dimanche 31 août 2014
Manifestations d'Iraniens à Paris et à La Haye pour la protection de Liberty
CNRI - Les communautés iraniennes à Paris et à La Haye ont organisé des manifestations pour exiger une enquête sur le massacre du 1er septembre des membres de l'opposition iranienne au camp d'Achraf en Irak.
Les manifestants ont également appelé les Etats-Unis et les Nations Unies à honorer leur promesse de stationner des casques bleus au camp Liberty pour protéger les résidents qui ont été sous les attaques répétées des forces irakiennes inféodées à l'Iran.
À l'occasion du premier anniversaire de ce crime contre l'humanité dans le camp d'Achraf, les participants ont organisé une exposition de photos des victimes du camp d'Achraf, 52 membres de l'Organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI), assassinés le 1er septembre 2013.
Plusieurs des victimes ont été exécutées tandis que leurs mains étaient liées derrière le dos, d'autres ont été achevées dans la clinique du camp.
Les participants ont par ailleurs demandé à l'ONU et aux États-Unis de prendre les mesures qu'il convient pour libérer les sept résidents pris en otage par les forces irakiennes.
Des manifestations similaires ont eu lieu dans d'autres villes en Europe et en Amérique du Nord.
Iran: le régime reconnaît que les détenus de Sharh-e Kord sont mort asphyxiés
CNRI - Trois semaines après qu'onze détenus aient été tués dans un incendie à la prison Shahr-e Kord, le régime iranien a finalement reconnu qu'ils ont été asphyxiés.
Mansour Firoozbakht, médecin légiste de la province Charmahal-Bakhtiari a déclaré à l'agence de presse IRNA, que les détenus sont morts d' "inhalation de fumée et d'étouffement par manque d'oxygène." "Après examen, les corps des détenus ont été remis à leurs familles pour enterrement," a-t-il ajouté.
L'incident de la prison Shahr-e Kord, le 4 août, est survenu après que le directeur de la prison ait ordonné de punir des prisonniers dans le but de terroriser les détenus qui avaient organisé une grève pendant plusieurs jours pour protester contre les conditions de vie inhumaines de la prison.
En solidarité avec leurs compagnons de cellule, d'autres prisonniers ont mis le feu à des matelas. Mais au lieu d'éteindre le feu, les autorités ont fermé les portes et ont empêché toute aide de l'extérieure. Les gardiens de prison ont abandonné les prisonniers en proie aux flammes.
Ce soir-là, les responsables des Renseignements du régime ont ordonné au maire et au directeur des sapeurs-pompiers de censurer les rapports sur cette atrocité.
Après l'incident, la Présidente-élue du CNRI a appelé pour l'envoi d'une mission internationale afin d'enquêter sur les conditions de vie catastrophiques des prisonniers en Iran.
Maryam Radjavi a déclaré: « Cette atrocité sans-précédent n'est qu'un exemple des calamités que les meurtriers au pouvoir en Iran ont imposées dans les prisons depuis des années. Les dictateurs iraniens doivent être mis au ban des nations et faire face à la justice pour leurs innombrables crimes.»
samedi 30 août 2014
Assad used chemical weapon 8 times in April in Syria, UN panel
Evidence of chemical attack on civilian by Assad regime
A United Nations report says that Syrian dictator Bashar al-Assad used chemical weapons eight times in April in attacks in northern Syrian villages.
The report by an independent U.N. commission investigating war crimes in Syria said it believed chlorine, dispatched in barrel bombs, was the agent used on multiple occasions.
'There are reasonable grounds to believe that the chlorine has been dropped, particularly in barrel bombs from helicopters belonging to the government authorities. So the finger points there,' said commission member Vitit Muntarbhorn, a Thai professor who has investigated human rights in North Korea.
The commission also emphasized that Assad’s government forces continue to perpetrate crimes against humanity through massacres and systematic murder, torture, rape and disappearances.
The report also highlighted mock crucifixions, public executions, amputations and the beheading of children by ISIS in parts of Syria.
The report said that public executions were a common sight in the areas controlled by the ISIS and in some instances, there is enough evidence to believe that civilian population was targeted deliberately.
Source: News agencies
Iranian regime acknowledges inmates killed by smoke inhalation in Sharh-e Kord prison fire
Three weeks after at least eleven Iranian inmates were killed in a prison fire, the Iranian regime has acknowledged the cause of their death had been smoke inhalations.
Mansour Firoozbakht, the head of forensic medicine in Charmahal & Bakhtiari province told the state-run IRNA news agency the inmates died of "smoke inhalation and suffocation due to lack of occasion."
"The corpses of the inmates were given to their families for burial after examination made," he said.
The incident in Shahr-e Kord prison on August 4 happened after the warden ordered a number of prisoners to be punished in a bid to terrorize the inmates who had staged a strike for several days to protest the inhumane living conditions at the prison.
In solidarity with their striking cellmates other prisoners set fire to several mattresses. Instead of putting out the fire, however, prison authorities locked the prison doors and prevented outside help, including efforts by fire-fighters to to knock down a wall to save the prisoners.
The warden and prison guards then left and abandoned the prisoners to be engulfed by the flames.
That evening, the regime’s intelligence officials issued secret orders to the mayor and the General Director of the city's fire fighting organization to censor reports on this atrocity.
After the incident, the Iranian Resistance’s President-elect called for the dispatch of an international fact-finding mission to investigate the catastrophic living conditions of prisoners in Iran.
She said: "This unprecedented atrocity is just one example of the calamities the murderers ruling Iran have imposed on prisoners for many years. The barbarians ruling Iran should be shunned by civilized nations and should face justice for their countless atrocities."
Iran: Protest by thousands of miners enters 12th day
For the 12th day, thousands of miners and members of their families continued their protest in the central city of Bafgh demanding the release of detained workers.
The protest by the workers at Bafgh Iron Ore began on August 19 following the arrest of a number of workers for their role in a protest in May that lasted for 40 days.
The mine is located in the city of Bafgh in province of Yazd. The workers and their families form half of the population of the city.
In May protest, the worker wanted the plans for transferring 28.5 percent of the mine's share to private sector be cancelled and the profit from the shares be spent on improving the living conditions in the city.
Striking workers also had demanded the resignations of the mine's director and that workers receive job security guarantees.
The May strike ended when the governor of the province promised their demands would be met within 2 month.
The deadline has been reached while none of the workers demands have been met.
The protest by some 5,000 workers is one of the largest workers protest in recent years in Iran.
Le "blocus" d'un camp de réfugiés près de Bagdad dénoncé par les opposants iraniens
CNRI avec l’AFP - Le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI, opposition en exil), a dénoncé vendredi le "blocus" organisé par les autorités irakiennes du camp de réfugiés de Liberty, près de l'aéroport de Bagdad a rapporté l’AFP.
"Sur ordre du régime iranien, les agents de Maliki bloquent depuis 17 jours l'entrée du carburant, des vivres et des médicaments dans le camp Liberty", a dénoncé le CNRI dans un communiqué.
Nouri al-Maliki, premier ministre irakien sortant, a accepté mi-août de céder le pouvoir, sous la pression d'une communauté internationale soucieuse de voir un gouvernement capable de contrer la progression fulgurante des jihadistes. Un nouveau Premier ministre Haïdar al-Abadi, a été désigné, mais il n'y a pas encore de gouvernement et M. Maliki contrôle encore l'appareil sécuritaire du pays.
"Etant donné que le gouvernement irakien a refusé de relier l'électricité du camp au réseau de Bagdad, tous les systèmes de Liberty, les cuisines, les réfrigérateurs et les chambres froides pour la nourriture, l'éclairage, la climatisation, l'évacuation des eaux usées fonctionnent à l'électricité produite par les générateurs. En bloquant l'entrée du carburant, tous ces systèmes ont cessé de fonctionner ou sont sur le point de le faire", a indiqué le CNRI.
"Priver les habitants de carburant, de vivres et de médicaments est un crime contre l'humanité", a souligné le groupe d'opposition iranien.
"La climatisation ne fonctionne plus et les habitants connaissent un enfer dans des baraquements en tôle par une chaleur de 48°. Chaque jour connaît son lot d'habitants victimes de coup de chaleur. Ils ont aussi de graves difficultés pour cuire les repas", a-t-il insisté.
Le CNRI appelle "le gouvernement américain et l'ONU à contraindre le pouvoir irakien à lever immédiatement ce blocus inhumain et à laisser les habitants de Liberty avoir un accès libre et inconditionnel à la nourriture, aux médicaments et aux soins médicaux".
Nouri al-Maliki, premier ministre irakien sortant, a accepté mi-août de céder le pouvoir, sous la pression d'une communauté internationale soucieuse de voir un gouvernement capable de contrer la progression fulgurante des jihadistes. Un nouveau Premier ministre Haïdar al-Abadi, a été désigné, mais il n'y a pas encore de gouvernement et M. Maliki contrôle encore l'appareil sécuritaire du pays.
"Etant donné que le gouvernement irakien a refusé de relier l'électricité du camp au réseau de Bagdad, tous les systèmes de Liberty, les cuisines, les réfrigérateurs et les chambres froides pour la nourriture, l'éclairage, la climatisation, l'évacuation des eaux usées fonctionnent à l'électricité produite par les générateurs. En bloquant l'entrée du carburant, tous ces systèmes ont cessé de fonctionner ou sont sur le point de le faire", a indiqué le CNRI.
"Priver les habitants de carburant, de vivres et de médicaments est un crime contre l'humanité", a souligné le groupe d'opposition iranien.
"La climatisation ne fonctionne plus et les habitants connaissent un enfer dans des baraquements en tôle par une chaleur de 48°. Chaque jour connaît son lot d'habitants victimes de coup de chaleur. Ils ont aussi de graves difficultés pour cuire les repas", a-t-il insisté.
Le CNRI appelle "le gouvernement américain et l'ONU à contraindre le pouvoir irakien à lever immédiatement ce blocus inhumain et à laisser les habitants de Liberty avoir un accès libre et inconditionnel à la nourriture, aux médicaments et aux soins médicaux".
Iran : saisie de récepteurs satellites dans divers points de Téhéran
CNRI - Le 27 aout, les forces répressives ont lancé un raid dans le quartier de Saadat Abad de la capitale iranienne pour saisir les récepteurs satellites chez l’habitant et détruire et antennes sur les toits (Agence officielle Irna du 27 aout).
L’opération s’est heurtée aux vives protestations de la population.
Selon les médias du régime, ce plan de saisie des équipements de réception satellite à Téhéran a commencé en sourdine à Téhéran dès le mois d’aout (Site officiel Norouz, 19 juin).
Le mollah Mohseni Gorgani, président de la cour suprême du régime, a déclaré à ce propos : « C’est par ce moyen que l’ennemi attaque à la base les idées et la morale de la jeunesse. Sur 4000 chaines satellites, 120 visent l’Iran, des chaines qui traitent des problèmes politiques, qui soulèvent des questions contre le clergé, nous sommes inquiets. »
Il a souligné que les autorités « doivent prendre des mesures spéciales pour contenir cette vague qui « déracine », car demain il sera trop tard. » (Agence Fars des gardiens de la révolution, 29 mai)
Les efforts du régime pour empêcher la population de regarder les chaines satellites de l’opposition, accompagné d’une répression sur Internet, traduisent la peur que lui inspire la prise de conscience de la population et la montée de la révolte populaire.
Ghassem Soleimani, commandant de la Force Qods (Pasdaran) en compagnie du chef du groupe terroriste irakien «Assa’ib»
CNRI – Une photo inédite de Ghassem Soleimani, commandant de la Force Qods (chargé des opérations extraterritoriales des Gardiens de la Révolution) à côté de Gheiss Khaz’ali chef du groupe irakien « Assa’ib Ahl Al-Haq » vient de sortir sur le web. C’est un site spécial des intégristes en Iran appelé « Ahl Beyt » qui a publié cette photo le 14 août.
Selon le site en question : « le groupe « Assa’ib Ahl Al-Haq » a joué un rôle sérieux et irréfutable dans la défense du mausolée de Hazrate Zeynab (fille d’Ali, premier Imam des chiites) ; ce groupe a offert de chers martyrs sur cette voie »
Il s’agit d’une allusion à la participation active de ce groupe dans la répression de la population syrienne et la défense de la dictature de Bashar El-Assad.
Il s’agit d’une allusion à la participation active de ce groupe dans la répression de la population syrienne et la défense de la dictature de Bashar El-Assad.
Depuis trois mois, le groupe « Assa’ib Ahl Al-Haq » a assumé un rôle essentiel en Irak à traves des attaques contre les populations sunnites en Irak, notamment le massacre des prisonniers sunnites dans les provinces de Dialy, Al-Anbar et Bagdad, ainsi que des assauts quasi quotidien dans les maisons de citoyens sunnites dans la capitale et dans d’autres villes.
Pour les irakiens, « Assa’ib Ahl Al-Haq » est un des groupes terroristes les plus terribles connus en Irak. Ce groupe a été fondé par la Force « Qods » des Pasdarans iraniens. Ses membres sont formés pour la plupart dans une caserne de la ville d’Ahvaz (centre de la province du Khouzestan, sud- ouest). Son nom a trouvé une notoriété depuis l’été 2009 où il a revendiqué une attaque aux mortiers à Bagdad contre une conférence des tribus irakiennes organisée dans la capitale.
Irak : pour le 17e jour, les agents de Maliki bloquent le carburant, les vivres et les médicaments à l’entrée de Liberty
Priver les habitants de carburant, de vivres et de médicaments est un crime contre l’humanité
CNRI - Sur ordre du régime iranien, les agents de Maliki bloquent depuis 17 jours l’entrée du carburant, des vivres et des médicaments dans le camp Liberty.
CNRI - Sur ordre du régime iranien, les agents de Maliki bloquent depuis 17 jours l’entrée du carburant, des vivres et des médicaments dans le camp Liberty.
Etant donné que le gouvernement irakien a refusé de relier l’électricité du camp au réseau de Bagdad, tous les systèmes de Liberty, les cuisines, les réfrigérateurs et les chambres froides pour la nourriture, l’éclairage, la climatisation, l’évacuation des eaux usées fonctionnent à l’électricité produite par les générateurs.
En bloquant l’entrée du carburant, tous ces systèmes ont cessé de fonctionner ou sont sur le point de le faire.
La climatisation ne fonctionne plus et les habitants connaissent un enfer dans des baraquements en tôle par une chaleur de 48°. Chaque jour connait son lot d’habitants victimes de coup de chaleur. Ils ont aussi de graves difficultés pour cuire les repas.
Le blocus en vivres, en médicaments et en carburant est un cas flagrant de crime contre l’humanité.
Vu leurs engagements écrits et répétés d’assurer la santé et la sécurité des habitants de Liberty, la Résistance iranienne appelle le gouvernement américain et l’ONU à contraindre le pouvoir irakien à lever sur le champ ce blocus inhumain et à laisser les habitants de Liberty à avoir un accès libre et inconditionnelle à la nourriture, aux médicaments et aux soins médicaux.
La communauté internationale ne doit pas garder le silence devant un crime contre l’humanité et ne doit pas permettre une nouvelle catastrophe humanitaire survenir à Liberty.
vendredi 29 août 2014
Iran: protest by thousands of Isfahan residents against drying of Zayandeh Rood
Thousands of residents of Isfahan, central Iran, braved official threats and intimidations on Wednesday to stage a demonstration on the dry bed of the river protesting the drying of the grate Zayandeh Rood. They gathered near the historic and ancient bridge called ’33-bridge’ which was built some 4 centuries ago over the Zayandeh-Rood River and is now a recreational place for people to congregate. But due to the drying of the river caused by government’s inaction and incompetence, has mostly been abandoned.
Some of the protesters were wearing black cloths, a sign of mourning holding placards reading 'where is my river.' They expressed their anger at the government’s inaction and incompetence for deliberately drying the river.
Iran: Youth protest the drying of Karoon River
In Ahwaz, southern Iran, a large number of youth protested government’s actions resulting in drying of Karoon River. They put up posters and signs in a sports’ stadium saying 'hail to Karoon' and 'Karoon is not dead.'
A group of sports’ fans also gathered outside the stadium holding placards saying 'Karoon belongs to Khuzestan.' This campaign was widely welcomed by other young people and youth in the area.
Iran: old mother protesting outside prison west of Tehran
An old mother of a prisoner protested at 2 in the afternoon on Tuesday, August 26th, outside Ghezel Hesar Prison in Karaj, west of Tehran, after authorities did not allow a visit with her son. Authorities went as far as attacking this old mother while she was chanting slogans against the regime.
Iran: pol prisoner on 21st day of hunger strike
In Iran political prisoner news, Behnam Ibrahimzadeh entered his 21st of hunger strike on Friday, August 29th. Gohardasht Prison officials have threatened to transfer him to solitary confinement if he doesn’t stop his hunger strike. This political prisoner has said he will go on a dry hunger strike if his demands are not responded to by September 1st.
Behnam Ibrahimzadeh is on strike protesting the mandatory transfer from Tehran’s Evin Prison to Gohardasht Prison in Karaj, west of the capital, and being placed in the ward of ordinary prisoners.
