Le régime des mollahs a augmenté les exécutions collectives ces derniers jours. Il a pendu au moins 28 personnes rien que jeudi dernier. Jeudi 25 août, sept prisonniers, dont une femme, ont été exécutes collectivement dans la prison centrale de Yazd, au centre de l’Iran.
L’agence de presse affiliée à l’État Rokna a déclaré que cinq des victimes étaient accusées de crimes concernant la drogue.
Séparément jeudi, le régime a exécuté collectivement 11 prisonniers dans la prison centrale de Zahedan, dans le sud-est de l’Iran. Une des victimes a été identifiée comme Hamzeh Rigi.
Samedi 27 août, malgré les appels internationaux pour un arrêt des exécutions, 12 prisonniers ont été pendus dans la prison centrale de Karaj. Ces prisonniers avaient été transférés en isolement le 24 août pour les préparer à leur peine de mort.
Lundi, commentant la récente vague d’exécutions collectives en Iran, Shahin Gobadi de la Commission des Affaires étrangères du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) a déclaré : « Alors que le régime plonge dans un isolement domestique et régional, il a recours à plus d’exécutions collectives et de répression, mais la réalité est que le régime est dans une impasse stratégique et ces mesures barbares indiquent seulement sont désespoir total. »
La Résistance iranienne a appelé les organisations internationales des droits de l’Homme à prendre des actions urgentes pour mettre un terme aux peines de morts brutales en Iran sous le régime des mollahs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire