Execution by Iran Regime in public – file photo
Le régime iranien a exécuté un homme pour consommation d’alcool. Cette exécution montre à la fois la brutalité et la cruauté du régime. Cette exécution est un acte criminel visant à répandre la peur parmi la population en Iran. La victime, identifiée comme Morteza Jamali, était le père de deux petits enfants. Cette exécution est contraire à tous les enseignements de l’islam et ne peut être justifiée que par l’interprétation réactionnaire et médiévale du régime des mollahs de l’islam. Ce dernier est le parrain de l’intégrisme islamique dans le monde et ses atrocités contre le peuple iranien comprennent l’amputation de la main et du pied, crever les yeux et lapider les condamnés, qui ne sont que quelques exemples des sauvageries des mollahs contre leur propre peuple.
Cette exécution a été largement condamnée par des groupes de défense des droits humains en Iran et dans le monde. Amnesty International a déclaré dans un communiqué : «Les autorités iraniennes ont une fois de plus mis à nu la cruauté et l’inhumanité de leur système judiciaire en exécutant un homme simplement pour avoir bu de l’alcool. La victime était la dernière personne à avoir été exécutée à la prison de Valkalibad, le site de nombreuses exécutions secrètes de masse et un théâtre grotesque du mépris de Téhéran pour la vie humaine. »
Parallèlement aux 40 années d’oppression et d’exportation du terrorisme du régime, qui n’a apporté que de la pauvreté et terreur pour le peuple iranien, la société est aux prises avec la pandémie de COVID-19. La crise du COVID-19 a jusqu’à présent coûté la vie à près de 70 000 personnes à travers l’Iran en raison des dissimulations et de l’inaction du régime iranien. La crise COVID-19, multipliée par des années d’oppression et de pauvreté, a transformé la société iranienne en baril de poudre. Le régime craint une nouvelle série de soulèvements tels que les manifestations nationales contre le régime en 2019.
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