Conférence de l’ONU sur le désarmement en 2024 et le rôle contradictoire de l’Iran dans cette conférence

– La récente accession de l’Iran à la présidence de la conférence des Nations unies sur le désarmement en 2024, représentée par Ali Bahreini, l’envoyé du régime iranien à Genève, a suscité beaucoup d’attention et d’appréhension. Cette évolution a mis en lumière la dissonance entre l’engagement professé par l’Iran en faveur de la paix et son comportement réel en matière de prolifération d’armes et de violation des droits de l’homme, ce qui a donné lieu à une évaluation critique.

Le salaire mensuel de 136 dollars des travailleurs iraniens ne peut pas couvrir des dépenses de 500 dollars

 La vie d’une partie importante de la population iranienne est marquée par l’incertitude, en grande partie parce que l’économie iranienne est gravement touchée par le dollar. Le coût minimum de la vie est estimé à 500 dollars, alors que les salaires des travailleurs ne s'élèvent qu'à 136 dollars. (en considérant le taux de change de 614 000 rials par USD)

LA TÉNACITÉ DES PRISONNIERS POLITIQUES MARQUE LE REFUS DE PLIER DEVANT LES DICTATURES DU CHAH ET DES MOLLAHS

La résistance des prisonniers politiques qui refusent de plier, ne vise que le renversement du régime clérical et la libération d’un pays enchaîné

Le samedi 17 février 2024, le pouvoir judiciaire des mollahs a condamné trois prisonnières sympathisantes de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI), incarcérées à Evine, à de lourdes peines.
Forough Taghipour et Marzieh Farsi ont été condamnées chacune à quinze ans de détention et Zahra Safa’i à cinq ans.

Leçons de l’histoire : arrêter la machine de guerre du régime iranien

 Comprendre la politique et les tactiques du régime iranien, connu pour sa tromperie et sa duplicité, nécessite d’examiner les déclarations de ses responsables à la lumière du contexte historique et des actions passées.

La commission des Femmes du CNRI condamne les lourdes condamnations de 11 prisonniers politiques, dont 10 femmes

 Elle demande une enquête sur la mort suspecte de Sara Tabrizi après sa détention par le ministère du renseignement

La commission des Femmes du CNRI condamne les lourdes condamnations de 11 prisonniers politiques, dont 10 femmes. Elle demande une enquête sur la mort suspecte de Sara Tabrizi après sa détention par le ministère du renseignement

Sara Tabrizi, 20 ans, retrouvée morte dans des circonstances suspectes

 Le corps d’une jeune femme a été découvert le 24 mars 2024 à son domicile de Téhéran. Identifiée comme Sara Tabrizi, âgée de 20 ans, elle a été enterrée le 25 mars dans la ville d’Eskaman, dans la province de Téhéran.

Les circonstances entourant la mort de Sara Tabrizi sont considérées comme suspectes.

Les États-Unis dénoncent les lourdes peines infligées à des militantes civiles en Iran

– Le Département d’Etat américain a fermement condamné l’imposition par le gouvernement iranien de lourdes peines à 11 militantes civiles des droits des femmes dans la province de Gilan. Le porte-parole du département d’État a dénoncé ces peines comme étant « injustes » et les a qualifiées de « tentative d’intimidation et d’étouffement de leurs voix ».

Nasim Gholami Simiyari détenue depuis 11 mois sans procès

 11 mois après son arrestation et son emprisonnement, Nasim Gholami Simiyari est toujours détenue dans des conditions incertaines dans le quartier des femmes de la prison d’Evin à Téhéran.

Les forces de sécurité ont arrêté la prisonnière politique Nasim Gholami Simiyari le 18 mai 2023 à Téhéran et l’ont emmenée dans l’un des centres de détention du ministère des renseignements. Elle a été soumise à des tortures psychologiques et physiques pour lui arracher des aveux.

Les statistiques montrent que les décès dus aux accidents du Nouvel An en Iran ont atteint 585

 Ahmad Shirani, chef du Centre d'information et de contrôle de la circulation de la police du régime iranien, a annoncé que le nombre de morts dans des accidents au cours de la nouvelle année persane, qui a débuté le 21 mars, a atteint 585. la police de la circulation a annoncé une augmentation des amendes.

444 Koulbars tués par les forces de sécurité du régime iranien en 2023

 – Au cours de la première semaine de la nouvelle année en Iran (à partir du 20 mars 2024), deux Koulbars (porteurs transfrontaliers) ont perdu la vie à cause des tirs et du froid. En outre, depuis la mi-octobre 2023, on observe une augmentation inquiétante des meurtres de Koulbars.

La propagation de la pauvreté en Iran

– L’Iran est actuellement confronté à une grave crise économique, la pauvreté généralisée et la détérioration des conditions économiques étant reconnues à la fois par les autorités et par la presse gouvernementale.

La première exécution du Nouvel An iranien a eu lieu à la prison centrale de Tabriz

 – Le matin du 25 mars 2024, l’exécution d’Abbas Aghayi, un citoyen de Tabriz âgé de 36 ans, a été mise en oeuvre à la prison centrale de Tabriz. Ce prisonnier avait été condamné à mort pour des accusations liées à la drogue.

Un couple pendu à la prison centrale de Tabriz

 Un couple a été pendu à la prison centrale de Tabriz à l’aube du 18 mars 2024, à la veille du Nouvel An perse.

La nouvelle de ces exécutions a été publiée aujourd’hui par des organisations iraniennes de défense des droits de l’homme. Cependant, les médias officiels en Iran n’ont pas annoncé ces exécutions.

Conférence IWD2024 à Paris - Anneli Jäätteenmäki : Je veux faire preuve de solidarité envers les femmes iraniennes

Une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024) a vu des femmes, des avocates et des défenseures des droits des femmes de 28 pays exprimer leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l'égalité.

La répression du régime iranien contre les manifestants en 2022 est poursuivie légalement par l’UC Berkeley

 – Plus d’un an après le soulèvement de 2022 et les atrocités commises par le régime iranien pour réprimer le peuple, l’Université de Californie à Berkeley (UC Berkeley) a publié un rapport sur les crimes commis lors de cette répression.

L’année de la dissidence en Iran : Les manifestations de 2023

 – L’année 2023 (1402 dans le calendrier persan) a été marquée par d’importants manifestations et troubles sociaux en Iran. Le peuple iranien a exprimé un rejet retentissant de la légitimité du régime en boycottant les élections législatives et celles de l’Assemblée des experts. Malgré une répression généralisée, visant en particulier les femmes, divers segments de la société sont descendus dans la rue pour défendre leurs droits fondamentaux.

Plus de 60 prisonnières politiques : Appel à la libération de Maryam Akbari-Monfared

– Bien qu’elle ait été emprisonnée sans relâche pendant quatorze ans, Maryam Akbari-Monfared est toujours détenue, ce qui témoigne de la dure répression à laquelle sont confrontés les prisonniers politiques, en particulier ceux qui sont associés à l’Organisation des moudjahidines du peuple (OMPI/MEK).

Les prisonniers politiques iraniens entament leur 9 grève de la faim pour protester contre les exécutions en Iran

 Les prisonniers politiques iraniens de la prison de Qezal Hesar ont entamé leur 9ème cycle de grève de la faim pour protester contre la vague d’exécutions du régime, le mardi 26 mars 2024.

Un certain nombre de prisonnières politiques du quartier des femmes de la prison d’Evin ainsi que des prisonnières des quartiers 4, 6 et 8 se sont jointes à la grève de la faim comme auparavant. Les détenus politiques des prisons de Khorramabad, Machad, Saqqez, Naghadeh, Khoy et de la prison centrale de Karaj ont également entamé une grève de la faim.

Conférence IWD2024 à Paris - Dominique Attias

 Une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024) a vu des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays exprimer leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Les actions du régime iranien renforcent l’urgence de prolonger la mission de l’ONU

 La 55e session du Conseil des droits de l’homme, qui s’est tenue lundi 18 mars, a été marquée par la présentation d’un rapport accablant sur la situation des droits de l’homme en Iran par Javaid Rehman, le Rapporteur spécial des Nations unies. Le rapport de Rehman a mis en lumière l’escalade alarmante des violations des droits de l’homme sous le régime des mollahs en Iran, mettant en lumière des violences flagrantes allant des exécutions à la répression de l’opposition et à la discrimination contre les minorités ethniques et religieuses.

Les survivantes de « Woman, Life, Freedom » veulent mettre fin à l’impunité de l’État en Iran

 OHCHR – « Ils nous séparent en deux groupes, comme si c’était eux contre nous, comme si le pays leur appartenait et pas à nous », a déclaré Behnaz Amani. « Dès le moment où ils m’ont arrêtée, ils n’ont cessé de me dire qu’ils espéraient que je quitterais le pays et ne reviendrais jamais parce que je ne méritais pas le respect qu’ils me témoignaient en tant que femme. Mais je n’ai jamais pu voir ce respect.

Plus de 120 manifestants, rendus aveugles, par les tirs des forces de sécurité iraniennes lors des manifestations de 2022

 – Une enquête conjointe menée par le Centre des droits de l’homme de l’Université de Californie à Berkeley a révélé qu’environ 120 manifestants ont souffert d’une perte partielle ou totale de la vue en raison des actions menées par les forces de sécurité iraniennes lors de la répression des manifestations nationales vers la fin de l’année 2022.

Soran Abdi, un Koulbar de 22 ans, est abattu à la frontière de Baneh par les forces iraniennes

– Le dimanche 24 mars 2024, au début du Nouvel An iranien et de la fête de Norouz, un jeune Koulbar (porteur transfrontalier) nommé Soran Abdi a été tué par des tirs directs des forces frontalières iraniennes alors qu’il travaillait comme garde-frontière à la frontière de Baneh.

Les journalistes iraniens sous pression : Une année d’arrestations, de condamnations et d’insécurité de l’emploi

– La Fédération internationale des journalistes (FIJ) a publié son rapport annuel sur la liberté de la presse en Iran, dressant un tableau inquiétant de la répression continue à laquelle sont confrontés les journalistes en 2023. Le rapport fait état d’un ciblage systématique des travailleurs des médias, y compris des arrestations, des emprisonnements, des pertes d’emploi et des fermetures de publications. Selon la FIJ, ces actions s’inscrivent dans le cadre d’une longue série de restrictions imposées par le gouvernement à la liberté des médias en Iran, favorisant un climat de peur et d’autocensure.

Depuis près de 8 mois, deux femmes kurdes restent en prison sans avoir été jugées

 Deux femmes kurdes sont incarcérées depuis près de 8 mois sans avoir été jugées. Varisha Moradi et Pakhshan Azizi sont toujours dans les limbes du quartier des femmes de la prison d’Evin.

Voici quelques informations sur les deux activistes féminines kurdes, Varisha Moradi et Pakhshan Azizi.

L’Iran en l’année perse 1402 : le déclin du régime sur fond de résistance croissante

 Au cours de l’année iranienne 1402 (de mars 2023 à mars 2024), la dictature des mollahs a été confrontée à une période tumultueuse marquée par des revers et des coups dévastateurs tant au niveau national qu’international.

Malgré l’inaction de la communauté internationale face au contournement des sanctions par le régime, les Iraniens ont connu une aggravation de la pauvreté et ont vu un soutien financier et militaire continu du régime aux forces mandataires de Téhéran, ce qui a entraîné des résultats désastreux au niveau régional avec des implications mondiales. Tout au long de l’année, les Iraniens ont exprimé leur mécontentement à l’égard du régime par des manifestations à l’échelle nationale dans divers secteurs de la société et par des boycotts sans précédent des élections. De plus, le mouvement de résistance organisé iranien a démontré sa capacité à mobiliser son réseau national et à obtenir le soutien international dans sa quête pour renversement du régime.

Le bilan du combat contre le régime iranien en 2023

 Le Nouvel An perse 1402 s’est terminé le 20 mars 2024. Le soulèvement national de 2022, qui s’est étendu sur plusieurs mois jusqu’en 2023, a ébranlé les fondations du régime. Comme indiqué précédemment, l’appareil de sécurité du régime iranien est entièrement conçu pour réprimer toute protestation et tout soulèvement. Ainsi, la poursuite de ces manifestations indique qu’il existe une force motrice qui les a organisées. L’arrestation de plus de 3 600 membres des unités de résistance de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) en témoigne.

Conférence IWD2024 à Paris - Najat Vallaud Belkacem

 Lors d’une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024), des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays ont exprimé leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Conférence IWD2024 à Paris - Vaira Vike-Freiberga

 Lors d’une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024), des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays ont exprimé leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Conférence IWD2024 à Paris - Ana Helena Chacon Echeverria

 Lors d’une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024), des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays ont exprimé leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Les jeunes iraniens ont le taux de chômage le plus élevé

 Le site Internet Eghtesad News du régime iranien a rapporté que les données du Centre statistique iranien montrent que le taux de chômage des jeunes dans la tranche d'âge de 15 à 24 ans est plus élevé que le taux de chômage national global, l'une des raisons étant citée comme le manque de coordination. heures de travail et éducation.

Le ministre du Travail de Raïssi a de nouveau annoncé unilatéralement le montant du SMIC le dernier jour de l’année iranienne

 C’est au moins 4 à 5 fois inférieur au minimum vital et 28 à 36 fois moins que les salaires des parlementaires du régime

Cette année encore, comme l’an dernier, Solat Mortezavi, ministre du Travail du gouvernement de Raïssi, a annoncé unilatéralement, le dernier jour de l’année iranienne, le salaire minimum des travailleurs à « 6 900 780 tomans mensuel », selon l’agence de presse IRNA du 19 mars 2024). Cette annonce unilatérale a été faite alors que la veille, «le groupe de travailleurs a quitté la réunion du Conseil suprême du travail pendant les négociations en raison de l’absence d’accord avec le gouvernement et le patronat », écrit l’agence ILNA le 18 mars à minuit.

L’immigration des infirmières est devenue une crise en Iran

 L’immigration des infirmières “n’est plus un problème, elle est au bord de la crise”, a déclaré Abol Qassem Talebi, membre du Conseil suprême de l’organisation médicale.

Dans une interview accordée à Radio Salamat, M. Talebi a déclaré qu’alors que la moyenne mondiale est de trois infirmières par lit d’hôpital, cette moyenne en Iran est inférieure à un tiers de la norme mondiale. (11 mars 2024)

Conférence IWD2024 à Paris – Michele Alliot-Marie

 Lors d’une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024), des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays ont exprimé leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Conférence IWD2024 à Paris – Candice Bergen

 Lors d’une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024), des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays ont exprimé leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Conférence IWD2024 à Paris – Linda Chavez

 Lors d’une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024), des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays ont exprimé leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Conférence IWD2024 à Paris – Dorien Rookmaker

 Lors d’une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024), des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays ont exprimé leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

La mission d’enquête de l’ONU demande une prolongation, mais les alliés de Téhéran pourraient forcer l’arrêt de la mission

– Les experts juridiques internationaux nommés par l’ONU pour enquêter sur la répression par l’Iran d’un mouvement de défense des droits des femmes qui a éclaté en septembre 2022 demandent plus de temps pour faire leur travail, mais les objections des alliés de Téhéran pourraient mettre fin à leur mission internationale indépendante d’établissement des faits sur l’Iran, le mois prochain.

La crise de l’eau en Iran : Une menace imminente dans une région de pénurie

– Le World Resources Institute (WRI) a récemment publié un rapport mettant en lumière la crise de l’eau dans 25 pays, dont l’Iran. Ce rapport, publié à la veille de la Journée mondiale de l’eau (22 mars), dresse un tableau inquiétant pour ces nations confrontées à une grave pénurie d’eau et au stress hydrique.

L’immigration des infirmières est devenue une crise en Iran

– L’immigration des infirmières « n’est plus un problème, mais elle est au bord de la crise », a déclaré Abol Qassem Talebi, membre du Conseil suprême de l’organisation médicale.

