CNRI - Selon des informations obtenues cette semaine dans les prisons politiques iraniennes, les autorités cherchent à concocter de nouvelles accusations contre les détenus ayant condamné le massacre d’Achraf du 1er septembre. La tuerie d'Achraf en Irak, où 52 habitants ont été exécutés sommairement par les forces inféodées au régime iranien, a suscité une vague de condamnations en Iran, notamment de la part des prisonniers politiques qui ont signé un message commun. Les agents du Renseignement ont soumis ces détenus à des interrogatoires longs et violents, notamment Saïd Massouri et Afchine Ba'imani qui ont été transférés à la section 8 de la prison de Gohardacht.
Les tortionnaires du régime réagissent avec férocité contre toute expression de sympathie envers l'Organisation des Moudjahidine du Peuple d'Iran et les Achrafiens.
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