On trouvera encore en Occident des journalistes qui parlent de "modération" et "d'ouverture" en évoquant Rohani. Mais en Iran, il reste le roi des exécutions.
L'encre des résultats de la présidentielle, savammment manipulés, pas encore sèche, que les bourreaux reprennent le rythme : les exécutions se succèdent.
Le 20mai : Un prisonnier politique, Kamal Hassan Ramezani, Kurde syrien, a été exécuté à Oroumieh
Le 22 mai : Un homme de 50 ans a été exécuté à Ardebil et un autre homme à Ispahan
Le 23 mai : Un homme de 30 ans a été exécuté à Zahedan et un homme de 33 ans à Kermanchah
Soit 18 exécutions au mois de mai en Iran.
En refusant durant toute cette campagne "électorale" de parler des exécutions en Iran, la presse occidentale a tout simplement participé à la banalisation de la violence et du fascisme religieux, un de mot à la banalisation du Mal, avec un grand M tant les mollahs sont diaboliques.
Il est temps de leur ôter toute justification et de les renvoyer devant une cours de justice internationale.
Des affaires et du commerce? D'accord, mais dans le cadre de l'éthique et des normes internationales. Pas avec des assassins de masse.
Des affaires et du commerce? D'accord, mais dans le cadre de l'éthique et des normes internationales. Pas avec des assassins de masse.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire