samedi 31 janvier 2015

Iran: Ahvaz residents protest regime’s inaction on dust pollution


Resident in the southern Iranian city of Ahvaz took to the streets on Friday (January 30) to protest against the Iranian regime’s lack of action regarding the worsening dust pollution in the oil rich province of Iran.
Ahwaz has been the most polluted city in the world, based on data compiled by the World Health Organization in 2013.
The news media outlets in the country did not report on the demonstration by the residents but the photos of the protest were distributed in the social media.
The residents held signs reading: “Clean Air is our Absolute Right!”.
On Friday, the air in Ahwaz remained filled with dust.
Every year about 80,000 people in Iran die of environmental pollution, according to the official figures.

Video: Il faut faire entendre la voix des musulmans démocrates d’Iran - Dowlat Norouzi


Les femmes sont les principales victimes de l'extrémisme religieux qui sévit en Iran, a déclaré dans une interview la représentante du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) en Grande Bretagne. La charia et l'oppression des femmes par le régime n'a cependant rien à voir avec la religion et n'est qu'un instrument de pouvoir des islamistes, a déclaré Dowlat Norouzi dans une interview avec la télévision Conseil de l'Europe.
 Elle a expliqué: «En plus des obstacles habituels dont les femmes sont confrontés partout dans le monde, la situation est bien pire en Iran parce que les femmes font face à une dictature religieuse très brutale qui justifie la répression et la discrimination sous prétexte de la religion. Nous disons que les droits des femmes sont les droits humains et leur combat contre le fondamentalisme islamiste doit être soutenu, car les racines de ce phénomène funeste sont en Iran. »
Mme Norouzi a salué la présence significative des femmes dans la Résistance iranienne: "Le mouvement d'opposition dirigé par Maryam Radjavi est l'antithèse même de l'intégrisme islamiste. Il porte les valeurs de tolérance, de démocratie et une vision progressiste de l'Islam qui valorise les droits humains, la séparation de la religion de l'État et cherche à établir l'égalité des droits pour les femmes dans tous les domaines.
« Ce mouvement mène un combat acharné pour l'instauration d'une démocratie pluraliste en Iran. C'est ce qui explique le soutien dont jouit la Résistance à l'intérieur et à l'extérieur du pays pour changer le régime et établir un régime moderne basé sur l'État de droit, le pluralisme.
«Rappelons que le régime iranien est le premier "Etat islamique" du monde contemporain et s'appui aujourd'hui sur la manne pétrolière et le chantage islamiste et nucléaire dans cette région très stratégique du Moyen-Orient pour maintenir son pouvoir. Il est crucial de lui barrer la route.
« Mais vous ne pouvez pas lutter contre le fondamentalisme islamiste avec une approche anti-islamique. Vous avez besoin de musulmans démocratiques animés d'une culture tolérante et éclairée pour faire face aux fanatiques qui instrumentalisent la religion. Je pense que l'Europe doit d'abord reconnaître le mouvement d'opposition dirigée par Maryam Radjavi comme la solution et l'antithèse de l'islamisme. Il faut faire entendre la voix des musulmans démocrates iraniens. »

Décès d’Asghar Sharifi, un des blessés de l’attaque de juin 2013 sur le camp Liberty en Irak


C’est à midi le 30 janvier que s’est éteint M. Asghar Sharifi, ingénieur pétrolier, responsable de longue date au sein de l’organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) et membre du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), avec 45 années d’expérience politique, et prisonnier politique sous le chah. Il avait été grièvement blessé à la tête et au cou lors de l’attaque à la roquette en juin 2013 sur le camp Liberty, en Irak. Il est décédé dans un hôpital en Albanie.
A la suite de l’attaque, il avait été hospitalisé à Bagdad, mais les médecins irakiens avaient estimé que le retrait de l’éclat de roquette de son crâne était impossible. Cela lui causait en permanence de terribles maux de tête. Au bout d’un mois et au prix de bien des efforts, il avait été transféré en Albanie où il suivait un traitement médical. 
L’état de M. Asghar Sharifi s’est dégradé début janvier 2015 en raison de sa blessure et de l’éclat dans son crane. Il avait été à nouveau hospitalisé à Tirana. Il est décédé au bout de 25 jours de coma.
M. Sharifi était né en 1949 et avait rejoint l’OMPI en 1971. Il avait été arrêté en 1974 par la SAVAK du chah et avait passé trois ans et demi sous la torture en prison. Après la révolution antimonarchique, il avait pris la tête du département des études et de la coopération avec la presse du ministère de la Culture et de l’orientation islamique sous le gouvernement Bazargan. Cependant quelques mois plus tard, il remettait sa démission pour protester contre la répression des libertés.
Quatre jours après l’attaque à la roquette, il avait protesté auprès du Haut commissariat aux droits de l’homme de l’ONU sur son silence à propos de ce bombardement, écrivant que les observateurs de la MANUI n’avaient cessé de venir dans les locaux des habitants pour y prendre des photos sans raison apparente. « Ils sont venus dans notre réfectoire plusieurs fois et ont pris des photos de l’intérieur et de l’extérieur. Nous ne savons pas pourquoi ils avaient besoin de ces photos. Malheureusement cette salle a été touchée par les roquettes et nous y avons été blesses (...) Nous vous exhortons à condamner cet acte criminel, qui relève du crime contre l’humanité, et d’appeler à une enquête impartiale, indépendante et urgente. Ne permettez pas au régime iranien ni au gouvernement irakien de se servir de votre silence pour poursuivre leurs crimes. »
Mme Maryam Radjavi, Présidente-élue de la Résistance iranienne, a adressé ses condoléances à la famille de M. Asghar Sharifi et à ses enfants, ainsi qu’à tous les habitants du camp Liberty, et à la population de la ville de Qom, dont il était originaire. Elle a rappelé une fois de plus aux USA et à l’Onu leurs responsabilités et leurs engagements écrits sur la sécurité et le bien-être des habitants de Liberty. Elle a appelé à des mesures immédiates pour empêcher davantage de pertes humaines.

