La dissimulation et la tromperie du régime provoquent la propagation de la catastrophe
Sur la base d’informations de l'intérieur de l'Iran, l'Organisation des Moudjahidines du peuple d'Iran (OMPI/MEK) a annoncé que le nombre de personnes ayant perdu la vie à cause du coronavirus (COVID-19) dépasse les 300. A Qom, au moins 114 personnes sont mortes, à Téhéran 30, à Kachan 22, à Ispahan 21, à Racht 18, et à Arak 12 personnes sont mortes jusqu'à présent. Le virus s'est répandu dans les 31 provinces.
En outre, à Machad, Kermanchah, Karadj, Lahijan, Semnan, Bandar Abbas, Yazd, Ilam, Yassoudj, Khorramabad, Nichapour, Hamedan, Homayounshahr, Najafabad et dans de nombreuses autres villes, grandes et petites, plusieurs habitants ont perdu la vie. Néanmoins, en se livrant à la dissimulation et à la tromperie, le régime clérical continue de prétendre que seules 34 personnes sont mortes et 388 ont contracté le virus. Entre-temps, une officielle, Nahid Khoda-Karami, à la tête de la commission de la santé du conseil municipal de Téhéran, a révélé que 10 000 à 15 000 personnes ont été touchées par le virus.
Le régime des mollahs n'a pris aucune mesure préventive efficace pour faire face à la propagation du virus, y compris la mise en quarantaine des villes où le virus s'est propagé. Il a également refusé d'interrompre les vols vers la Chine. Les vols de la compagnie des pasdarans Mahan Air à destination de la Chine continuaient encore le 28 février. Pour se justifier, le régime a affirmé qu'il transférait des kits de détection du virus de la Chine vers Téhéran. De plus, les pasdarans sont en possession de la plupart des ressources médicales et une grande partie des services médicaux sont réservés aux responsables du régime et du corps des pasdarans.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 29 février 2020
Le 29 février 2020
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