U.S. Department of State - Il y a neuf ans, sept dirigeants de la communauté bahaïe d’Iran ont été arrêtés et reconnus coupables d’espionnage, d’insultes envers les saintetés religieuses et de propagande contre la République islamique, en raison de leurs activités liées uniquement à leur croyance et à la pratique de leur foi. Ils ont été condamnés injustement à 20 ans de prison. Fariba Kamalabadi, Jamaloddin Khanjani, Afif Naeimi, Saeid Rezaie, Behrouz Tavakkoli, Vahid Tizfahm et Mahvash Sabet se trouvent toujours derrière les barreaux aujourd'hui, purgeant une peine injuste pour avoir exercé leurs libertés de religion, d'association et d'expression.
Leurs cas sont une nouvelle preuve du mépris persistant et de la violation des droits de l'homme et des libertés fondamentales par l’Iran. Nous condamnons leur emprisonnement prolongé, ainsi que les abus signalés contre eux pendant leur incarcération, et nous appelons l'Iran à les libérer immédiatement, ainsi que tous les autres prisonniers d'opinion en Iran.
Le gouvernement de l'Iran doit cesser de nier à son peuple ses droits de l'homme et ses libertés fondamentales, y compris la liberté de religion ou de conviction. Nous appelons le gouvernement iranien à respecter ses propres lois et ses obligations internationales qui garantissent les libertés d'expression, d'opinion, de religion ou de conviction, d'association et d'assemblée pacifique pour tous en Iran.
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