Iran : les prisonniers politiques privés de soins médicaux et suppliciés


Appel à sauver les prisonniers politiques Asghar Ghatan et Ahmad Danechpour Moghadam en danger de mort
La Résistance iranienne appelle l’ensemble des instances et des organes de défense des droits humains et des rapporteurs sur les arrestations arbitraires et la torture, et le rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en Iran à prendre des mesures urgentes pour sauver le prisonnier politique Asghar Ghatan et Ahmad Danechpour Moghadam qui sont dans un état très grave parce que privés des soins médicaux dont ils ont besoin.
 Asghar Ghatan est un sympathisant de l’OMPI. Il est atteint d’un cancer à l’estomac et se trouve dans un état gravissime. Il a besoin d’une opération chirurgicale de toute urgence mais ne reçoit pas le moindre soin. Agé de 63 ans, il est diplômé d’un doctorat de physique et de sismologie. Il souffre également du foie, de la rate et du cœur.
Lors de son transfert à l’hôpital, les gardiens l’ont lui ont enchainé les mains et les pieds. Comme il résistait, son transfert a été annulé. Les efforts de sa famille pour verser une caution afin de pouvoir l’hospitaliser n’ont abouti à rien. Asghar Ghatan avait déjà été arrêté dans les années 1980 pour son soutien à l’OMPI et avait été condamné à 6 ans de prison sous la torture. Il a été à nouveau arrêté en décembre 2010.
Le prisonnier politique Ahmad Danechpour Moghadam est âgé de 42 ans. Il a été arrêté et incarcéré en même temps que son père Mohsen, âgé de 68 ans, pour leur soutien à l’OMPI. Ils ont été accusés de « guerre contre Dieu » et condamnés à mort. En raison de saignements des intestins et de leurs conséquences et parce qu’il est privé de soins, il a perdu 40 kg et sa vie est en grand danger.
Supplicier les prisonniers politiques en les privant volontairement de soins médicaux est une méthode connue du fascisme religieux au pouvoir en Iran. Mohsen Dokmetchi, un éminent négociant du bazar de Téhéran, prisonnier politique, malade d’un cancer, est mort de douleur sans soins en mars 2011.

Une parlementaire irakienne demande au gouvernement de son pays de fournir des aides humanitaires aux opposants iraniens vivant au camp Liberty en Irak


Madame Noura Al-Bajari, membre du parlement, a demandé au gouvernement irakien de fournir des aides humanitaires aux opposants iraniens vivant au camp Liberty en Irak.
CNRI – Madame Noura Al-Bajari, membre du parlement, a demandé au gouvernement irakien de fournir des aides humanitaires aux opposants iraniens vivant au camp Liberty en Irak.
NINA (agence de presse nationale de l’Irak) a rapporté le 26 janvier : « Madame Noura Al-Bajari, membre du parlement, a critiqué l’attitude du gouvernement irakien à l’égard des habitants du camp Liberty. Elle a accusé le gouvernement irakien de négligence et de violations des droits des habitants du camp Liberty. »
Actuellement, plus de 2500 opposants iraniens vivent dans le camp Liberty, situé près de l’aéroport de Bagdad. Le gouvernement américains et l’ONU leur avaient promis que le camp Liberty sera un camp de transit et qu’à partir de ce camp, ils seront transférés vers des pays européens et américains. Sur la base de ces promesses, ces opposants iraniens ont accepté de quitter leurs foyers au camp d’Achraf où ils avaient vécu durant 26 ans. Par la suite, l’ONU et le gouvernement américain n’ont pas tenu leur parole et la plupart des gouvernements européens ont opposé une fin de non recevoir aux demandes de transfert de ces personnes vers leur pays.
Madame Al-Bajari a publié un communiqué dans lequel elle a déclaré : « Les habitants du camp Liberty ont subi de nombreuses injustices, notamment de la part de l’ancien gouvernement d’Irak qui avait une partie pris dans cette affaire [il était sous l’influence du régime iranien]. Les habitants du camp Liberty ont été la cible de plusieurs attaques et leur droit de vivre en sécurité a été violé. Ils ont besoins des aides humanitaires. Or, le gouvernement irakien qui est occupé par des crises et des conflits à l’intérieur de l’Irak ne répond pas à leurs demandes. »
Madame Al-Bajari a souligné : « Le nom de l’Organisation des Modjahédines du peuple d’Iran (OMPI) a été radié de la liste des organisations terroristes. Les membres de l’OMPI qui se trouvent en Irak demandent de vivre en sécurité et l’ONU s’est engagé à répondre à cette demande. »

La visite controversée de la vice-présidente du Parlement d’Allemagne à Téhéran

         
 La récente visite à Téhéran de Claudia Roth et sa rencontre avec des figures du régime des mollahs a soulevé une vague de critiques contre elle chez les Iraniens et les observateurs européens.  
Claudia Roth – membre d’un parti écologiste allemand et vice-présidente du Parlement fédéral d’Allemagne (Bundestag) – s’est rendue à Téhéran du 21 au 26 janvier 2015. Lors de ce voyage, elle a rencontré Ali Laridjani (le président du parlement des mollahs qui est par ailleurs un général des gardiens de la révolution du régime iranien). Elle a aussi rencontré le mollah Mohammad-Hassan Aboutorabi (vice-président du parlement des mollahs) et Mohammad-Reza Aref (un ancien candidat aux élections présidentielles en Iran).Aboutorabi est un mollah qui a toujours été fidèle à Ali Khamenei, le guide suprême du régime iranien. Aref, pour sa part, se définit comme « un réformateur fidèle au guide suprême du régime ».
Lors de toutes les rencontres que Claudia Toth a eues avec les figures du régime des mollahs, elle portait le voile. Ce geste lui a été reproché et par les Iraniens et par des observateurs européens.
Le mercredi 28 janvier, dans une interview avec Radio Zamaneh (une radio en langue persane financée par le gouvernement néerlandais), Claudia Roth a tenté de minimiser les violations des droits de l’Homme par le régime des mollahs. Elle a dit : « C’est important que vous sachiez que je ne suis pas venu dire à l’Iran que tout va bien en Europe et qu’il n’y a que l’Iran qui a des problème avec les droits de l’Homme. J’ai aussi été confrontée à des discours sur des violations des droits de l’Homme au camp de Guantanamo, dans la prison d’Abou Ghraib et ailleurs. » 
En réponse aux critiques de ceux qui lui reprochent d’avoir porté lors de son voyage en Iran le voile imposé par les mollahs, Claudia Roth a dit : « Personnellement, je soutiens les femmes qui mettent leurs photos non voilées sur leur compte Facebook. Mais moi-même, en tant que personnalité officielle, pendant une visite politique officielle, j’ai accepté de porter le voile pour avoir l’occasion de discuter avec les autorités iraniennes à propos des discriminations qui existent dans différents domaines. Si je ne portais pas ce petit voile, je perdais l’occasion de discuter avec mes divers interlocuteurs. »
Claudia Roth a dit explicitement que l’objectif de sa visite à Téhéran a été d’empêcher l’isolement de lu régime iranien.
Chez les Iraniens, Claudia Roth a la réputation d’être une politicienne allemande défenseuse du régime des mollahs. La publication en 2013 des images de Claudia Roth en train de faire un « high five » avec l’ambassadeur du régime des mollahs en Allemagne a provoqué une vague de critiques contre son geste.

vendredi 30 janvier 2015

Appel du CPME pour la levée du blocus médical du camp des opposants iraniens en Irak


Appel du CPME pour la levée du blocus médical du camp des opposants iraniens en Irak
CNRI – Le Docteur Katrin Fjeldsted, présidente du « Comité permanent des médecins européens » (CPME), a envoyé à Madame Federica Mogherini, la chef de la diplomatie de l’Union européenne, une lettre dans laquelle elle a demandé une action urgente de l’UE pour la levée du blocus médical mis en place contre le camp Liberty.Le camp Liberty, situé près de l’aéroport de Bagdad, est le lieu de résidence de 2.500 opposants iraniens. Sur l’injonction des mollahs au pouvoir en Iran, les autorités irakiennes ont imposé un blocus médical inhumain contre les habitants de ce camp de réfugiés.
Voici un extrait de la lettre de la présidente du CPME à la « Haut Représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité » :
Le « Comité permanent des médecins européens » (CPME) représente des associations médicales à travers toute l’Europe.
Nous sommes engagés à transmettre à l’Union européenne les points de vue des institutions médicales et à coopérer activement dans l’élaboration des politiques de l’UE dans le domaine des soins et de la santé.
Nous avons été informés des violations permanentes du droit d’accès aux soins médicaux pour les habitants du camp Liberty en Irak. Auparavant, WMA (World Medical Association) et BMA (British Medical Association) avaient envoyé au Premier ministre de l’Irak, Monsieur Haïder al-Abadi, des lettres séparées dans lesquelles elles lui avaient demandé de respecter les engagements internationaux de l’Irak et de prendre toutes les mesures nécessaires pour régler les problèmes des habitants du camp Liberty. Vous trouverez ci-joint des copies des lettres de ces deux associations médicales.
Conformément à l’article 21 du Pacte de l’UE et dans le cadre du plan de l’UE pour les coopérations stratégiques et les actions pratiques en faveur des droits de l’Homme et de la démocratie (plan approuvé en juin 2012), nous souhaiterions que vous demandiez, en tant que Haut Représentant de l’UE, au gouvernement de l’Irak de respecter complètement le droit d’accès aux soins médicaux pour les habitants du camp Liberty.
Nous sommes à votre disposition pour toute action dans ce domaine
Respectueusement
Le Docteur Katrin Fjeldsted,
Présidente du « Comité permanent des médecins européens » (CPME)

Iran: political prisoner, Reyhaneh Haj-Ibrahimi in critical heath condition

                    The political prisoner Reyhaneh Haj-Ibrahimi
Medical treatment of the political prisoner, Reyhaneh Haj-Ibrahimi in the notoriousEvin Prison has deteriorated and the criminal prison authorities are denying her any medical care. She has been denied her much needed medicine for past three years in prison, a crime that has contributed to her already poor health condition. She has been reported of suffering from neurological pain of her back and legs. She is also suffering from active and bleeding ulcer.

Human Rights Watch: Executions has intensified during Rouhani tenure

                      Executions has intensified during Rouhani tenure
Human Rights Watch, HRW said in its annual report and the violation of human rights in the world that the number of executions has increased dramatically since Rouhani has assumed power. The HRW report indicates that with Rouhani taking the presidential post many thought and were hopeful that the human rights situation and the rights of minorities and activists would improve. But with more than a year since his presidency the number of executions rose, the treatment of social activists have got worsen and minority rights is as bad as ever. 
The HRW report cites a numerous executions including execution of political prisoners, violation of freedom of speech, pressuring social activists and the arrest of protesters to the heinous Acid Attack phenomenon.

Iran: Another Execution in Urumia

                   Execution in Urumia
Iran State run media reported on Friday Jan 30th that a prisoner has been executed today at dawn in Urumia prison. 
The number of executions in recent months has increase horrifically and many say that since the Rouhani has assumed power in Iran, the number of executions has risen dramatically.

Iran: State Security Forces’ push to destroy and confiscate satellite dishes


State security forces attacked 'Tappeh-Kouheh' township in the city of Paveh, Southwestern Iran, and confiscated satellite dishes from residential houses on Wednesday Jan. 28th.
A well informed source said: 'the police agents offended the privacy of the residents and insulted them by climbing their buildings and going to their roofs for confiscating thier satellite dishes.'  

Senator Bob Casey: Iran is the leading state sponsor of terrorism even as the nuclear negotiations continue

                      Sen. Bob Casey (D)Pennsylvania
Democratic Senator Bob Casey of Pennsylvania, former chairman of the Senate Foreign Relations Subcommittee overseeing the Middle East and current member of Finance Committee told CNN that the recent events on the Syrian and Lebanese borders is another reminder that the 'Hezbollah is a terrorist organization and one of the oldest and most sophisticated and capable one. And one of the reasons they have that capability is because they are funded by the Iranian regime, and it is another reminder that even as we are debating how to approach the nuclear negotiations with Iran, that Iran all the while is the leading state spencer of terrorism in the world and we know that too, and it has played out for years. Hezbollah is not some far out organization that our country is unfamiliar with. They not even have targeted Americans, but they have killed Americans. In fact by some estimates, Hezbollah has killed more Americans than any other terrorist organization or maybe they are number 2. But they have a predominant influence, not just in Lebanon, but in the region as well...'.
CNN asked that if Senator Casey is blaming Hezbollah for the bombing and blowing up of the US Embassy in Beirut in early 1980s and for the bombing of the Marine Barracks outside of Beirut that killed about 240 US Marians. 
Senator Casey replied: 'Exactly, so they have shown over decades now that they will engage in terrorism against anyone and anytime and anywhere and that would not be possible, or they would not be as capable were not for the Iranian regime backing them up.' 
Senator in reply to another question regarding the Iran sanctions said: 'I was part of a letter that a number of Democrats signed. We worked together to send a letter to the President which outlined, frankly, lot of our skepticism about the possibility of an agreement with Iran. I have real skepticism. We also outlined a number of our concerns, but we did say in that letter that we wanted to give this process more time, at least until March 24th, so that a framework would be developed. We hope that would happen and we want to be optimistic, but I think it is a reasonable approach to take right now. But in the same time, I am sponsoring a new bill on sanctions that just got through the Banking Committee today, 18 to 4 in a bi-partisan fashion. We will hold that in a ban, so to speak, until we get through that date in March. But after that I am not sure it makes sense to have a delay, because we have to make sure that the Iranian regime knows that there is a bi-partisan consensus here to prevent Iran from getting a nuclear weapons capability, and I emphasis on that last word. And I think that bi-partisan approach is the right approach... but I am skeptic.

Europe Iraq Association: Evict Iran from Iraq after Sunnis genocide


Militia affiliated to the Iranian regime must be evicted from Iraq in the wake of a genocidal attack on Sunnis by Shi'ite killers linked to the regime's terrorist Qods Force, a leading MEP has demanded.
The United Nations must also condemn the crimes of the Iranian regime and its militia in Iraq and Syria and refer them to the International Criminal Court, European Iraqi Freedom Association president Struan Stevenson said.
He wrote in a press release: "We are shocked at the reports of ethnic cleansing and genocide, forced migration, burning of mosques and homes of Sunnis in various regions of Iraq, especially in Diyala province, by the brutal Shiite militias affiliated with the terrorist Iranian Qods Force, sometimes assisted by Iraqi military personnel.
"According to survivors, people were taken from their homes by men in uniform; heads down and linked together, then led in small groups to a field made to kneel and shot one by one. At least 72 locals including children were executed. The militias planted explosives in 1400 houses and 12 mosques in Sherwin villages and set them on fire.
"Such atrocities undermine our fight against ISIS in Iraq. Pro-Iranian regime militias have vast regions of Iraq under their control and are a mirror-image of ISIS - or in the words of some Iraqi Kurdish officials are worse than ISIS - and are carrying out crimes against humanity.
"We repeatedly warned that Iran’s meddling in Iraq and their control of the former Iraqi government under their marionette Nouri al-Maliki, created the ideal conditions for ISIS to enter the country. Unless the Iranians are uprooted and evicted from Iraq the war against ISIS cannot be won."
Mr Stevenson, former chairman of Delegation for Relations with Iraq at the European Parliament, said the West must now take three urgent steps to halt Iran's meddling in its neighbour's territories.
Firstly, to urge Iraqi Prime Minister Haider al-Abadi to condemn these atrocities, disclose their perpetrators and to dismiss and punish the known elements of the Qods Force such as Hadi Ameri. Failure to act would lead to an escalation of these crimes and would convince the Iraqi people that Dr al-Abadi had failed.
Secondly, to evict the Iranian regime, the Qods Force and its so-called Shiite militias from Iraq. This cannot be achieved without the immediate involvement of the United States and the coalition, he said, and was important as the current policy of aerial bombing of ISIS positions. Otherwise the US and the coalition would be seen as allies of Iran and its militias in the eyes of the Iraqi people and the Sunnis in the region.
And thirdly, the UN Security Council must condemn the crimes of the Iranian regime and its militia, and refer them the International Criminal Court.
Mr Stevenson added: "The atrocities committed by these forces in recent months in Diyala, Baghdad, Salah ad-Din, Babel are no less worthy of condemnation than those committed by ISIS."

A firm Iran policy would make Europe safer: EU lawmaker


The West must not form an alliance with Iran - the world's leading sponsor of state terrorism - in the war against Islamic State terrorists in the Middle East, Lithuanian lawmaker Egidijus Vareikis has demanded.
And Europeans who believe Iran could play a temporary role in the conflict are 'opportunists who are a disgrace to European values', he said.
Mr. Vareikis who is member of the Lithuanian delegation to the Parliamentary Assembly of the Council of Europe (PACE) wrote on the EurActiv website that the extremists who have been growing in recent years have been aided by the actions of the Iranian regime in places like Lebanon, Syria and Iraq.
"Some of my fellow Europeans would suggest that Iran could play a temporary role and that forming an alliance wouldn’t be bad because we wouldn’t be arming them. These opportunists are a disgrace to European values and to the values of the entire western world.
"We as Europeans cannot put our stamp of approval on a regime responsible for the bombing of a Jewish Center in Argentina that left 85 civilians dead and a regime that is the main sponsor of misery and terror throughout the globe.
"How could we preach human rights while violating those rights indirectly in the most grotesque ways imaginable?
"Those who seek to pursue a policy that would leave Europe a morally bankrupt continent should also remember that Iranian inclusion is no answer to Iran’s nuclear program.
"According to Mayram Rajavi, the President of The National Council of Resistance of Iran (NCRI), the prerequisite for change is making Iran feel the heat. Pursuing policies of appeasement and appealing to the good nature of a bloodthirsty regime would certainly have no such effect."
Mr Vareikis added: "If we are to combat Islamic extremism at home and abroad, we must tackle its sources, not its symptoms. The Iranian regime has acted as the world’s leading exporter of terror and despair – showing a little resolve on our Iran policy will go a long way at keeping us safer here in Europe.
"While problems with extremists will not disappear, confronting the growing threat of Islamic extremism, starting with Iran, is a powerful first step in protecting the safety and the freedoms of a Europe we can be proud of."

