Les prisonnières qui n’ont pas pu recevoir de visites sont les suivants :
Anisha Assadollahi, Golrokh Iraee, Vida Rabbani, Zahra Safaei, Pakhshan Azizi, Elaheh Fouladi, Motahareh Gouneii, Varisha Moradi et Maryam Yahyavi.
Ce n’est pas la première fois que ces prisonnières sont confrontées à de telles restrictions. L’été dernier, elles ont été privées de visites pour avoir protesté contre la peine de mort. Bien que cette interdiction ait finalement été levée, une nouvelle restriction a été imposée le 12 janvier 2025, les empêchant de rencontrer à nouveau leurs familles.
En plus de se voir refuser des visites, les prisonnières politiques Maryam Yahyavi et Sakineh Parvaneh ont également été privées de leur droit de téléphoner à leur famille.
Ce nouveau déni des droits fondamentaux met en évidence le traitement sévère et les mesures punitives dont font l’objet les prisonniers politiques en Iran.
Source: CNRI Femmes
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