Le président de la commission des affaires étrangères du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), Mohammad Mohaddessin a accueilli les sanctions prises contre le régime iranien suite à l’essai de missile en Iran.
Tout en accueillant ces nouvelles sanctions il a insisté sur la nécessité d’imposer des sanctions totales à l’égard des gardiens de la révolution et des autres entités impliquées dans la répression, le terrorisme, le fondamentalisme en Iran.
L’adoption de nouvelles sanctions contre un certain nombre d'individus et de sociétés affiliés au régime des mollahs pour leur rôle dans la prolifération des missiles est une étape positive dans la confrontation de cette dictature illégitime et terroriste, dont le bilan inclut 120 000 exécutions politiques, explique Mohaddessin.
Le président de la commission des affaires étrangères de la Résistance iranienne ajoute : « Mais pour faire face aux menaces émanant du parrain du terrorisme d'État et la principale source de guerre et d'instabilité dans la région qui a joué le rôle le plus prépondérant dans l'ascension et la survie de Daesh, il est impératif d'imposer des mesures globales. Des sanctions sont nécessaires contre les gardiens de la révolution (Pasdaran), ses entités affiliées, le ministère du renseignement (Vevak) et d'autres entités impliquées dans la répression et l'exportation du terrorisme ».
Selon Mohaddessin : « Le Corps des Pasdaran et de ses milices affiliées ainsi que leurs commandants, dont Qassem Soleimani et Iraj Masjedi (ambassadeur du régime iranien en Irak et officier de la forces Qods), devraient être expulsés des pays de la région, en particulier de l'Irak, de la Syrie et du Yémen. Sinon, la région ne sera jamais témoin de paix et de tranquillité.
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