"Je crois que pour moi la seule évidence, est que tout ceci, parce que nous avons déjà connu des horreurs dans notre propre histoire et que nous savons qu'il n'y a qu'une seule chose qui peut l'arrêter, c'est notre solidarité", a déclaré Ingrid Betancourt le 24 aout à propos des exécutions collectives et des massacres en Iran.
Ce jour-là était organisée par le CSDHI à la mairie du 2e ardt à Paris, une exposition sur une tragédie très noire déclenchée par le régime des mollahs en 1988. De nombreuses personnalités y ont pris la parole, pour dénoncer ce massacre de 30.000 prisonniers politiques dans les prisons iraniennes sur ordre de Khomeiny.
"Une solidarité qui doit avoir comme conclusion de voir ces personnes qui en ce moment font partie du gouvernement iranien, toutes traduites en justice, que ce soit en Iran ou devant la cour pénale internationale de La Haye. Et ça doit être notre obsession et ça doit être notre engagement.
"Car seulement comme cela nous pourrons donner à nos enfants et petits enfants, la paix, l'espoir, la possibilité de vivre en paix, ce dont nous avons tous le droit."
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