opposants iraniens pour la libération des sept otages d’Achraf

                           

Aujourd’hui, la grève de la faim des habitants du camp Liberty et des Iraniens à Genève, Berlin, Londres, Ottawa, Melbourne, Rome et Sotckholm entre dans son 80e jour.
La libération des sept Achrafiens pris en otage par les forces irakiennes est leur principale revendication.
                             

lundi 18 novembre 2013

Nucléaire iranien: le président français a rappelé la position de fermeté de la France sur ce dossier

                                        
Par Europe1.fr avec Reuters - 17 novembre 2013
François Hollande a posé dimanche à Jérusalem quatre conditions à la conclusion d'un accord intermédiaire sur la question du nucléaire militaire iranien, qui doit faire de nouveau l'objet de discussions cette semaine à Genève. Lors d'une conférence de presse après un entretien avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le président français a rappelé la position de fermeté de la France sur ce dossier.
"Ces derniers jours, il y a eu des avancées, elles sont incontestables mais elles ne sont pas parues suffisantes", a-t-il déclaré. "Nous ne voulons rien autoriser qui pourrait être un doute sur les intentions de l'Iran", a-t-il ajouté. "Nous maintiendrons la pression".
L'une des conditions posées par François Hollande est le placement sous contrôle international de "l'intégralité des installations nucléaires iraniennes". Il a aussi demandé la suspension de l'enrichissement d'uranium à une concentration fissible de 20%, ainsi que la réduction des stocks existants.
Le France demande, enfin, l'arrêt de la construction du réacteur de recherche d'Arak, installation qui inquiète l'Occident dans la mesure où, une fois achevé, elle pourra produire des substances susceptibles de servir à la fabrication de bombes nucléaires. "Voilà les points qui sont pour nous essentiels comme garanties d'un accord", a conclu le président français.

Nucléaire iranien: l'opposition dit avoir décelé un nouveau site secret

PARIS, 18 novembre 2013 (AFP) - L'opposition iranienne en exil a affirmé lundi disposer d'informations sur un nouveau site secret du programme nucléaire iranien, et exhorté la communauté internationale à la "fermeté" alors que s'ouvrent cette semaine à Genève de nouvelles négociations entre l'Iran et les grandes puissances.
"Aujourd'hui nous dévoilons l'existence d'un autre site nucléaire non déclaré", a affirmé Mehdi Abrichamtchi, du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), lors d'une conférence de presse à Paris.
Le site, dont le nom de code est "012" est situé, selon les opposants, à 10 km de la ville de Mobarakeh, capitale de la province du même nom dans le centre de l'Iran.
Selon le CNRI, qui dit s'appuyer sur des "sources en Iran", dont "certaines au sein du régime", les travaux de ce site ont commencé en 2005. "Ce site nucléaire a été construit en toute clandestinité et dissimulé dans une vaste zone militaire. Cette zone militaire lui donne la couverture indispensable pour éviter toute curiosité", selon le CNRI.
"Ca peut être un lieu pour des recherches, ou pour d'autres aspects (...) Nous n'avons pas de renseignements sur l'installation par exemple de centrifugeuses", a reconnu M. Abrichamtchi, précisant que les informations avaient été transmises au gouvernement français et à l'Agence internationale de l'Energie atomique.

Les opposants iraniens du CNRI et de l'Organisation des Moudjahidine du Peuple (OMPI) avaient révélé en 2002 l'existence du programme nucléaire iranien. Farouchement opposés au régime des mollahs, ils alertent régulièrement sur l'évolution du programme.
L'Iran et les grandes puissances se retrouvent à partir de mercredi à Genève pour tenter de finaliser un premier accord sur le programme nucléaire controversé iranien, après d'intenses négociations inabouties il y a 10 jours.
"La bonne position face a ce régime reste la fermeté, augmenter la pression et l'empêcher de tromper le monde sur son programme nucleaire", a mis en garde M. Abrtichamtchi.
L'Iran est soupçonné par les pays occidentaux, malgré ses dénégations répétées, de vouloir se doter de l'arme atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil. Le pays est sous le coup de plusieurs résolutions du conseil de sécurité des Nations Unies, renforcées par des sanctions économiques des Etats-Unis et des pays de l'Union européenne qui ont durement affecté l'économie du pays.

79 jour de grève de la faim des opposants iraniens pour la libération des sept otages d’Achraf

                           
Aujourd’hui, la grève de la faim des habitants du camp Liberty et des Iraniens à Genève, Berlin, Londres, Ottawa et Melbourne entre dans son 79e jour.
La libération des sept Achrafiens pris en otage par les forces irakiennes est leur principale revendication.