Parce qu'il tenait un blog critique sur internet, le journaliste Mohammad Reza Fathi avait été condamné à 444 coups de fouet en Iran. La liberté d'expression étant en tête de la longue liste des ennemis de la dictature religieuse dans ce pays.
Il a cru bon de faire appel, et le verdict est tombé. Les juges, tous des mollahs, ont décidé de lui donner du rab : ce sera 459 coups de fouet. La sentence risque d'être mise en vigueur dans les jours qui viennent.
De fait le régime iranien est déchainé actuellement et renforce la répression tous azimuts. Quand les mollahs sentent le sol se dérober et les flammes de l'enfer leur lècher les pieds, ils exécutent à tour de bras (près de 60 pendaisons en aout), arrêtent, fouettent, persécutent les minorités religieuses et surtout les femmes.
Tant que l'occident observera un silence religieux sur ces crimes d'Etat, les mollahs se sentiront encouragés à continuer. A chque fois que les réseaux sociaux se sont emparés du sujet, les mollahs ont reculé. Un petit clic dans internet équivaut à une grande claque pour les mollahs. Alors plus on clique ....
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