En réponse au refus du gouvernement iranien de coopérer avec la mission d’enquête indépendante, la FFM a également réitéré ses demandes « de mettre à notre disposition les dossiers judiciaires, les preuves et les jugements concernant chacune de ces personnes », a ajouté Sara Hossain, présidente de la FFM.
La mission d’enquête a été créée par le Conseil des droits de l’homme des Nations unies en novembre 2022 pour enquêter sur l’assassinat par la République islamique de plus de 500 hommes et femmes participant aux manifestations de rue qui ont éclaté dans tout l’Iran après le meurtre, en septembre 2022, de Jina Mahsa Amini, 22 ans, détenue par l’État, ainsi que sur d’autres crimes et violations des droits commis par les autorités iraniennes depuis lors.
La mission d’enquête présentera un rapport complet sur ses conclusions au Conseil des droits de l’homme au cours d’un dialogue interactif lors de sa 55e session en mars 2024.
Source : Centre pour les droits de l’homme en Iran/ CSDHI
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