Conférence IWD2024 à Paris – Nargis Nehan

 Une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024) a vu des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays exprimer leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Conférence IWD2024 à Paris –Christina Blacklaws

 Une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024) a vu des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays exprimer leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Conférence IWD2024 à Paris – Thorgerdur Katrin Gunnarsdottir

 Une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024) a vu des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays exprimer leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Conférence IWD2024 à Paris – Judy Sgro

 Une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024) a vu des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays exprimer leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Présidence du régime à la conférence de l’ONU sur le désarmement, simultanément au rapport de la mission d’enquête sur ses crimes contre l’humanité

 Une double moquerie des valeurs et des objectifs de l’ONU, qui encourage le parrain du terrorisme et la tête du serpent belliciste à poursuivre ses crimes

Mme Maryam Radjavi : Le régime qui est le principal ennemi de la paix doit être expulsé des Nations Unies au lieu de présider la Conférence sur le désarmement.

Pauvreté : Des difficultés sans précédent en Iran

– L’Iran est confronté à une confluence de maux économiques : pauvreté généralisée, flambée des prix (en particulier des denrées alimentaires), récessions commerciales, taux de chômage élevé et diminution du pouvoir d’achat. Ces facteurs ont engendré un nouveau type de préjudice social : le vol de nourriture.

Iran : La discrimination institutionnelle à l’égard des femmes et des filles a favorisé les violations des droits de l’homme et les crimes contre l’humanité dans le contexte des récentes manifestations, selon la Mission d’établissement des faits des Nations Unies

 OHCHR – GENÈVE (8 mars 2024) – La répression violente des manifestations pacifiques et la discrimination institutionnelle omniprésente à l’égard des femmes et des filles ont conduit à de graves violations des droits de l’homme par le gouvernement iranien, dont beaucoup s’apparentent à des crimes contre l’humanité, a déclaré la Mission internationale indépendante d’établissement des faits sur la République islamique d’Iran dans son premier rapport aujourd’hui.

MESSAGE DE MARYAM RADJAVI POUR NOROUZ, LA NOUVELLE ANNÉE IRANIENNE 1403

Avec le soulèvement et la volonté combattive de chacun d’entre vous, Norouz apportera la victoire

Chers compatriotes, chers sœurs et frères, chers filles et fils de tout le pays, courageuses unités de résistance, vous qui œuvrez à la révolution démocratique en Iran !
Joyeux Norouz et bonne année à toutes et tous !
Dans ce Norouz, nous voyons le bonheur de la victoire du peuple iranien. Avec la même certitude que le printemps de la nature a supprimé l’hiver, le Norouz politique et social iranien supprimera l’hiver de la tyrannie religieuse.
De cette épreuve de 45 ans et avec tout le sang que vous avez versé dans vos soulèvements et votre résistance, grâce à votre puissance créatrice printanière, il ne fait aucun doute que le grand printemps viendra.

CDH : L’intervention de Shabnam Maddzadeh, ancienne prisonnière politique

 CDH : L’intervention de Shabnam Maddzadeh, ancienne prisonnière politique, interrompue à trois reprises par la représentante du régime

pour avoir utilisé le mot « régime », évité « République islamique » et dénoncé les «crimes contre l’humanité »

Dans l’après-midi du lundi 18 mars, lors de la réunion du Conseil des droits de l’homme (CDH) des Nations Unies à Genève, à la suite du rapport de la mission internationale d’établissement des faits sur l’Iran et aux discours de ses membres, des représentants de gouvernements et d’ONGs ont pris la parole pour commenter le rapport. Un rapport qui reconnaît pour la première fois les crimes du régime des mollahs comme des « crimes contre l’humanité ».

Conférence IWD2024 à Paris – Naike Gruppioni

 Une conférence organisée à Paris pour célébrer la Journée internationale de la femme 2024 (IWD2024) a vu des femmes, des juristes et des défenseurs des droits des femmes de 28 pays exprimer leur soutien à la lutte des femmes iraniennes pour la liberté, la démocratie et l’égalité.

Les violations des droits humains en Iran pourraient constituer des crimes contre l’humanité, selon l’ONU - GENÈVE - LA RÉPRESSION VIOLENTE DE L'IRAN À L'ENCONTRE DES MANIFESTANTS PACIFIQUES EST UNE RÉALITÉ

 – La répression violente des manifestations pacifiques et les violations généralisées et systématiques des droits de l’homme en Iran pourraient, dans de nombreux cas, constituer des crimes contre l’humanité, selon une mission d’enquête de l’ONU.

55e session du Conseil des droits humains de l’ONU : Dialogue interactif avec la Mission d’établissement des faits sur l’Iran

 Amnesty International – Amnesty International appelle les États membres du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à renouveler le mandat du rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en République islamique d’Iran et à prolonger celui de la Mission internationale indépendante d’établissement des faits sur l’Iran.

Un rapport de l’ONU fait état de brutalités en Iran

 – Une mission d’enquête de l’ONU a rendu un rapport cinglant sur l’Iran, déclarant la mort de Mahsa Amini en garde à vue  » illégale  » et résultant de violences physiques. L’arrestation de cette Kurde de 22 ans, en septembre 2022, pour avoir prétendument enfreint le code vestimentaire islamique de l’Iran, a déclenché des manifestations dans tout le pays et a constitué un défi de taille pour les dirigeants religieux du pays.

La lauréate du prix Nobel de la paix exhorte le monde entier à surveiller l’Iran pour ses violations des droits de l’homme

 L’opposante iranienne Narges Mohammadi est vue au Centre des défenseurs des droits de l’homme à Téhéran, en Iran, le 25 juin 2007.

CSDHI – La lauréate iranienne du prix Nobel de la paix Narges Mohammadi, emprisonnée, a appelé lundi les pays à accroître la pression sur Téhéran en raison de ses violations « flagrantes » des droits de l’homme.

Plus de 60 prisonniers et prisonnières politiques et militantes demandent la libération de Maryam Akbari Monfared

 Plus de 60 prisonniers et prisonnières politiques, anciens ou actuels, et militantes ont signé une déclaration de soutien à Maryam Akbari Monfared, dont la peine d’emprisonnement a été portée à 18 ans après sa 15ème année de détention.

Plus de 60 prisonniers et prisonnières politiques, anciens et actuels, et militantes ont signé une déclaration de soutien à Maryam Akbari Monfared, soulignant que cette prisonnière politique est emprisonnée depuis 5107 jours sans avoir le droit de sortir. Dans certaines parties de leur déclaration, ils ont écrit : “Maryam Akbari Monfared est l’une des prisonnières politiques les plus longtemps emprisonnées :

DISCOURS À LA CONFÉRENCE-IFTAR POUR LE MOIS DE RAMADAN

 Maryam Radjavi : Tout ce qui est contrainte et coercition, n’est pas l’islam

Chers amis, Bonsoir et bon Ramadan !

Je remercie les dirigeants de la communauté musulmane de France, les parlementaires jordaniens et les respectables personnalités des pays amis et frères le Yémen, la Syrie, la Tunisie et l’Algérie de leur présence dans la réunion d’aujourd’hui.

Le Conseil suprême du travail iranien exacerbe la pauvreté au lieu d’augmenter les salaires

 Alors que la fin de l’année persane approche, des discussions ont commencé au sein du régime concernant l’établissement du salaire minimum pour l’année 1403. Cependant, les prévisions précédant le processus de prise de décision au sein du Conseil suprême du travail montrent plutôt de sombres perspectives caractérisées par une misère et une pauvreté accrues.

Pour l’ONU, Téhéran a commis des crimes contre l’humanité

 – Selon un article du journal suisse, Le Temps, écrit le lundi 18 mars 2024, la Commission internationale d’établissement des faits a présenté ses conclusions au Conseil des droits de l’homme dans un rapport accablant. En Iran, la répression  et les crimes contre l’humanité continuent, mais les formes de désobéissance civique se multiplient.