mardi 14 novembre 2017

Maryam Radjavi exprime ses condoléances pour les victimes du terrible séisme en Iran et invite la population à secourir les populations sinistrées - vidéos

 Maryam Radjavi, présidente-élue de la Résistance iranienne, a exprimé ses vives condoléances aux familles des victimes d’un puissant séisme qui a frappé la nuit dernière plusieurs régions de l’Iran, dont Qasr-e chirin, Islamabad, Sar-e Pol Zahab, Salas Babajani et Kerend.
Rappelant les antécédents criminels de négligence et d'irresponsabilité du régime des mollahs dans des circonstances similaires, Mme Radjavi a appelé la population, en particulier les jeunes, à secourir les personnes encore sous les débris et à porter assistance aux blessés et sans-abris. « Il est maintenant le temps de la solidarité et d’une aide urgente aux familles en détresse », a-t-elle déclaré.

Craignant l’explosion de colère de la population, le régime intégriste tente de couvrir les véritables dimensions des destructions et des victimes du tremblement de terre qui a détruit de pans entiers de la province de Kermanchah. Les médias officiels évoquaient le chiffre de 350 morts et 6000 blessés aujourd'hui à midi, alors que le nombre réel des victimes est beaucoup plus élevé et un grand nombre de blessés risquent de perdre la vie en raison de l’insuffisance des installations médicales.
A 14h00 aujourd'hui (lundi 13 novembre), le brigadier Mohammad Ali Jafari, commandant des Gardiens de la révolution, a tenté de minimiser l'ampleur des pertes. Il a prétendu dans une interview avec les médias du régime, qu'il n'y avait que quelques personnes encore sous les décombres et que « l'aide nécessaire a déjà atteint toutes les zones sinistrées ou l’atteindra avant le coucher du soleil ». Dans le même temps, le nombre de victimes du séisme augmente d’heure en heure et, selon des témoins, des milliers de personnes sont toujours sous les décombres dans les villes et villages reculés et n'ont pas reçu une aide minimale. Les hôpitaux des régions sinistrées ne sont pas en mesure de recevoir les blessés.
Les victimes de catastrophes naturelles, telles que les tremblements de terre et les inondations en Iran, sous le régime des mollahs, sont bien plus élevées que les normes mondiales. Alors que les richesses du pays sont pillées pour financer la répression, l'exportation du terrorisme, la guerre et les projets balistiques des pasdaran, les villes et villages du pays sont très vulnérables face aux catastrophes naturelles. Par ailleurs, le régime néglige à employer les moyens nécessaires pour secourir les sinistrés, car sa priorité est d'empêcher les protestations des populations et l'afflux des autres régions pour leur venir en aide.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 13 novembre 2017

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