En commémoration de massacre de l'été 1988 en Iran, nous avions un rassemblement ,samedi le 20 aout 2016 au centre de luxembourg.
La cause de notre rassemblement était contre les executions en Iran.
Nous exhortons le Conseil de sécurité des Nations Unies à mettre rapidement en place un tribunal spécial chargé d'examiner les crimes contre l'humanité commis par le régime iranien, en particulier le massacre des prisonniers politiques de 1988, et de juger les auteurs de ces crimes.
Notre rassemblement porte en soi un message:
Durant l´été 1988, en seulement quelques mois, 30 000 prisonniers politiques ont été massacrés sur l’ordre d’une fatwa de Khomeiny, le dirigeant du régime iranien. Sur la base de cette fatwa, tous les prisonniers qui restaient fidèles aux Moudjahidines du peuple d’Iran (OMPI), mouvement d'opposition, et qui refusaient d´y renoncer ont été exécutés. Une grande partie des victimes purgeaient leurs peines de prison ou les avaient terminées. La fatwa a ensuite été étendue à d'autres prisonniers. Une Commission de la mort a été formée pour faire appliquer la fatwa. Il lui fallait quelques minutes pour déterminer le sort de tous les détenus. Les prisonniers devaient choisir entre le repentir (à la télévision en déclarant leur collaboration avec le régime) et la mort. Les experts affirment que cela a été le massacre politique le plus odieux après la Seconde Guerre mondiale. Les organisations internationales des droits humains et d´éminents juristes l´ont qualifié de crime contre l'humanité, qui ne fait l'objet d'aucune prescription. Les membres de la Commission de la mort occupent aujourd’hui les postes les plus élevés du gouvernement et du judiciaire en Iran. Mostafa Pour-Mohammadi est ministre de la Justice de Rohani. Ibrahim Raïssi et Hossein-Ali Nayeri sont de hauts responsables de l’appareil judiciaire. Le Guide suprême des mollahs, Ali Khamenei, était président de la République à l’époque. Ali Akbar Hachemi-Rafsandjani était le vice-commandant en chef des forces armées. Et Hassan Rohani, actuel président du régime, était assistant du vice-commandant en chef. Tous étaient directement impliqués dans ce crime contre l'humanité et l´ont à maintes reprises défendu. Ils sont tous responsables de 120.000 exécutions politiques et de neuf attaques meurtrières contre les réfugiés iraniens du camp d'Achraf et du camp Liberty, en Irak, qui ont fait de nombreux morts. Nous exhortons le Conseil de sécurité des Nations Unies à mettre rapidement en place un tribunal spécial chargé d'examiner les crimes contre l'humanité commis par le régime iranien, en particulier le massacre des prisonniers politiques de 1988, et de juger les auteurs de ces crimes.
La cause de notre rassemblement était contre les executions en Iran.
Nous exhortons le Conseil de sécurité des Nations Unies à mettre rapidement en place un tribunal spécial chargé d'examiner les crimes contre l'humanité commis par le régime iranien, en particulier le massacre des prisonniers politiques de 1988, et de juger les auteurs de ces crimes.
Notre rassemblement porte en soi un message:
Appel à traduire en justice les auteurs du massacre de 1988, de 30.000 prisonniers politiques en Iran
Durant l´été 1988, en seulement quelques mois, 30 000 prisonniers politiques ont été massacrés sur l’ordre d’une fatwa de Khomeiny, le dirigeant du régime iranien. Sur la base de cette fatwa, tous les prisonniers qui restaient fidèles aux Moudjahidines du peuple d’Iran (OMPI), mouvement d'opposition, et qui refusaient d´y renoncer ont été exécutés. Une grande partie des victimes purgeaient leurs peines de prison ou les avaient terminées. La fatwa a ensuite été étendue à d'autres prisonniers. Une Commission de la mort a été formée pour faire appliquer la fatwa. Il lui fallait quelques minutes pour déterminer le sort de tous les détenus. Les prisonniers devaient choisir entre le repentir (à la télévision en déclarant leur collaboration avec le régime) et la mort. Les experts affirment que cela a été le massacre politique le plus odieux après la Seconde Guerre mondiale. Les organisations internationales des droits humains et d´éminents juristes l´ont qualifié de crime contre l'humanité, qui ne fait l'objet d'aucune prescription. Les membres de la Commission de la mort occupent aujourd’hui les postes les plus élevés du gouvernement et du judiciaire en Iran. Mostafa Pour-Mohammadi est ministre de la Justice de Rohani. Ibrahim Raïssi et Hossein-Ali Nayeri sont de hauts responsables de l’appareil judiciaire. Le Guide suprême des mollahs, Ali Khamenei, était président de la République à l’époque. Ali Akbar Hachemi-Rafsandjani était le vice-commandant en chef des forces armées. Et Hassan Rohani, actuel président du régime, était assistant du vice-commandant en chef. Tous étaient directement impliqués dans ce crime contre l'humanité et l´ont à maintes reprises défendu. Ils sont tous responsables de 120.000 exécutions politiques et de neuf attaques meurtrières contre les réfugiés iraniens du camp d'Achraf et du camp Liberty, en Irak, qui ont fait de nombreux morts. Nous exhortons le Conseil de sécurité des Nations Unies à mettre rapidement en place un tribunal spécial chargé d'examiner les crimes contre l'humanité commis par le régime iranien, en particulier le massacre des prisonniers politiques de 1988, et de juger les auteurs de ces crimes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire