Le 26 mars, un membre de la minorité arabe, Ali Sawari, emprisonné à la prison de Cheyban d’Ahvaz, est décédé des suites de tortures violentes. Les images du corps de ce prisonnier montrent de nombreuses lésions, contusions et brûlures dues à la flagellation et aux chocs électriques, ainsi que la présence de cavités sur sa tête et sa poitrine, indiquant la sévérité des tortures subies par ce prisonnier sans défense. Ali Sawari avait 50 ans et résidait à Ahvaz.
En même temps, on rapporte que les deux jambes de Kazem Sawari, un autre prisonnier de la prison de Cheyban, ont été brisées en raison de tortures graves, mais les responsables ont empêché son transfert à l'hôpital et a été placé en isolement.