Dans les incroyables opérations de rackett auxquelles ils se livrent dans les prisons en Iran, les mollahs viennent de restaurer une terrible mesure qui avait été enterrée après les massacres des années 1980 : faire payer les familles des exécutés pour qu'elles puissent récupérer le corps de leur proche et l'enterrer.
On les savait avides et cruels, toujours à l'affût de rapine. Une des raisons des cautions ruineuses qu'ils arrachent aux familles pour des libérations conditionnelles et souvent très provisoires de personnes arrêtées, surtout des prisonniers politiques.
Désormais ils font aussi payer la corde des pendus - cher, entre 800€ et 1960€ - avant de restituer le corps des victimes. La nouvelle s’est répandue comme une trainée de poudre en Iran, révélée par des parents endeuillés. Double pleine pour les familles qui souffrent déjà la perte d'un mari ou d'un fils qui assuraient les revenus du foyer et dont l'emprisonnement les jetait dans la misère. Désormais pour faire leur deuil, il leur faudra encore payer et donc s'appauvrir davantage, ou se voir priver d’un enterrement et d’une tombe où se recueillir. Une seconde condamnation à mort en quelque sorte.
Désormais ils font aussi payer la corde des pendus - cher, entre 800€ et 1960€ - avant de restituer le corps des victimes. La nouvelle s’est répandue comme une trainée de poudre en Iran, révélée par des parents endeuillés. Double pleine pour les familles qui souffrent déjà la perte d'un mari ou d'un fils qui assuraient les revenus du foyer et dont l'emprisonnement les jetait dans la misère. Désormais pour faire leur deuil, il leur faudra encore payer et donc s'appauvrir davantage, ou se voir priver d’un enterrement et d’une tombe où se recueillir. Une seconde condamnation à mort en quelque sorte.
A la prison de Ghezel Hessar de Karadj, en banlieue de Téhéran, l'argent est partagé entre le représentant du procureur et le "personnel de l'application des peines", en un mot, les bourreaux.
Cette taxe morbide s'appelle aussi "l'argent des gâteaux". Dans les années 1980, lors des grands massacres de prisonniers politiques, sur la base de fatwas diverses des mollahs, en particulier celles de Khomeiny, les gardiens de la révlution violaient les jeunes prisonnières vierges "pour qu'elles n'aillent pas au Paradis" avant de les exécuter. Puis au matin, ils se rendaient chez la famille de leur victime, avec les balles et des gâteaux à la main. Ils annonçaient aux parents effarés, qu'ils venaient à la fois fêter leur "mariage" avec leur fille et réclamer le prix des balles qui l'avaient tuée.
Combien de parents sont morts de crise cardiaque à l'annonce de cette terrible nouvelle en Iran ...
Cette taxe morbide s'appelle aussi "l'argent des gâteaux". Dans les années 1980, lors des grands massacres de prisonniers politiques, sur la base de fatwas diverses des mollahs, en particulier celles de Khomeiny, les gardiens de la révlution violaient les jeunes prisonnières vierges "pour qu'elles n'aillent pas au Paradis" avant de les exécuter. Puis au matin, ils se rendaient chez la famille de leur victime, avec les balles et des gâteaux à la main. Ils annonçaient aux parents effarés, qu'ils venaient à la fois fêter leur "mariage" avec leur fille et réclamer le prix des balles qui l'avaient tuée.
Combien de parents sont morts de crise cardiaque à l'annonce de cette terrible nouvelle en Iran ...
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