UN: Syrian crisis is the biggest humanitarian emergency of era
"The Syrian crisis has become the biggest humanitarian emergency of our era, yet the world is failing to meet the needs of refugees and the countries hosting them," Antonio Guterres, UN High Commissioner for Refugees, said in a statement.
According to the figures by United Nations, three million Syrian refugees will have registered in neighbouring countries as of Friday. The figure is one million refugees more than a year ago.
The vast majority remain in neighbouring countries, with the highest concentrations in Lebanon (1.14 million), Turkey (815,000) and Jordan (608,000), the UNHCR said. Some 215,000 refugees are in Iraq with the rest in Egypt and other countries.
In addition, the host governments estimate that hundreds of thousands more Syrians have sought sanctuary in their countries without formally registering, the agency said.
Increasing numbers of families arrive in a shocking state, exhausted, scared and with their savings depleted, it said. "Most have been on the run for a year or more, fleeing from village to village before taking the final decision to leave."
"There are worrying signs too that the journey out of Syria is becoming tougher, with many people forced to pay bribes at armed checkpoints proliferating along the borders.
Refugees crossing the desert into eastern Jordan are being forced to pay smugglers hefty sums (ranging from $100 per person or more) to take them to safety," it added.
US must honor its pledges to protect Iranians in Liberty, former UN ambassador demands
The US should honor its promise to protect defenseless Iranians in Camp Liberty, and ensure that the new Iraqi government prevents any further aggressions against them, a former Untied Nations ambassador has demanded.
Ken Blackwell was speaking ahead of the first anniversary of the massacre of 52 members of the Iranian Resistance in Camp Ashraf on September 1, 2013.
He described the tragedy as 'one of the worst examples of America's failure to protect' in recent history.
Writing in the news website The Patriot Post, he said: "Fifty-two people lost their lives in a massacre perpetrated by Iraqi forces under the command of Iraqi Prime Minister Nouri-al Maliki and under the direction of the exceptionally anti-democratic regime in Iran.
"All of them died in possession of documents signifying the broken promise of protection that had been offered to them by the United States.
"The Camp Ashraf Massacre targeted Iranian dissidents, members of the People’s Mojahedin Organization of Iran, the principal Iranian resistance movement who had been living in exile in Iraq since the 1980s, conducting the struggle for a democratic homeland from abroad. The victims were all ‘Protected Persons’ under the Geneva Convention.
"Most of them were handcuffed, identified and then executed with a bullet in the head. All of the individuals had signed an agreement with the US, guaranteeing their safety and protection until their final disposition."
Many Iranian dissidents around the world lost friends and family in the bloodbath who could have been saved if the US had kept its promise, he said.
And now, 3,000 other members of the Iranian Resistance continue to remain in grave danger in Camp Liberty, Iraq, under conditions like those of a concentration camp, he wrote.
He added: "Since the end of the US engagement in Iraq, Iran has steadily exerted more and more influence on the government in Baghdad, as well as the Shiite terrorists roving the country.
"With that Iranian support, Nouri al-Maliki amplified the sectarian conflict in his country, shutting minorities out of the government and ultimately setting the stage for the rise of ISIS.
"And through all of this, democratically-minded Iranian dissidents have been watching the walls of the mullahs' influence closing around them, waiting for their long-promised relocation to the United States or some other peaceful nation.
"That promise has simply been broken, just as the promise to them was broken when they were given Protected Persons Status by the State Department, but then abandoned to the whims of the Maliki regime.
"All freedom-loving Americans should urge our government to pursue a comprehensive Middle East policy that serves our national ideals and security.
Such a policy would involve, first and foremost, willingness to confront the most oppressive regimes about their violations of human rights and their crackdowns on political dissent.
"Conversely, that policy ought to provide the support that we have sometimes mistakenly withheld from organized forces for democratic change both inside and outside of those countries."
The US must now demand the new Iraqi government prevent and stop any aggression against camp Liberty and stop daily restrictions against the residents on medical services, medicine, fuel and logistics, Mr Blackwell said.
And Baghdad should recognize the rights of the residents for freedom of movement and should declare its readiness to allow independent investigations by the United Nations on the massacre of September 1, 2013, cooperate with the UN Human Rights mechanisms and hand over the perpetrators to meet justice, he said.
And he added: "When it comes to refugees at Camp Liberty, the US not only has moral obligation, it has legal and contractual commitments to them.
"As a former ambassador to the UN Human Rights Commission, I urge President Obama and his congressional colleagues to mark the anniversary as a turning point, whereby we commit to making good on our promise to the freedom fighters of Camp Ashraf (now in Camp Liberty).
"We can no longer turn a blind eye to the government ordered killings and violations of human rights.
"With the sorts of challenges that the worldwide struggle for freedom faces today, neither the West nor the Middle East can afford to wait for the second anniversary."
Iraq: For 17th day food, medicine and fuel blockade against Iranian refugee camp continued
NCRI - At the behest of the Iranian regime, for the 17th day, the Iraqi forces of Nouri al-Maliki stationed in Camp Liberty, obstructed the entry of fuel, food, medicine and other essential items to the camp near Baghdad that houses Iranian refugees.
Since the Government of Iraq does not allow the Camp Liberty’s electricity network to be connected to the city's grid, all systems in the camp such as kitchens, refrigerators, food freezer containers, lighting, air-conditioners and cooling systems, and black water systems all work with the electricity generated by camp’s electric generators.
As fuel reaching the camp has been interrupted, all these systems have ceased or are about to cease to function.
The air-conditioners and cooling equipment are not working and residents are tormented as they live in metal containers in 48 degrees Celsius temperatures. Every day, a number of residents suffer heat stroke. Residents are facing great difficulty in cooking their food.
Depriving residents of food, medicine and fuel is blatant case of crime against humanity.
The Iranian Resistance calls on the United Nations and the U.S. government who have committed themselves repeatedly and in writing to the health and security of residents to compel the Iraqi government to immediately raise this anti-human siege and provide free and unconditional access of residents to food, fuel, medicine and medical services.
The international community should not be silent in face of crime against humanity to allow another human catastrophe to unfold in Camp Liberty.
U.S. targets entities violating sanctions against Iranian regime
The United States on Friday sanctioned more Iranian and other foreign companies, banks, airlines and individuals for violating sanctions, working to expand the regime's nuclear program, and supporting terrorism.
U.S. officials said it was sending a signal that there should be no evasion of the sanctions while international talks continue.
The Treasury Department said it was targeting individuals and companies for violations including helping Iran's missile and nuclear programs, evading prior sanctions or supporting terrorism.
"Treasury's action against over 25 entities and individuals, who are involved in expanding Iran's proliferation program, supporting terrorism in the region and helping Iran evade U.S. and international sanctions, reflects our continuing determination to take action against anyone, anywhere, who violates our sanctions," Under Secretary for Terrorism and Financial Intelligence David Cohen said in a statement.
In a parallel move, the U.S. State Department imposed sanctions on four firms it said were helping Iran's nuclear program, as well as Goldentex FZE, a UAE-based firm working with Iran's shipping sector, and an Italian firm, Dettin SpA, which it said was working with Iran's petrochemical industry.
The Wall Street Journal reported: "Senior U.S. officials said Friday's measures are mainly designed to prevent Iran and its partners from evading sanctions that are still on the books and as a deterrent against support for terrorists and the Assad regime. The latest steps are allowed under the so-called joint plan of action with Iran, a product of the nuclear talks, officials said."
Iran: Men bound and humiliated in public before being charged
NCRI - Photos of the degrading treatment of Iranians men being pulled through streets with their hands tied have been published on the regimes state-run news websites.
The harrowing images showed the arrested men suffering the humiliating ritual at the hands of police in the northern city of Sari even before they had been charged with any crime.
Every year, tens of thousands are arrested in the streets for 'offences' such as wearing T-shirts that are too tight or 'immoral' hair styles.
So-called offenders are often punished with public flogging or humiliating parades to create an intense climate of fear among the public.
Violations of human rights in Iran including public executions and amputations have intensified since Hassan Rouhani became president more than a year ago.
Le régime iranien expérimente une nouvelle génération de centrifugeuses
CNRI - Le président de l’Organisation de l’énergie atomique (OEAI) du régime iranien, Ali-Akbar Salehi a révélé que son régime procède à des expérimentations sur de nouvelles centrifugeuses.
Interrogé par la télévision officielle, Salehi a déclaré le 27 août : « des tests mécaniques sur la nouvelle génération de centrifugeuses ont été effectués en Iran », ajoutant : « nous avons informé l’AIEA de la dernière génération de nos centrifugeuses, à savoir l’IR8, qui a une capacité de 24 UTS (unité de travail de séparation).
Les tests mécaniques ont été achevés, mais nous n’avons pas encore introduit de gaz à l’intérieur et il faudrait l’autorisation du président de la République pour cela.»
Il a affirmé que « la construction et la production de nouvelles centrifugeuses font partie de nos droits et selon l’accord de Genève, les recherches et le développement ne sont pratiquement soumis à aucune contrainte. » Salehi n’a pas révélé la date de ces expérimentations.
Le chef de l’OEAI a également rappelé : « nous avons pour quatre ans de réserves d’uranium à 20% que nous avons gelées pour l’avancée des négociations ». Salehi a ajouté : « dès que le régime le décidera, nous ouvrirons le robinet à 5%, et si cela s’avère nécessaire, nous fermerons le robinet à 5% pour ouvrir celui à 20% ».
Il a affirmé que « la construction et la production de nouvelles centrifugeuses font partie de nos droits et selon l’accord de Genève, les recherches et le développement ne sont pratiquement soumis à aucune contrainte. » Salehi n’a pas révélé la date de ces expérimentations.
Le chef de l’OEAI a également rappelé : « nous avons pour quatre ans de réserves d’uranium à 20% que nous avons gelées pour l’avancée des négociations ». Salehi a ajouté : « dès que le régime le décidera, nous ouvrirons le robinet à 5%, et si cela s’avère nécessaire, nous fermerons le robinet à 5% pour ouvrir celui à 20% ».
Le président yéménite: régime iranien interfère intensément dans les affaires du Yémen
Le président yéménite a accusé l'Iran de provoquer des troubles dans son pays alors que les rebelles chiites Houtis avancent vers la capitale Sanaa.
Le président Mansour Hadi du Yémen a déclaré dans un communiqué que le régime iranien tentait de "troquer Sanaa avec la capitale syrienne, Damas," une référence à l'appui du régime des mollahs pour le dictateur syrien Bachar Assad dans la guerre contre son propre peuple.
Le président yéménite a déclaré: «L'Iran interfère intensément dans les affaires du Yémen et il y a quatre groupes affiliés à l'Iran qui travaillent contre le Yémen. Par ailleurs, il y a des conseillers iraniens travaillant (pour le chef Houti) Abdul Malik Al-Houti.»
Une réunion entre le président yéménite et les représentants des rebelles, initialement prévue pour jeudi, a été reportée de 48 heures. Le Conseil de sécurité des Nations Unies doit discuter vendredi du conflit en cours au Yémen.
Le chef rebelle Al-Houthi a exigé cette semaine la démission du gouvernement et a également insisté que le gouvernement devait faire volte-face de sa récente décision d'augmenter les prix du carburant.
Source: le quotidien Asharq Alawsat
Source: le quotidien Asharq Alawsat
jeudi 28 août 2014
Northern Iran: inmates forced to watch executions in Rasht Central Prison
Rasht Central Prison authorities forced numerous inmates to watch various executions as a method of imposing psychological torture. Iranian regime authorities believe these prisoners will learn serious lessons after watching such horrific scenes! These criminals actually enjoy forcing inmates watch these inhumane executions.
New reports of protests & strikes across Iran
Bafgh
The 5,000-strong strike staged by Bafgh miners in central Iran surpassed its 9th day on Wednesday, August 27th. At the same time a number of workers and members of the detained workers’ families rallied outside the regime’s governorate in this city demanding their loved ones’ release. On Tuesday night the strikers rallied outside the miners’ entrance.
The 5,000-strong strike staged by Bafgh miners in central Iran surpassed its 9th day on Wednesday, August 27th. At the same time a number of workers and members of the detained workers’ families rallied outside the regime’s governorate in this city demanding their loved ones’ release. On Tuesday night the strikers rallied outside the miners’ entrance.
Karaj
A number of youths attacked repressive regime forces, severely beating one of them. This scuffle erupted at 7:30pm on Tuesday night, August 26th, when the regime agents intended to inspect the vehicle of these youths and harass them.
A number of youths attacked repressive regime forces, severely beating one of them. This scuffle erupted at 7:30pm on Tuesday night, August 26th, when the regime agents intended to inspect the vehicle of these youths and harass them.
Tehran
At a soccer match fans clashed with state police when they intended to arrest a number of the fans.
At a soccer match fans clashed with state police when they intended to arrest a number of the fans.
TehranA number of textile manufacturers went on strike on Monday, August 25th, with a number of clothing store owners joining their efforts. This strike is launched protesting rising prices of raw material.
Bane, Iran Kurdistan
A number of large storeowners in this city went on strike on the morning of Tuesday, August 26th, protesting new taxes imposed under the pretext of ’border importer tax’.
A number of large storeowners in this city went on strike on the morning of Tuesday, August 26th, protesting new taxes imposed under the pretext of ’border importer tax’.
Iraq's new leader must halt Iranian regime's 'reign of terror' in Iraq, US statesmen demand
The US must push for a more inclusive government under new Iraqi prime minister Haider al-Abadi that will destroy the Islamic State's momentum and put a halt to Iran's reign of terror in the region, two leading American statesman have demanded.
Al-Abadi must no longer be Tehran's puppet to carry out Iran's 'dirty work' or exploit sectarian divisions to the political advantage of Iran's mullahs, former Pennsylvania Governor Tom Ridge and former Vermont Governor Howard Dean wrote in the Chicago Tribune.
A strong stance by Iraq's incoming leader will also erode Tehran's leverage in nuclear negotiations with the West, they said.
They wrote: "For years, the al-Maliki government pushed Iraq to the brink of civil war by exploiting sectarian divisions for political advantage. With the departure of American troops in 2011, al-Maliki, backed increasingly by Shiite Iran, adopted policies that alienated large segments of the population.
"Those policies paved the way for the rise of extremist, terrorist Sunni groups like Islamic State and eroded whatever allegiance to the government existed among the Sunni-dominated thin green line charged with protecting the people.
"Only an assertive US stance that calls for an inclusive and independent Iraqi government can stop the cycle of sectarian bloodshed.
"With the introduction of a new prime minister-designate, Haider al-Abadi, Washington has an opportunity to ensure that all of Iraq's diverse political voices are embodied in a democratic political order. Iraq's diversity on the ground must be reflected in its government."
The most important first step for al-Abadi is to end Iran's 'ubiquitous meddling', Mr Ridge and Mr Dean said.
They added: "Iran moved to consolidate its influence in Iraq under al-Maliki by coercing the judiciary and Shiite blocs there to support a second term for their client, even though his faction lost the election in 2010.
"Generals in Tehran then assembled al-Maliki's Cabinet, as Ali Khedery. Al-Maliki returned the favor by showing no hesitation to massacre defenseless Iranian dissidents gathered in Iraqi camps Ashraf and Liberty.
"Repeated deadly and unprovoked attacks against members of the Mujahedeen-e-Khalq left more than 100 dead and thousands injured, helping Tehran in its quest to eliminate a pro-US, democratic opposition group."
With the help of Iran's Quds force, al-Maliki brutally repressed popular protests across Iraq hunted down tribal leaders, made arrests and carried out executions, all with Tehran's complicity, they said.
They wrote: "That reversed the gains made in 2007, when Sunnis played the most crucial role in driving al-Qaida out of Iraq. It also demonstrated the kind of brazen sectarianism that gave rise to the Islamic State.
"The course of action now is clear: The U.S. must push for transition to a more inclusive government that would give voice to the Sunnis, tribes, moderate Shiites and other minorities.
"In adopting a firm diplomatic policy, the US will not only bolster its damaged reputation in the region, it will destroy the Islamic State's momentum by ending Sunni alienation from Iraqi politics. Likewise, in advocating for new and inclusive leadership, Iran's reign of terror in Iraq will be greatly diminished.
"Tehran will no longer have a puppet to carry out its dirty work next door. It will also lose important leverage in its nuclear negotiations with the West.
"The manner in which al-Abadi's new government deals with Iranian dissidents in Camp Liberty will be a litmus test for his attitude toward Tehran.
"If he deals with the dissidents in accordance with Iraq's commitment to the United Nations, international law and their human rights, he will give strong indication that the new government is serious about charting an independent path for Iraq, one that puts national interests above sectarian divides."
Iranian regime and ISIS, and the joint element linking them
By: Allameh Mohammad Ali al-Husseini
Confronting the issue of the terrorist group ISIS, which has been recently thrust into the international media following the fall of Mosul in Iraq, cannot be achieved without
eroding its pillars of support that allowed this phenomenon to emerge.
eroding its pillars of support that allowed this phenomenon to emerge.
The emergence of the regime in Iran after the 1979 revolution that was hijacked by extremist and fundamentalist mullahs was a key turning point in the growth of religious fundamentalism in the region and the world, and the beginning of an abnormal period in provoking and reviving religious fundamentalism and sectarian beliefs under the cover of faith.
Many were deceived by the portrayal of the regime in Tehran as the savior and liberator of Arab and Muslim people.
From its very beginning, the mullahs’ regime relied on the policy of imposing itself through force and compelling the Iranian people to adhere to its fanatical and fundamentalist viewpoints. It started with the arbitrary arrests of its opponents, throwing them in prisons, aggressive campaigns against women and mass executions. We will refer to specific cases.
What Sadeq Khalkhali (Chief of the Revolutionary Courts in Iran who earned title of 'the hanging judge') did was not rooted in the spirit of Islam, but in humiliating people and insulting them like Iran’s vultures and issuing sentences against anyone who opposed the mullahs’ regime.
The punishments of flogging, burning women’s faces, amputating fingers and noses, gouging out eyes, stoning and executing pregnant women took place without remorse, as well as bombings, assassinations, terrorist and horrific measures, were all blamed on their fabricated enemies. All of these examples created a climate of fear and horror that enchained all Iranians under this regime.
The terrorist ISIS organization has carried out unprecedented criminal acts, and those with even the slightest knowledge of the pure religion of Islam must be completely opposed to this group and its crimes which are in total contrast to the principles and values of Islam.
ISIS’ actions are very similar to those of the mullahs’ regime. Both rely on the policy of terrorizing and horrifying others, and compelling them to remain in a state of anxiety and instability.
This suggests there are secret channels of communication channels between ISIS and the mullahs’ regime. It also suggests ISIS is the offspring of the two dictatorships in Syria and Iran.
Their illegal and criminal acts and the climate of fear they impose on the areas they control are no different from the criminal acts of the mullahs’ regime, where its Quds Force has no objective other than to annihilate peace, security and stability in the region.
Fundamentalism and the crimes of the mullahs’ regime in Iran do not represent the Shiites, just as the fundamentalism and crimes carried out by ISIS do not represent the Sunnis. Therefore, Islamic countries in general and Arabic countries in particular must take a stand against the fundamentalism represented by the mullahs’ regime in Iran and ISIS.
We also call for a flourishing of moderate scholars to to help defeat the scheming of the mullahs’ regime and ISIS.
We in the Islamic-Arabic Council are ready to take all necessary steps to achieve this, and we are prepared to coordinate, share and help in all efforts that can maintain our nations’ security, stability and well-being, and also defeat the plans, agendas and plots of the mullahs’ regime.
Allameh Mohammad Ali al-Husseini, a Shiite, is the Secretary General of the Islamic- Arabic Council in Beirut
This article was published on 25 August 2014 in Arabic language Kuwaiti daily Al-Seyassah
Situation au camp Liberty : le president de la commission des Affaires étrangères du Congrès écrit à John Kerry
CNRI – Dans une lettre adressée au Secrétaire d’Etat américain, John Kerry, le Président de la Commission des Affaires étrangères du Congrès, Edward Royce, a alerté le ministre sur les conditions précaires en matière sécuritaire qui entourent les opposants iraniens résidents au camp Liberty (Irak) ; il a demandé une réinstallation urgente de ces derniers.
Dans cette lettre datée du 22 août on peut lire que : la gravité de la situation sécuritaire en Irak, a exposé les résidents de Liberty aux attaques provenant des agents liées aux Gardiens de la Révolution iraniens (Pasdarans) ou des extrémistes sunnites proches de l’EIIL.
Ce danger est d’autant plus grand compte tenu de l’insuffisance des barrières de sécurité et la superficie restreinte du camp qui ne laissent pas les conditions d’une protection adéquate en cas de telles attaques.
Insistant sur la nécessité d’entreprendre des mesures urgentes pour la protection du camp, M. Royce précise : « nous devons aussi nous concentrer sur notre objectif principal qui consiste à réinstaller définitivement ces résidents dans des pays tiers.
Insistant sur la nécessité d’entreprendre des mesures urgentes pour la protection du camp, M. Royce précise : « nous devons aussi nous concentrer sur notre objectif principal qui consiste à réinstaller définitivement ces résidents dans des pays tiers.
Je souhaite rappeler ici la demande du HCR adressée à ces pays pour recevoir l’ensemble des résidents du camp en attendant des solutions à long terme (…) Si une solution durable n’est pas rapidement accessible, il est nécessaire de trouver un pays intermédiaire pour une installation provisoire (…) ce qui peut concerner également les Etats-Unis »
Iran: la police lance des raids pour détruire les antennes paraboliques
CNRI - Les forces de sécurité d'Etat en Iran ont attaqué mercredi le quartier résidentiel de Saadat Abad, à Téhéran, pour confisquer et détruire les antennes et les récepteurs satellites.
Selon plusieurs témoignages, les forces répressives sont entrées dans une ensemble de tours où habitent une majorité d'employés du gouvernement. Un groupe de policiers est entré dans les domiciles et d'autres ont grimpé sur les toits pour abattre les antennes paraboliques.
Malgré une loi de 1994 sur l'illégalité des antennes paraboliques, jusqu'à 70 % des familles en possède, selon une récente estimation de Fardin Ali-Khah, le patron de la radiotélévision d'Etat.
Gholamreza Khosravi, un partisan de l'Organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI), a été exécuté en Iran le 1er juin 2014, sous le chef d'accusation de moharebeh (inimitié contre Dieu) pour sa collaboration avec INTV, la chaîne de la résistance iranienne.
Mais en dépit de ces mesures répressives, un récent rapport du centre de recherche du parlement des mollahs a conclu que «ces mesures n'ont pas atteint le résultat escompté, mais ont plutôt ajouté à l'engouement pour les chaînes satellite, même dans les villages et dans les banlieues les plus éloignés et les plus pauvres du pays».