jeudi 29 janvier 2015

Iran: the verdict for 7 Gonabadi Dervishes approval by the Supreme Court

                     Kazem Dehghan, Mohammad-Ali Shamshirzan, Hamid-Reza Arayesh
The mullahs’ Supreme Court approved a verdict issued by a lower court in Shiraz for 7 Gonabadi’s Dervishes accusing them of 'enmity with God.' According to this verdict, 3 Gonabadi Dervishes are sentenced to life in exile, and 4 others to 28 years in exile. They are identified as Kazim Dehghan, Hamid Reza Arayesh, Mohammad Ali Shamshirzan, Mohammad Ali Dehghan, Mohammad Ali Sadeghi, Ibrahim Bahrami, and Mohsen Ismaeeli.     
They are accused of 'Moharebeh' (enmity with God). But Kazim Dehghan, Hamid Reza Arayesh and Mohammad Ali Shamshirzan are also accused of 'being members of an outlawed group, organizeing gatherings and colluding with the aim of disrupting the state security'. 
This is the second time that regime’s Supreme Court is issuing such a verdict by calling the Gonabadi Dervishes as part of an outlaw group whose membership is against the law.  

Iran: An imminent execution of 5 prisoners in Shahab prison, Kerman

                    Shahab prison, Kerman
The mullahs’ regime has transferred 5 prisoners in Shahab prison, Kerman, southern Iran, to solitary confinements on Wednesday Jan. 28th to be executed soon. They are identified as: Ibrahim Fathi, Hakim Shahraki, Reza Ghorbani, Rahman Ishagh Zehi, and Farid Ghorbani. 
The mullahs’ regime usually executes at dawn the next day, inmates moved to the solitary, but not always announces it right after the executions. Sometimes the reports of executions are kept secret for a number of days before being announced or reported.

Iran: OICO workers’ protest, Asalouyah

                   Workers protest in Asalouyeh
Employees of the OICO Company at Sections, 20 and 21, Asalouyah, protested on Monday Jan, 26th to delayed salary and wages. These employees complain that they haven’t received any salary during past few months and demanded to be paid. They threatened to continue their protest gathering as long as they are not paid. 
The strike has started on Monday and has been going on since.

Maryam Rajavi: Nisman is a martyr for peace and humanity and Iranian people


Maryam Rajavi: Prosecutor Alberto Nisman is a martyr for peace and humanity and not just a martyr of the Argentinean people
In particular, he is considered a martyr of the Iranian people and resistance against the religious and terrorist fascism ruling Iran
NCRI - Mrs. Maryam Rajavi, President-elect of the Iranian Resistance, speaking about the Argentinean prosecutor Alberto Nisman, assassinated on the verge of a hearing at the Argentinean parliament in the fight against state sponsored terrorism, the religious fascism ruling Iran, and collaborations in this regard, said: Dr. Alberto Nisman is not just a martyr of the Argentinean people, but a martyr for peace and humanity in the fight against terrorism.
In particular, he is considered a martyr of the Iranian people and their resistance in their fight against fundamentalism and terrorism emanating from this regime. He valiantly stood up against the mullahs’ regime and exposed the dirty political and economic deals aimed at saving this regime from the great crime of the AMIA bombing and refused to give in to the repeated and escalating threats against him in the recent months.
The objective of this cowardly assassination is to obscure the reality and wash the hands of the religious fascism ruling Iran from the great crime of AMIA and to pave the way for deals with the mullahs. From the very first days after this massive terrorist explosion, the Iranian Resistance exposed that the decision for the bombing was taken at regime’s Supreme National Security Council and that its perpetrators were the regime’s leaders, its intelligence ministry and Qods Force, and the Lebanese Hezbollah. This matter was brought in detail to the attention of the investigative judge of the case in several meetings at the Argentine Embassy in Paris by Mr. Ebrahim Zakeri, PMOI (MEK) official and the time Chair of the Security and Anti-terrorism Commission of the National Council of Resistance (NCRI), and his colleagues.
“Although the anti-human mullahs’ regime and its collaborators took away a noble and courageous prosecutor from the international community, but this cowardly assassination shall not bring justice to a halt and doubtless the leaders of the mullahs’ regime will surely face justice for hundreds of terrorist acts, as well as the execution of 120,000 political prisoners and the slaughter of the peoples of Syria, Iraq, Yemen and Lebanon,” Mrs. Rajavi added.
Alluding to the political steps taken by the clerical regime to pave the way prior to the murder of Prosecutor Nisman, Mrs. Rajavi called for an independent international probe to find the perpetrators of this great crime against truth and justice. “An investigation into this matter is part of the investigation into the AMIA crime and will surely shed added light on the role of the Iranian regime in that crime as well. Any one of the crimes perpetrated by this regime as the bankroller of state sponsored terrorism, if investigated, will lead to the most senior officials of this regime. Export of terrorism is a tool for this regime to advance its policies and it shall never abandon it. The appeasement of the mullahs by the West has encouraged them in their export of terrorism and fundamentalism, such that today, its terrorist and fundamentalist crimes have engulfed the whole region,” she emphasized.
According to the investigations by Prosecutor Nisman, the plan to blow up the Jewish center in Buenos Aires was discussed in a meeting of Iranian regime’s Supreme National Security Council on 14 August 1993 by Khamenei (the supreme leader), Hashemi Rafsanjani (President), Ali Akbar Velayati (Foreign Minister), and Ali Fallahian (Minister of Intelligence). Once the decision for the bombing was finalized, Khamenei tasked the intelligence ministry and the revolutionary guards’ Qods Force (IRGC-QF) to carry out the bombing. At that time, Ahmad Vahidi was the Commander of the Qods Force and Mohsen Rezaii was the Commander of IRGC. Nisman’s investigation reveals that Mullah Mohsen Rabbani, the lead in regime’s terrorism in Latin America who was working there under the cover of regime’s cultural attaché at mullahs’ embassy in Buenos Aires, along with another agent from the ministry of intelligence called Ahmad Reza Asghari working under the cover of embassy’s Third Secretary, and Imad Moghnia, the military commander of Hezbollah, were involved in implementing this plan.
On 25 October 2006, the Argentinean prosecutor issued international arrest warrants for the above individuals except for Khamenei. Nisman worked hard for the trial of these individuals in absentia. The hysterical enmity of the mullahs’ regime toward Prosecutor Nisman is evident from the fact that at least five of the eight people whose arrest warrants have been issued, namely Rafsanjani, the Head of the State Exigency Council; Velayati, Advisor to Khamenei; Fallahian, member of the Assembly of Experts and a Khamenei advisor; Mohsen Rezaii, Secretary of the State Exigency Council; and Ahmad Vahidi, member of the State Exigency Council and member of Strategic Council on Foreign Relations, are all senior officials of the clerical regime and their trial in absentia will turn into a trial of the regime as a whole and will thus affect Khamenei as well.
It was not coincidental that mullahs’ regime media, especially Fars, the IRGC news agency, disseminated numerous fallacious reports during the days January 15 thru 18, or the days prior to the assassination of Prosecutor Nisman, which completely distorted the reality and were aimed at depicting that Nisman’s insistence on the responsibility of the Iranian regime in the AMIA bombing “had raised strong protests from various sectors in this country (Argentina)” and thus “the Argentinean society is enraged by Nisman” (Fars News Agency – January 17).
The IRGC news agency heinously reported on 18 January 2015 that “Nisman is an American and Israeli prosecutor and instead of serving his country’s judicial system is carrying out activities for U.S. and the Zionist regime’s intelligence organizations”. Doubtless these absurd statements were paving the way for the assassination of Dr. Nisman.
Secretariat of the National Council of Resistance of Iran
January 28, 2015

mercredi 28 janvier 2015

Photos/Irak : Profanation du cimetière Morvarid d’Achraf Un saccage inhumain mené par les forces de Hadi Ameri

                         Irak : Profanation du cimetière Morvarid d’Achraf  Un saccage inhumain mené par les forces de Hadi Ameri
                                Irak : Profanation du cimetière Morvarid d’Achraf Un
                                 saccage inhumain mené par les forces de Hadi Ameri


forces irakiennes et les milices criminelles installées au camp d’Achraf se sont livrées à la mi-janvier, sur ordre de Hadi Ameri, à l’ignoble profanation du cimetière Morvarid avec des bulldozers, détruisant les pierres tombales, les monuments aux morts et les murs. Depuis 2012, les forces irakiennes ont détruit plusieurs points du cimetière. Malgré les protestations répétées des représentants des habitants auprès des autorités américaines et onusiennes, rien n’a été entrepris pour empêcher ces profanations ignobles.
Cette attitude inhumaine ne fait que rappeler les agissements du fascisme religieux en Iran qui, effrayé par l’influence étendue de l’OMPI dans la société, saccage régulièrement les tombes des résistants dans le pays et empêche tout rassemblement de leurs familles et amis dans les cimetières. Ce régime sait parfaitement que les martyrs de l’OMPI sont une source d’inspiration pour la population en Iran, les encourageant à persévérer dans la résistance pour renverser les mollahs et instaurer la démocratie et la souveraineté populaire en Iran.
Hadi Ameri est un homme de main de la Force terroriste Qods. Son nom, son numéro de compte bancaire et le montant de son salaire figurent dans la liste des mercenaires de cette force en Irak et que la Résistance a révélée il y a plusieurs années. En juillet dernier, il a occupé le camp d’Achraf pour en faire le centre des milices liées à la force Qods. Ensuite, en coordination avec Fallah Fayadh, conseiller à la sécurité nationale de Nouri Maliki, il s’est livré au pillage des biens et des véhicules des Achrafiens.
Les représentants des habitants ont demandé à de multiples reprises aux autorités onusiennes et américaines de prendre les mesures nécessaires pour protéger et entretenir le cimetière d’Achraf, aux frais des Achrafiens. Le 2 décembre 2012, l’agence de presse Fars des gardiens de la révolution avait diffusé des photos de tombes profanées. Le 7 décembre, le représentant spécial adjoint du Secrétaire général de l’ONU, en réponse aux protestations du représentant des habitants de Liberty avait écrit : « La profanation des tombes est inacceptable et si cela est arrivé, nous allons protester vigoureusement. Je suis convaincu que les autorités irakiennes (...) respecteront le sanctuaire des tombes de vos morts. Je discuterai certainement de ce sujet avec elles. » Mais aucune protestation n’a été émise et le représentant des habitants le 16 décembre lui a écrit que « les agissements ignobles et criminels des agents des services de renseignement des mollahs et des forces irakiennes au cimetière d’Achraf avec la profanation et la destruction des tombes (...) n’ont suscité aucune réaction de votre part ni du représentant spécial, or c’est condamné par toutes les religions et les cultures. »
La Résistance iranienne appelle une fois encore le gouvernement américain, le Secrétaire général de l’ONU, son représentant spécial, le Haut-commissaire des droits humains et le HCR à prendre des mesures urgentes pour empêcher ces agissements inhumains et immoraux et à protéger le cimetière d’Achraf.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 28 janvier 2015
Photos de la profanation du cimetière d’Achraf à la mi-janvier

Iran: Protest & Clash

                     

Tehran city employees protest unpaid wages

A group of former and retired Tehran city employees gathered on Tuesday Jan. 27th to protest unpaid and backed up retirement wages. They said the city has not been paying them anything during past 5 months and with the inflation so high and even the price of simple bread being quadrupled, they cannot afford even to buy bread, let alone supporting their families.

Iran: Grad Students’ gathering in front of Iran Parliament

According to eyewitness sources in Tehran, a group of university graduate students majoring in Dentistry from foreign countries rallied in front of the Parliament in Tehran on Wednesday Jan. 28th to protest the government inaction about their situation. 
These students who have received their degrees from other countries and return to Iran in hope of finding a job based on the regime’s pledges made to them while still abroad, find that there are no jobs in Iran and they are practically left in cold. 
This protest gathering was aimed at settling their demands.

Tehran: Youth and Basij militant clash in Fatemi Blvd.

Clashes erupted at noon Tuesday, Jan. 27th in Fatemi Blvd between a group of Basij militants and young teenagers. The Basij militants and Suppressive State Security forces were aiming at plundering those youth by slapping hefty fines on them accusing them of listening to loud music in the privacy of their own cars. But they faced resistance and objection from the youth, when they tried to harass and annoy them. The young teenagers and a couple of other passers’ by rejected the idea of paying the fine and scuffles erupted. 
Other people in the area who were witnessing the disturbance and the youth resisting against the Basij’s approached and defended the youth and scared off the Basiji militants and force them to flee.

