lundi 3 octobre 2016

Les massacres d’enfants, le bombardement d’hôpitaux à Alep, constituent les pires crimes de guerre au 21e siècle

 L’inaction internationale concernant le désastre à Alep met en danger la paix dans la région et dans le monde
La Résistance iranienne condamne fortement le bombardement sans pitié d’Alep, le massacre d’enfants, et en particulier les bombardements d’hôpitaux et le meurtre de patients et de blessés, tout comme le siège inhumain de la ville. Le CNRI demande à la communauté internationale de prendre des mesures urgentes pour mettre fin à ces bombardements et mettre un terme au siège criminel d’Alep, qui est largement tenu par le corps des gardiens de la révolution (Pasdaran) et leurs mercenaires.

Le bombardement constant des zones résidentielles, qui ont pour conséquence d’enterrer vivants des enfants, tout comme les attaques préméditées d’hôpitaux et de centres de défense civile à Alep ont créé l’holocauste du 21e siècle dont les responsables doivent être portés devant la justice.
Le silence consternant et l’inaction vis-à-vis de cette barbarie ont profondément blessé la conscience de l’humanité actuelle et mettent gravement en danger la paix et la tranquillité de la région et du monde.
L’endurance admirable et héroïque des habitants innocents de Syrie dans cette guerre inégale est source de fierté pour l’humanité toute entière. Cette persévérance mènera inévitablement au renversement du régime d’Assad et à la défaite des Pasdarans du régime iranien, de ses mercenaires et de ses alliés. La dictature syrienne est condamnée à l’échec. 

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