Le ISJ condamne le blocus inhumain contre le camp des opposants iraniens
ISJ - Le 27 Août 2014, Madrid - Quelques 2800 réfugiés iraniens, dont 800 femmes, sont détenus dans des conditions insupportables dans le camp Liberty près de l'aéroport de Bagdad. Cela fait plus de deux semaines maintenant que le gouvernement irakien empêche l'entrée du carburant dans le camp Liberty.
L'électricité du camp est uniquement fourni par des générateurs fonctionnant avec du carburant. Par conséquent, la santé des résidents et le fonctionnement de toutes les infrastructures et les affaires de la vie courante sont sérieusement à risque, puisque les réserves de carburant se sont épuisées hier matin et les pompes à eau ont cessé de fonctionner.
Plusieurs résidents, y compris un groupe de femmes, ont subi des coups de chaleur et beaucoup d'autres sont dans un état critique.
Nous avions mis en garde contre cette crise avec de nombreuses lettres, des déclarations et des communications adressées au gouvernement américain, au Secrétaire général des Nations Unies et à la Haute Représentante de l'UE.
Nous avions mis en garde contre cette crise avec de nombreuses lettres, des déclarations et des communications adressées au gouvernement américain, au Secrétaire général des Nations Unies et à la Haute Représentante de l'UE.
Les États-Unis ont une responsabilité particulière car la situation actuelle est le résultat direct de l'invasion américaine de l'Irak en 2003, lorsque les responsables américains ont donné à chacun des résidents des assurances écrites sur leur sureté et sécurité et ensuite ils les ont poussés à évacuer leurs maisons à Achraf pour aller s'installer au camp Liberty.
Jusqu'à présent, 116 personnes ont été tuées dans des attaques brutales par les forces de Maliki et 20 autres sont mortes en raison des restrictions médicales inhumaines imposées par le gouvernement irakien à la demande de l'Iran
Les États-Unis et des Nations Unies doivent respecter leurs engagements et responsabilités en forçant le gouvernement irakien à mettre fin au siège inhumain du camp Liberty et autoriser immédiatement l'entrée des produits alimentaires essentiels, du carburant, de l'eau et d'autres besoins élémentaires des résidents qui subissent actuellement une chaleur extrême de 48°C en été.
Les Etats-Unis seront tenus directement responsable pour tout préjudice à l'encontre des opposants iraniens sans défense par les forces irakiennes inféodées à Téhéran.
Alejo Vidal-Quadras
Ancien vice-président du Parlement européen (1999-2014)
Président du Comité international pour l'application de la justice (ISJ)
Ancien vice-président du Parlement européen (1999-2014)
Président du Comité international pour l'application de la justice (ISJ)
mercredi 27 août 2014
Iran: 5,000-strong strike in Bafgh ore mine surpassed 8th day
5,000 workers on strike in the Bafgh ore mine in Iran
In Iran protest news, the 5,000-strong strike launched by Bafgh ore miners in Yazd, central Iran, surpassed their 8th day on Tuesday, August 26th, protesting the detention of 9 of their colleagues by the regime police. This strike started last Tuesday, August 19th.
The state-run ILNA news agency was forced to cover and publish reports on this widespread protest act. This state outlet reported, “The families of these 9 detained workers, along with a number of other workers and people, have rallied during the past three days outside the regime’s governorate office demanding the release of the detained workers.”
Iran: pol prisoner Omid Behruzi in Evin Prison in dire physical conditions
Political prisoner Omid Behruzi
Political prisoner Omid Behruzi, a lawyer of the Dervish minority community, is currently suffering from serious pains in the neck and back. He has been recently transferred to Section 350of Evin Prison .
Evin Prison authorities and torturers have been refusing to allow this lawyer receive medical treatment for nearly a year now, all under orders from the regime’s judiciary. He has also been deprived from receiving treatment in the prison clinic, and the authorities are saying he must first wear the prison uniform.
Preventing the transfer of this prisoner to medical centers is taking place while physicians inside Evin have said his conditions and illnesses are seriously deteriorating.
Political prisoner Omid Behruzi, now four years in jail, said he will never wear prison uniforms in order to defend the dignity of his profession.
Iran: 10 inmates, including a woman, executed in two cities
Mass executions in Iran under Rouhani
The criminal mullahs’ regime hanged 10 inmates, including 1 woman, on Tuesday, August 26th, in the cities of Kerman and Bandar Abbas. The names of a number of these victims hanged in Kerman’s Shahab Prison are: Hossein Shahriary, Abbas Pour Yazdanpanah, Hamid Mir and Mohammad Hossein and a woman were amongst those executed.
In a mass execution on Tuesday morning, the inhumane mullahs’ regime sent 5 inmates to the gallows in Bandar Abbas Central Prison. The growing number of mass executions is intended to create a climate of fear and terror to confront social uprisings.
Iran: Amnesty International urges action to save Mohammad Ali Taheri
Amnesty International has issued an Urgent Action demanding action to save "prisoner of conscience Mohammad Ali Taheri, who has spent over three years in solitary confinement in Section 2A of Evin Prison in Iran’s capital, Tehran."
The rights group said that he has been "threatened with death by interrogators. He is serving a five-year prison sentence on a charge of 'insulting Islamic sanctities', in relation to his spiritual beliefs and practices."
"Mohammad Ali Taheri, founder of a new spiritual group in Iran called Erfan-e-Halgheh, was arrested on 4 May 2011 by officials linked to Iran’s Revolutionary Guards and held incommunicado for nine months in Section 2A of Evin Prison."
According to Amnesty International, "Mohammad Ali Taheri has been serving his prison sentence entirely in solitary confinement and his repeated requests to be transferred to a cell shared with other inmates have been denied, leading him to undertake at least seven hunger strikes and attempt suicide four times. Except for a six-day period of leave in March 2013, his interaction with the outside world has been limited to brief bi-weekly visits from his wife in a 'cabin' (behind a glass screen) and limited telephone calls, both of which have stopped since his wife was arrested on 2 July 2014 for a period of two weeks."
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