Tehran Protest Rally In Front Of Parliament

More than 120 people who had lost their money to a government agency gathered in front of Majlis (Parliament) on Tuesday, Jan 27th. Mehr Housing agency, part of government organized project, has been established to supposedly supplying housings to those people who need homes. But the catch is that the people have to pay a major portion of the money for building the houses in advance and are promised to receive a home within a certain time. 
The protesters claimed that they have paid a large sum of money five years ago in hope of having a roof over their heads in a matter of months, but five years have gone and nothing has been provided for them. 
The protesters also said that each has been charged 7 to 10 million tomans (about $4000 official rate) five years ago and right now there is no money and no home. They complained that they have been plundered and want the government to answer. 
The protesters said they will remain there in front of the Parliament until they are provided with houses. They also attempted to expose these extortionist agencies. 
Out of fear of the spread of the protest, the authorities mobilized a large number of security apparatus and cordoned the protesters and by using intimidation tactics, they forced the families and protesters to evacuate the area following a 4-hour scuffle. 

West must not co-operate with Iran in war on ISIS, EP vice-president demands


Iran is the world's greatest exporter of terrorism and the West must not make an ally of the regime to defeat Islamic State, the vice-president of the European Parliament has warned.
Tehran has huge institutions whose sole aim is exporting its Islamic fundamentalism, and asking for their help is like 'telling an arsonist to put out a fire', Ryszard Czarnecki said.
He wrote in a blog on the Huffington Post website: "Both the West and Iran seek to destroy ISIS, but for far different reasons.
"The West wants to protect the fragile democracy in Iraq and, at the same time, weaken the Assad dictatorship in Syria. Iran fears the loss of its control over Iraq, which it had accomplished with the complicity of former Prime Minister Nouri al-Maliki.
"But the West must avoid any alliance with Iran, which seeks only to advance its own agenda.
"Indeed, Iran has been the greatest exporter of terrorism in all corners of the world. If it wants to destroy ISIS, there must be ulterior motives, and they go far beyond a clash of Shiites vs. Sunnis.
"Allying with or appeasing one group of extremists to neutralise another is a big mistake, especially when one is a state that sponsors extremism and Islamic fundamentalism as a tool and state policy.
"Tehran has established huge institutions, including the notorious Quds Force of the Revolutionary Guards solely to pursue the objective of exporting its Islamic fundamentalism - which it needs as a pillar of its survival.
"No sane person would seek help or cooperation from an arsonist to put out the fire."
Mr Czarnecki also praised Iranian Resistance leader Maryam Rajavi's demand that the West needs a firm policy that halts Tehran's terror machine and evicts them from the region, especially Syria and Iraq, to resolve the crisis of the expansion of Islamic fundamentalism.
He quoted Mrs Rajavi's statement that: "The Iranian regime's participation in the anti-ISIS coalition is a hundred times more dangerous than any form of Islamic fundamentalism, under the cloak of Shiite or Sunni Islam, since that participation would provide the regime the room to act and to go on the offensive and engulf other regional countries in death and devastation."
Mr Czarnecki added: "Therefore, giving a role to Iran's despotic regime in the fight against ISIS in Iraq or in Syria would neither stop the regime's nuclear development nor would it put an end to ISIS. Rather, it would fuel the ISIS propaganda because the Iranian dominance in the region would only intensify the sectarian conflict.
"Tehran must be made to feel the heat that comes from its policy; this can happen only by the West making the cost too exorbitant - and not through concessions."

mardi 27 janvier 2015

The sudden transfer of political prisoner Hamid Reza Moradi from hospital to the prison

                     Political prisoner Hamid Reza Moradi
Political prisoner Hamid Reza Moradi who is suffering from heart disease and severe obstruction of his legs’ vessels, was suddenly returned to the prison cell before he had a chance to receive medical care at Sina hospital where he was hospitalized and under care. He was scheduled to go to Shohada Hospital for heart analysis and consultation on Sunday Jan. 25th.  The neurosurgeon medical team in Sina Hospital in his last medical report about this dervish political prisoner had emphasized on his continuation and the necessary medical procedures that should be observed regarding his health to control his illness and also prevention of stress to avoid worsening of his illness. But the prison authorities did not pay any attention to these medical directives and transferred Hamid Reza Moradi; the political prisoner back to the prison without receiving full medical attention.

Iranian regime’s 1,800-mile range missiles are a world threat


The Iranian regime has missiles that can reach 1,800 miles, making the regime a 'world threat' whether they are nuclear or not, Ali Safavi, member of Foreign Affairs Committee of the National Council of Resistance of Iran told Newsmax TV.
The Iranian regime is the world's biggest sponsor of terrorism and the US must strike at its missiles before it is too late, Mr Safavi told Newsmax TV's 'America's Forum' talk show.
He said: "Clearly, with or without a ballistic missile, the Iranian regime remains from my view the number one in strategic threat, not only in regional countries, but also to the national security of the United States.
"When you talk about the agenda of the president, the focus has to be on the growing threat coming from Tehran."
He added: "You have to look at the situation in perspective. For the past 35 years, and particularly in recent years, as the Iranian regime has become more isolated, the problem with the Syrian regime, Syria, Yemen and elsewhere in the region is that the Iranian regime has continued to sponsor terror and has continued to finance terrorist groups.
"They spent billions of dollars helping Bashar Assad, up to $2 billion a month. They are helping to keep Assad in power and have been training and financing Shiite militants in Iraq and in Yemen, where Iranian trained, financed and armed rebels have taken over that country.
"The threat of Iran as a terrorist sponsoring regime is very real and the danger is thinking that if we are nice to them, they'll be nice to us. The Iranian regime and its leaders are bad actors in the region, and this calls for decisive and firm policy on the part of the US administration."

Maryam Radjavi rend hommage aux victimes d'Auschwitz


CNRI - Maryam Radjavi, la présidente élue de la Résistance iranienne a assisté à la cérémonie organisée en l'honneur du 70e anniversaire de la libération d'Auschwitz à Strasbourg, le 26 janvier 2015, au Conseil de l'Europe. Cette cérémonie était présidée par le secrétaire général de Conseil de l’Europe, Thorbjørn Jagland.
Maryam Radjavi, a ensuite déposé une gerbe pour rendre hommage aux victimes des camps de la mort.
Elle a assisté durant la journée à plusieurs conférences des divers groupes parlementaires de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe pour témoigner de son combat contre l’intégrisme religieux et mettre en garde contre toute alliance avec la théocratie des mollahs, principale parrain de l’extrémisme islamiste.


Les motivations du régime iranien dans l’assassinat du procureur argentin Alberto Nisman


Les motivations du régime iranien dans l’assassinat du procureur argentin Alberto Nisman
CNRI – Les observateurs estiment qu’étant donné l’implication de plusieurs officiels du régime iranien dans l’attentat à la bombe commis en 1994 contre AMIA (un centre de la communauté juive à Buenos Aires), il est fort probable que l’assassinat du procureur argentin Alberto Nisman soit commandité par Téhéran.
 Au cours de ce terrible attentat terroriste, 85 personnes avaient été tués et plusieurs centaines de personnes avaient été blessés. 
Le dimanche 25 janvier, la chaîne télévisée CNN a diffusé une interview avec Mark Dubowitz, un proche ami du procureur Alberto Nisman.
Dans cette interview, Dubowitz a précisé : « Dans un rapport de 289 pages, Nisman avait évoqué l’existence d’un complot sophistiqué pour dissimiler les preuves montrant l’implication du régime iranien dans cet attentat. Il détenait des preuves montrant que plusieurs figures du régime iranien, notamment l’ancien président, l’ancien ministre de la défense et d’autres officiels de haut rang qui sont toujours dans des postes importants au sein de ce régime ont été impliqués dans l’attentat de 1994 à Buenos Aires. Par ailleurs, Ce rapport montre qu’il y a eu un accord secret entre le gouvernement argentin et le régime iranien pour étouffer cette affaire et pour développer leurs relations commerciales. L’accord prévoyait que l’Iran exporte son pétrole vers l’Argentine et que l’Argentine exporte ses produits vers l’Iran. »
Dans une autre interview avec CNN, Matthew Levitt (de «Washington Institute for Near East Policy») a affirmé pour sa part : « Dans ce domaine [dans l’organisation d’attentats terroristes en dehors de l’Iran], le régime iranien a une très très longue histoire. »
Dans son reportage, CNN a rappelé : « Le régime iranien a été accusé d’avoir planifié plusieurs attentats terroristes sur le sol américain, notamment l’assassinat d’un ancien diplomate iranien dans une banlieue de Washington et le plan d’assassinat de l’ambassadeur saoudien à Washington, un plan qui a finalement échoué. Nous avons essayé d’interviewer les autorités iraniennes sur ces sujets, mais ils n’ont pas répondu à nos demandes. »
Un analyste bien informé sur les agissements du régime iranien a déclaré au CNRI : « Ces dernières années, le régime iranien a continué ses opérations terroristes en dehors de l’Iran et il a notamment été impliqué dans les attentats suivants :
• L’assassinat d’un diplomate saoudien au Pakistan en mai 2011,
• Plan d’assassinat de l’ambassadeur de l’Arabie saoudite à Washington en septembre 2011,
• Explosion d’une voiture appartenant à l’ambassade d’Israël à New Delhi, le 12 février 2012,
• Explosion de plusieurs bombes à Bangkok (la capitale de la Thaïlande), le 14 février 2012,
• Tentative d’assassinat d’une personne de confession juive en Géorgie en 2012.
Cet analyste a précisé : « Ces opérations ont été menées par ‘l’unité 400’, appartenant à ‘la Force Qods’ (la branche des pasdaran du régime iranien chargée des opérations terroristes en dehors de l’Iran). »

Les opposants iraniens résidant au camp Liberty en Irak protestent contre le blocus médical imposé à ce camp

                       
CNRI – Les opposants iraniens résidant au camp Liberty en Irak ont participé à un rassemblement pour protester contre le blocus médical imposé à ce camp. Le dimanche 25 janvier, « Al-Rafidain » et « Al-Taghyeer » (deux chaînes télévisées irakiennes) ont diffusé des reportages sur cette action de protestation au camp Liberty où vivent plus de 2.500 opposants iraniens.
« Al-Rafidain » a dit dans son reportage :
 « Les opposants iraniens ont protesté contre un blocus médical qui a déjà provoqué le décès de 23 résidents de ce camp. En 2009, le gouvernement américain a transféré la responsabilité de la protection de ces opposants iraniens au gouvernement irakien et a ainsi violé son engagement officiel et moral de protéger ces réfugiés. Les forces fidèles à l’ancien Premier ministre d’Irak, Nouri Al-Maliki, ont imposé au camp Liberty un blocus médical et de nombreuses obstructions logistiques à cause desquelles les habitants de ce camp vivent actuellement dans des conditions très difficiles. »
 « Madame Afzali a été la vingt-troisième victime de ce blocus médical. Depuis plusieurs années, elle souffrait d’une maladie cardiaque. Elle a décédé à cause du blocus médical inhumain imposé au camp Liberty. »
 « Les opposants iraniens participant au rassemblement de protestation au camp Liberty portaient des pancartes sur lesquelles il y avait des photos de Madame Afzali et des slogans dénonçant le blocus médical imposé au camp Liberty. »
 « Djavad (un habitant du camp) a dit : Nous sommes des personnes protégées par la Quatrième Convention de Genève. Le blocus médical et le blocus logistique qui sont actuellement imposés au camp Liberty sont illégaux et constituent des violations de cette convention internationale. Nous sommes confrontés à d’importantes difficultés matérielles, notamment des coupures d’électricité. »
 « Les habitants du camp ont demandé à l’ONU que les promesses données par l’UNAMI soient respectées. Ils veulent que le gouvernement irakien cesse ses obstructions, notamment contre l’approvisionnement du camp en vivres et en carburant. »
 « Al-Taghyeer » a dit dans son rapportage : « Les habitants du camp Liberty dénoncent le blocus médical imposé à ce camp et précisent que la situation très difficile dans laquelle ils vivent actuellement est le résultat des manquements du gouvernement américain et de l’ONU. »