« Les autorités doivent laisser les membres de la presse faire leur travail sans craindre d’être arrêtés ou placés arbitrairement en détention », a déclaré Sherif Mansour, coordinateur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord de l’organisation de surveillance de la liberté des médias basée à New York, dans un communiqué publié le 17 avril.
La femme du journaliste, Asal Ismaeilzadeh, a déclaré que Seif-Ali, rédacteur en chef du site d’information gouvernemental Didbaniran.ir, avait été convoqué au tribunal le 11 avril pour rencontrer un juge au sujet d’une arrestation antérieure.
Le CPJ a déclaré qu’il n’était pas en mesure de déterminer où il était détenu ou si des charges avaient été retenues contre lui.
Seif-Ali avait déjà été arrêté le 7 janvier et avait été libéré sous caution au bout de huit jours.
Selon le CPJ, les autorités iraniennes ont arrêté au moins 95 journalistes depuis septembre 2022, date à laquelle la mort d’une jeune femme de 22 ans, détenue par la police pour des raisons de moralité, a déclenché des manifestations dans tout le pays.
Didbaniran.ir a couvert ces manifestations et les arrestations de journalistes à l’époque.
Source : Iran Wire/ CSDHI
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